Le musé de James

  • Auteur de la discussion James Smiths
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DeletedUser

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50 % des profit à moi, le reste à toi


EDIT: grillé par mon apprenti Castor, l'élève surpasse le maitre
 

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Ok, j'ai trouvé un agent littéraire!
Contacte moi par mp
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser

Invité
( je blaguais)


tu m'as vraiment pris au sérieux en m'envoyant un mp...


:D
 

DeletedUser

Invité
Mais oui, je te croyais :D!
(tu me prends pour un idiot:p)
 

DeletedUser10940

Invité
Bon texte général, cependant quelques défauts encore :
-les répétitions (une vague description de Zars serait utile pour éviter d'avoir à utiliser son nom à chaque fois) ;
-la concordance des temps (tu passes parfois du passé simple à l'imparfait à des moments tout-à-fait incongrus) ;
-quelques fautes de français graves (Par exemple, " j'alla se coucher et s'endormit " :eek: ! Plutôt : " j'allai me coucher, et m'endormit ".) ;
-La présentation... spéciale (on dirait que ton chat pose parfois sa patte sur la touche " Entrée " au beau milieu d'une phrase). (Mais la présentation n'est pas le travail de l'écrivain, plutôt de l'éditeur.)
Désolé pour la méchanceté relative des commentaires, mais si vraiment tu veux devenir écrivain, il faut accepter la critique.
Bons débuts pour ton âge.
Mais travaille quand même l'orthographe, la ponctuation, la grammaire, et cætera, c'est important !
 

DeletedUser

Invité
Bon texte général, cependant quelques défauts encore :
-les répétitions (une vague description de Zars serait utile pour éviter d'avoir à utiliser son nom à chaque fois) ;
-la concordance des temps (tu passes parfois du passé simple à l'imparfait à des moments tout-à-fait incongrus) ;
-quelques fautes de français graves (Par exemple, " j'alla se coucher et s'endormit " :eek: ! Plutôt : " j'allai me coucher, et m'endormit ".) ;
-La présentation... spéciale (on dirait que ton chat pose parfois sa patte sur la touche " Entrée " au beau milieu d'une phrase). (Mais la présentation n'est pas le travail de l'écrivain, plutôt de l'éditeur.)
Désolé pour la méchanceté relative des commentaires, mais si vraiment tu veux devenir écrivain, il faut accepter la critique.
Bons débuts pour ton âge.
Mais travaille quand même l'orthographe, la ponctuation, la grammaire, et cætera, c'est important !
Ce n'est pas de la méchanceté, c'est une critique un peu négative:eek:....
Je veillerais à ce que de telles erreurs de ma part ne se reproduisent plus.
 

DeletedUser

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Quand le passé deviendra le futur...



CHAPITRE I

Je contemplai la prairie par la fenêtre de ma chambre.
Elle était desséchée.
Par endroits, quelques touffes d'herbes brûlées subsistaient encore.

C'était un jour d'hiver.
Depuis longtemps il n'y avait jamais moins de quarante dégrée centigrades
sur le comté d'Exa.

J'étais orphelin. Mes parents avaient disparu alors que je n'étais encore qu'un nourrisson et le vieux Zars m'avait recueilli. Il se préoccupait peu de moi, mais c'était normal*: je n'étais qu'un enfant sans famille, un enfant anormal.
Zars était, je l'avais constaté une personne à classer dans la grande armoire nommée Mystère.
Pour donner un exemple, il ne dort pas.
Je le répète, il ne dort jamais.

Sinon, il était gentil. Il m'avait inscrit dans une école qui, d'après les gens, était réputée être la meilleure du comté. Si c'était le cas, ce serait très embêtant*!
Il faudrait que monsieur le général révise
un peu l'éducation...

C'est d'ailleurs à cause de cela que je suis obligé de rester à la maison de Zars tous les lundis après-midi car il y avait cours de physique, c'était un ordre et ici on respecte un ordre même si on sait que ça ne sert à strictement rien.

Seulement, je n'avais pas du tout l'intention de mourir d'ennuis.
Mais comme Zars n'était pas là, je forçais la porte de son bureau (bien que forcer soit un grand mot étant donné qu'elle était toujours ouverte) et commençai à effleurer du doigt les milliers d'ouvrages s'entassant dans la fabuleuse bibliothèque de Zars. Je passai de longues heures à découvrir les délicieux ouvrages à la lueur des bougies.

Souvent, Zars rentrait tard, très tard.
Il ne travaillait plus depuis bien longtemps mais continuait à aller quotidiennement à
l'université d'Ornarre, à l'extrême sud du comté.

Bien que disposant d'un vaisseau se déplaçant rapidement, il fallait compté quelques heures avec une marge d'une demi-heure au cas où Zarvan, le neveu arrogant du comte d'Exa fassent une petite
inspection.
Bien sûr, Zars avait toujours ses puces administratives en règle mais Zarva prenait un plaisir fou
à embêter les bon citoyens du comté.
En faîtes, si Zarvan savait intercepter les vaisseau, c'est que dès qu'on traversait son territoire,
une onde venant d'un robot de l'aérodrome personnel de Zarvan arrivait à bloquer les vaisseaux.
Les voyageurs devait alors patienter pour que le capitaine du détachement des vaisseaux sécurité
viennent contrôler les passagers.
Zarvan avait aussi le pouvoir de faire exécuter les passagers du vaisseau à l'aide d'une autre petite merveille technologique qui était en faite un pistolet dont les balles, qui s'ouvraient une fois deux
matériaux touchées, laissaient échapper des gaz extrêmement radioactifs.
C'est pourquoi, chaque fois que Zars partait, ma gorge se serrait, qu'allais-je faire si il venait-à mourir?
Irais-je dans un de ces monstrueux orphelinats de la métropole?
J'eus un frisson en y pensant.
Quelques minutes plus tard, j'alla se coucher et s'endormit...

CHAPITRE II

Je m'étais réveillé de bonne heure, après m'être habillé avec un pantalon de coton et une veste de velours, je descendis l'escalier et ouvrit la porte du salon, là une tablette noire faisait un bruit sonore, je m'en suis approché et je vis un avertissement qui indiquait qu'un message m'avait étés envoyés en provenance d'Exa centrale.
Je touchais le bouton «*ouvrir*» et je pus lire:

«*Désolé, je ne rentrera pas avant fin de mois.

Z.A*»

Ce message était signé Zars Arlan, mais qui ne me disait pas que c'était Zarvan ou un de ses garde qui l'avait envoyé?

Et puis, Zars ne me laisserait pas tout seul, c'est impossible...
Depuis que mes parents et ma famille était mort suite à une expédition, je n'était jamais resté longtemps seul.

Deux propositions me sont venues, la première la plus simple périr ici.
La seconde, sortir d'ici; à moins que le message soit vraiment de Zars, ce qui était presque impossible.

Je pris mon courage à deux mains, vêtit un manteau en fourrure et pris la carte magnétique de Zars.

J'ouvris grand la porte de la maison et...
Un grand monsieur au traits sévères tout habillé de blanc s'avança vers moi.
Comme par hasard, le premier individu que je rencontrais avait l'air d'un ange déchus.
Il m'adressa un sourire triste et me lança:

-Tu es qui bonhomme?
-Je, je m'appelle James Ornarre. Ai-je bégayé
-Tu es sûrement le petit dont Zars m'a parlé.

Alors voilà que ce monsieur connaissait Zars.

-Vous connaissez Zars? ai-je dis un peu moins tremblant mais tremblant tout de même.
-Analyse notre conversation, si je te répondais par oui ou non, serais tu plus avancé?
-Non mais...
-Et voilà qu'il est timide, ce sera plus difficile que prévu! se dit-il en lui même.

Mais, que me voulait-il à la fin?

-Et puis, pourquoi Zars vous a parlé de moi?
-Chaque chose en son temps.

Il m'énervait à la fin, il ne pouvait pas répondre comme les autres?

-Pourquoi êtes vous habillé en blanc?
-L'habit ne fait pas le moine...dit-il, rêveur.
-Est-ce que ça veut dire que vous êtes triste? Lui-ai je demandé.
-Aimais tu Zars?
-Oui, mais je l'aime toujours vous savez!
-Et bien moi aussi.
-Donc, vous avez peur pour sa vie?
-Non, non c'était juste un bon ami, un bon ami...

Le monsieur, parce que je ne connaissais pas son nom resta pensif...
J'attendis, quelques minutes pour ne pas paraître impoli et lui demanda:

-Comment vous appelez vous?
-Vladimir de Wasinier. Me répondit-il calmement.
-Pourquoi m'attendiez vous?
-Je ne t'attendais pas, je t'ai rencontré par hasard.
-A d'autre! Marmonnai-je.
-Et...alors pourquoi rester vous, pourquoi vous me posé des questions, en quoi un simple orphelin telle que moi pourrait vous aider monsieur Vladimir?
-A ton avis, tu as autant besoin de moi que moi.
-Mais besoin de quoi?
-De retrouver Zars!
-Mais, il est prisonnier de Zarvan!
-Qu'est ce qui te fais dire ça?

J'eus soudain une révélation, et si ce n'était pas LUI qui m'avait envoyé ce message de détresse?

-C'est vous?
-Non.

Et voilà, il mentait sinon il m'aurait questionné sur ce message.

-Non, je ne te ment pas... murmura Vladimir.

Ce personnage, me paraissait de plus en plus étrange, il lisait dans mes pensées à présent!

-Arrêtez, vous me donnez mal à la tête!
-Ho, pardon je ne croyais pas te faire mal.
-Comment faîtes vous?
-Faire quoi?
-Lire dans mes pensés!
-C'est simple, grâce à ma sonde de pensée, c'est un appareil que j'ai mit au point et que j'ai nommé:
«*décodeur de pensé*», vois-tu nous pensons sans cesse, notre cerveau, pour divulguer la pensé; utilise et manipule les cordes vocales à moins que nous soyons muets.
Mais, quand nous pensons sans utilisé nos cordes vocales, à moins que nous communiquions par télépathie (je ne crois pas en ce genre de chose) l'on possède une certaine intimité.
Alors, je me suis dit que je devrais mettre au point un gadget capable de décodé les pensés.

Cela, n'est peut-être pas très respectueux de la personne mais cela peut-être très utile en cas d'urgence.

-Ce n'est tout de même pas très gentil, ni polis!
-Je connais des personnes qui se moquerait des règles de politesse mon cher petit!
-Par exemple?
-Oh, citons seulement Néron, messire Dracula, Pierre le grand...
-C'est qui Néron et Pierre le grand et Dracula, il n'a jamais existé!
-Néron, c'est un empereur romain, il a tué sa femme, et Pierre le Grand, c'est un star de Russie lors de la renaissance, il était un petit peut cruel...
-Mais, ces gens, ils appartiennent au passé, ce sont des...Fantômes?
-Non, mais, je te l'expliquerais dirais plus tard.
Viens ma voiture est garé quelque part dans cette ville.

Sur-ce, monsieur de Vladimir m'entraîna da ns une ruelle propre et élégante et me fit monté dans la
calèche.

Un homme était assis sur un dossier, il était munis d'un fouet.
A l'attelage, se trouvait de magnifiques chevaux, il était d'un blanc pure....Surnaturel.

Tout ce qui était en lien avec de Vladimir était surnaturel, en faites!

Il m'invita à monter et je lui demandai:

-Où allons nous?
-Chez moi.
-Mes, et mes affaires?
-Il s'en chargera. Dit-il en montrant le cocher.
-Comment s'appelle t-il?

Il ne me répondit pas, il lança au cocher un ordre et la voiture avança, au trop puis, au galop.

Le voyage dura, je l'estima, trois heures.
Nous avons remonté le territoire de Salvon, ensuite nous traversâmes la forêt faisant office
de frontière entre de Salvon et de Mirlay.









 

DeletedUser3381

Invité
Belle suite, honnêtement, je trouve que tu t'es vachement amélioré depuis le premier texte. Bravo ! :)
 

DeletedUser

Invité
Belle suite, honnêtement, je trouve que tu t'es vachement amélioré depuis le premier texte. Bravo ! :)

Ce n'est que de l'expérience....
Je ne mérite pas un tel compliment :eek:.
Le premier comme je l'ais déjà dis date de milieu 2010 celui ci de 2011
 

DeletedUser

Invité
NIXOTRILL




C'était un après-midi, en plein mois de janvier.
Le professeur d'histoire, vêtu d'un d'un manteau noires redressa ses lourdes lunettes en titane, noir elle aussi.

-En l'an 3380, l'empire Xarien était a son apogée, récita t-elle, il s'était fait un allié de taille qui contrôlait trois planètes, dont deux composées d'un atmosphère, composé de nonante pour-cents de dioxyde de carbone contre seulement dix d'oxygène.
La troisième planète était, très avancée technologiquement para-port à ses congénères de la galaxie,
notamment avec la découverte de l'orichalquium (fusion entre l'orichalque, un métaux idéal pour la construction des vaisceaux et du Vandium, idéal pour le nucléaire) par le professeur Yrstox.

Elle se prénommait Neurvia, ses habitants, étaient, assez arrogants de nature mais aussi, intelligents.

Ce qui fait qu'ils avaient déjà colonisé deux planètes alors que les autres civilisations avaient tout juste été sur leurs lunes et quelqu'un, envoyé des robots sur quelques étoiles des environs...

Le professeur Zarviax s'arrêta pour reprendre son souffle.

Xarien I, l'empereur fit prospérer le système de Nitoxhil comme jamais un dirigeant ne l'avait fait avant lui.
Horsars III, le maître de Neurvia avait, en bon allié cédé la plupart de ses technologies à notre planète, Tyxe.

Un élève leva le doigt.

-Oui, monsieur Xarly? Demanda le professeur, irrité.
-Pourquoi, travaillons nous cette matière, à quoi cela nous servirai t-il une fois capitaine de vaisseau d'apprendre l'histoire de nos origines?
-Monsieur Xarly, tout le monde ne veut pas servir l'empereur, il jeta un coup d'œil à quelque fille assise au premier rang, aussi, votre éducation est importante, si vous voulez vous comporter comme un bon citoyen, répondit-il sèchement.

Xarly regarda son professeur, intimidé.

La suite du cours se déroula très silencieusement, l'on n'entendait que la voix monotone de l'instituteur.

Soudain, une porte s'ouvrit, un homme de haute taille passa l'encadrement de la porte.
Les élèves se levèrent tout de suite de leur chaise de scandium.
L'homme qui était le directeur de l'académie de Sneefell les regarda d'un air sévère.

-Chers élèves, vous avez tous douze ans, n'est-ce pas? Ce qui est assez jeune pour des élèves de cette académie. Vos parents nous ont assuré que vous étiez assez matures pour faire partie de l'école, cependant je vois que ce n'est pas le cas, monsieur David, avez vous déjà utilisé un vaisseau? Un aérovoltige plus précisément.
-Non monsieur, s'empressa de répondre David.
-Je ne crois pas que vous diriez oui, que ce soit la vérité ou un mensonge, répondit le directeur froidement,
Hélas, j'ai trouvé ceci:

D'un geste brusque, il montra le stylet d'écriture de David.

Je l'ai pris sur l'aérovoltige de ton père, crut-il bon d'ajouter.
L'enfant devint livide, pâle comme un linge.
-Mais, comment avez vous...
-Élémentaire, tu feras comme punition , disons, tondre le gazon bleuté du parc de l'académie, tailler la haie de plantes carnivores et aussi, mettre en état l'aérocourseur de nos services de sécurité puisque monsieur aime les capsules.

Une fois que le directeur fut sorti, Zarviax foudroya du regard David.

-Eh bien, bel exemple pour vos camarades, n'est-ce pas, vous qui êtes si intelligent quand il s'agit des mathématiques, des stratégies de combat ou de physique?

Le garçon baissa la tête, il se retint de pleurer, verser toutes les larmes de son corps.
C'était si injuste, l'honneur de sa famille, était détruit, par sa faute, alors qu'il n'avait même pas commis cet acte, jamais il n'aurait fait une telle chose, tout monde savait que, utiliser un aérovoltige pouvait être dangereux, mortel, tant que l'on n'a pas atteint la majorité, soit dix-neufs ans et six mois.

Une sonnerie électronique retentit.
David s'apprêta à sortir quand, le professeur lui fit signe de rester dans la classe.
Une fois tous les autres élèves sortis, monsieur Zarviax tourna autour de son petit martyre.

-A votre avis, pourquoi faites-vous des bêtises?
-Parce que je suis normal.
-Non, vous n'êtes pas normal, croyez-vous que petit, je m'amusais à enfreindre les règles, inconscient du danger?
-Non professeur.
-Exact, vous allez, faire un petit tour dans le bureau du docteur Killeyn, il vous en dira plus maintenant, sortez.

David, craignant de devoir être sermonné une fois de plus, pour retard se dépêcha de foncer dans une des cabines de la tourelle noir qui était un moyen de transport pour se rendre d'un endroit à l'autre très rapidement.

Une fois dans l'appareil, il encoda à l'aide d'un clavier le nom de sa destination.

«* Bâtiment F 3, étage 5, bureau 10.*»

l'objet émit un petit grincement, commença à tourner sur lui même, de plus en plus vite avant d'entamer une course folle à travers le réseau de tubes en acier.

Le voyage, bien que peux confortable était agréable, à travers les vitres de plexiglas, l'on pouvait voir défiler des inscriptions où figurait le nom des couloirs.

Souvent, ils étaient accompagnés d'une petite légende qui expliquait l'origine de la nomination.

Bien sûr, la vitesse de l'appareil égalant celle du son, il était impossible de les lire, si l'on n'arrêtait pas le temps bien sûr.

Mais il s'en moquait, de toute façon, le trajet ne dura pas plus de deux minutes.

Les portes d'aciers s'ouvrirent subitement, donnant sur un long couloir d'orichalque recouvert de bois.

C'était une des parties les plus anciennes de l'établissement, ayant été fondé sous le joug humains,
l'académie avait, pour but premier de former des jeunes gens pour la direction de vaisseaux lourd.

David s'approcha lentement d'une lourde porte d'orichalque et fit glisser ses puces administratives.

-Bonjour monsieur Ornarre David. Dit une voix électronique.
-Heu, bonjour, je dois parler au docteur de l'académie.
-Comment ça, «*vous devez*» outre mon approbation, vous n'êtes pas en mesure de posséder se droit! Grinça la voix.
-Mais, qui êtes-vous? Demanda le garçon, de moins en moins confiant.
-Je, suis le docteur.
-Le docteur est une machine?

Soudain, les portes d'orichalques coulissèrent, laissant apparaître un homme grand et mince avec une barbe blanche, des yeux clairs et une blouse blanche.

-Alors comme ça, je serais une machine? Tonna l'homme, entrez dans mon bureau, je vous prie.


Ornarre s'avança vers le bureau du professeur mais heurta violemment la porte, elle était en verre.

«*quel imbécile je suis*» pensa t-il.

Il prit la fois la poignée en bronze et recula en l'ouvrant.

L'homme s'était déjà assis sur une chaise cloutée datant de la première dynastie humaine.

Il invita David a s'assoir sur une chaise en bois a bien plus faible allure.

Le docteur pris la parole.

-Mon cher élève, sache qu'ici, je suis le maître, tu ne poses-pas de question sans que tu n'y aies été invité.

J'insinue que, tu te demandes pourquoi, ma voix a pu traverser une vitre triplé de plexiglas renforcé de fines couche de Vanadium.

C'est simple, le Vanadium, comme tu le sais est très utile pour le nucléaire.
J'ai réussi, à inverser ses propriétés, ainsi, le verre explose pour laisser passer le son puis se matérialise ceci dans un de temps on ne peut plus court, soit invisible a l'œil nu.

Je suppose aussi que tu es triste, pourquoi?
Parce que le directeur de l'académie t'à accusé d'avoir utilisé un aérovoltige et que tu as peur que ton père te battent, n'est-ce pas?

Je dois donc m'expliquer pour ne pas paraître impoli.

Tout d'abord, c'est moi qui aie inventé ce mensonge mais c'est pour que tes camarades ne soient pas jaloux en apprenant la mission que je vais te confier.

Elle est assez simple, me servir d'apprenti pour mes expériences.
Tu n'es pas dispensé de cours, tu les feras ici et je serais ton professeur particulier pour gagner du temps.

C'est compris?


-Heu, oui professeur. répondit David en bégayant.
-Bien, vas chercher tes valises dans l'internat, tu dormiras dans la chambre juste à côté du bureau.
-Oui professeur;

David sortit du bureau de Killeyn.

Il se surprit à chantonner en traversant un des couloirs du bâtiment F 3.
Il n'avait plus chantonné depuis longtemps, pour être exact, depuis la mort de sa mère.

Mais, aujourd'hui, il allait peut-être pouvoir sortir de ses lamentations et devenir un des chefs de l'empire ou bien, devenir un savant célèbre.

Il appuya sur le bouton de la tourelle et y entrât.
Il encoda le bâtiment G étage 12 chambre 46.

Le voyage fut encore plus court que le premier, il ouvrit la porte du dortoir.
La pièce était vide, il prit sa valise noire et referma la porte.
Il s'avança dans le couloir.

-He, David! Cria une voix.

Il sursauta et regarda autour de lui.
Rien!
 

DeletedUser

Invité
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En attendant je déplace tous les posts qui n'ont rien à faire ici , et je vous demande de ne pas recommencer à polluer ce topic .
 
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