Désillusion

DeletedUser

Invité
La tête pleine de rêves, Stork débarqua enfin sur la terre promise après de longues semaines de navigation. A terre il put rejoindre le seul semblant de civilisation en ces terres, une pauvre bourgade du nom de Richmond. A partir de là il compris que le plus dire était à faire car, sans un sous en poche, survivre allait devenir difficile...

Dès lors il trouva quelques services à rendre aux quelques citoyens occupant encore le triste saloon. L'endroit était sombre, le plancher grinçant à chaque pas. L'alcool servit était plus que médiocre mais suffisait à hydrater les gorges asséchées par le vent et la poussière.

C'est avec ces premiers dollars qu'il parti vers l'Ouest à la rencontre des différents colons et indigènes déjà présent dans la plaine. C'est ainsi qu'il s'essaya à de nombreux emplois.

Ce premier soir, il le passa à la belle étoile. Trop épuisé par sa journée de labeur et ses nombreux échecs afin d'obtenir un peu de jambon qu'il devait ramener à une demoiselle. Ainsi qu'une plume pour rendre service à un vieil indien.

C'est ainsi qu'il s'endormit, ayant alimenté son feu du mieux qu'il pouvait afin d'éloigner je ne sais quel bêtes sauvages. Avant de s'endormir complètement il se demanda si il arrivera enfin à obtenir ces objets...

C'est à l'aube qu'un bruit suspect le fit émerger de son sommeil sans savoir si il s'agissait d'un ennemi ou d'ami..
 

DeletedUser

Invité
Il avait vu le feu, à quelques miles au sud la veille au soir, mais épuisé, il s'était allongé et avait dormi.
Au levé du soleil, il se passa un coup d'eau de la source sur le visage et parti, le pied léger et bien reposé voir si le propriétaire du feu était parti ou pas.
Il mit peu de temps à rallier le lieu, s'arrêtant à distance afin de voir à qui il avait à faire. Malheureusement, il ne fut pas aussi discret qu'il l'aurait voulut et fut tout de suite repéré, il se releva et se dirigea vers lui.

"Salut, je m'appelle Lee Van Cleef, mais tu peux m'appeler Lee."
 

DeletedUser

Invité
Derrière un buisson plain de baies Darya regarde les 2 hommes prés du feu. Le regarde sur leur visages ressemble plus a la méfiance que de l’amitié, vont t’il ce battre ou partager leurs maigres provisions.


De puis peut elle a décidé de quitter son place de chanteuse au salon pour bâtir une nouvelle vie. Malheureusement même si cette terre offre beaucoup de possibilités elle sait que tout seul elle n’arrivera pas.


Elle reconnait un des hommes pour avoir vu au salon attablé seule noyant sa fatigue dans le whisky du vieux Sam, qui ressemble plus a du torde boyaux que autre chose. Il avait l’air gentil, dans ces terres on ne prendre pas de risques, mais le long voyagé prévu vers l’ouest ce révèle rude et même si elle se considère comme une femme fort l’aide d’un homme ou 2, pour porter ses bagages, n’est pas de refus.


En attendant de voir le déroulement de cette rencontre elle décidé de rester a sa place, en profitant pour avaler un 10en de baies.
 

DeletedUser

Invité
attirer par l fumée,je m'avança vers eux et me présenta

salut a vous étranger, pourrai je profiter de la chaleur du feu,
et de votre compagnies,
je vous propose en échange de partager avec vous mon repas,
je vient de capturer se magnifique lapin,asser dodu pour plusieur
alors sa vous dit?
en plus je suis bonne cuisinière:cool::cool:
 

DeletedUser

Invité
Après une dure journée de labeur dans l'odeur de cochon, Josh entra au saloon et s'accouda au comptoir en commandant un grand verre de tord boyaux.
Il s'adressa ensuite au barman et demanda tout étonné par le manque de musique et du peu de monde au saloon.

> La pianiste ne joue pas aujourd'hui? j'espère ne pas l'avoir vexée hier avec mon histoire de venin de crotale...
Et ou sont passés les valeureux pionniers que j'ai rencontrés hier?

> Le barrman répondit apparemment contrarié que ce matin dès l'aube des cavaliers étaient partis vers l'Ouest chercher fortune et que très certainement sa pianiste était partie avec eux attirée par le gain et l'aventure

> Josh vida son verre d'un trait en se disant que bientôt lui aussi tentera l'aventure mais pour le moment il avait besoin de repos.
 

DeletedUser

Invité
Décidément cette plaines n'était pas déserte. L'ouest était aussi rempli de gens ? Allait-il en sortir de derrière chaque arbre ? Lui qui rêver d'être le pionnier ! Mais bon, on était encore proche des villes naissante de l'est, à l'Ouest.... à l'ouest ce devait être différent, chacun se présenta et s'assit autour du feu que Stork se fit un plaisir de raviver, d'ailleurs c'était son feu, le seul d'entre nous qui pouvait prétendre posséder quelque chose sur cette terre.
Le lapin de Tahitia fut accepter avec joie, les ventres sonnaient creux de si bonne heure !
Lee était malgré tout légèrement déçu, il avait cru reconnaitre Josh Randall la veille au soir ! Ce gars lui avait plut ! Et comme lui il devait partir vers l'ouest, peut-être leurs chemins se recroiseraient t-ils.
 

DeletedUser

Invité
leur compagnie fut agréable ,
mais la route et tant longue tahitia reprit la route de l'ouest.
les saluant ,leur souhaitant bonne route ,et espérant les revoir
bientôt, car leur compagnies lui fut agréable,
vu la solitude qui l'attendis dans cette immense désert .
elle pris son courage a 2 mains,fit son paquetage.et partit
 

DeletedUser

Invité
Cette journée avait pourtant bien commencé. J'avais fait la connaissance de Lee qui m'avait réveillé au lever du jour. Un brin de toilette plus tard, nous nous retrouvâmes autour du feu, un gobelet de café chaud dans les mains. Après quelques récits sur notre arrivée en ces lieux chacun repartit pour essayer de gagner de quoi manger, afin de se retrouver le midi.

Alors que nos estomacs commençaient à crier famines, une demoiselle arriva.

-Hola étrangère, comment t'appelles tu?
-Je suis Tahitia. Puis je partager ce maigre gibier avec vous? Elle sortit un lapin de sa besace et se mit à le préparer.
...longues discussions...

La peau du ventre bien tendue, chacun reparti de son coté. Pour ma part, il me restait de nombreuses tâchas à accomplir.

A la nuit tombante, je me rendis compte que ma journée n'avait pas été bonne du tout. Je devais toujours trouver ce maudit jambon, cependant tous mes efforts furent vain. Seule consolation, un pauvre corbeau tiré à la fronde artisanale auquel je piquai ses plumes comme trophée:rolleyes:

C'est ainsi que je terminai cette journée difficile, en songeant aux dernières rumeurs circulant parmi les colons.
' Apparemment une ville aurait été fondée, arfff '

C'est ainsi que je m'assoupis, en rêvant d'une nouvelle cité et d'un jambon.....:confused:
 

DeletedUser

Invité
hrp- c'est pas sympa de me narguer avec tes plumes/hrp
La rumeur faisait de plus en plus de bruit, une ville a à priori été construite !
La civilisation le rattrapé déjà ! Il fut tenter d'aller voir, voir s'il avait un whisky digne de ce non, mais la peur d'être rattrapé par le passé ...
La seul solution était de fuir vers l'ouest, le nouveau continent avait certainement attiré aussi nombre de ses vieux ennemi.
Encore quelque tâche et il pourrait partir.
Lorsqu'il arriva au campement, Stork dormais déjà, et après avoir dissimulé le jambon afin que les coyotes ne soient pas attirés par l'odeur de le repas du lendemain, il l'imita
 

DeletedUser

Invité
Dès que le soleil pointa ses premiers rayons au petit matin le réchauffant de cette nuit glaciale passée à la belle étoile, Josh s'éveilla d'humeur rieuse et décidée, il avait pensé toute la nuit à l'invitation de Darya et ses amis de venir les rejoindre à Pionner City.

Ce matin c'est décidé se dit-il, je pars les retrouver en on verra ce que l'aventure me réserve. sur ce il éteignit le reste du feu, ramassa sa couverture, scella son mustang et se mit en route rapidement car il avait encore quelques heures de chemins escarpés et poussièreux avant de pouvoir prendre un pot avec ses nouveaux amis.
 

DeletedUser

Invité
oui pionner city était leur destination
mais une longue marche les attendais,
des les premier rayon de soleilje me remit en route espérant les rattraper en chemin,
mais ils avaient pris une bonne longueur d'avance,mon cheval étant aussi
vieux que matusalem,je ne serait pas la avant la nuit tomber,voir au petit
matin.
je continuai ma route ,tous en pensant au nouveau amis que
j'allais bientôt rejoindre,et en rêvant d'un bon bain chaud, et d'un bon lit douillet
 

DeletedUser

Invité
Peaudours, autrement appelé Mato Sapa par ses amis Lakotas, suivait de loin les traces de ce groupe depuis plusieurs nuits.
Ces "pélerins" faisaient tellement de bruit qu'il n'y avait pas de grandes difficultés à les repérer. Le seul problème était de pouvoir approcher le gibier après leur passage !

10055477ue8.jpg


Il était tenté de se joindre à eux mais hésitait. Il avait de par le passé plusieurs fois été déçu à se confier et donner son amitié trop vite !
... Et puis ... A bivouaquer seul il ne risquait pas de tirer sur un compagnon qui serait parti pisser seul en pleine nuit sans prévenir !

De toutes façons, il les avait entendu parler d'une ville nouvelle dans l'Ouest, mais lui voulait aller dans l'Ouest de l'Ouest, au-dela de la frontière, au-delà de la civilisation. Il voulait trouver ses racines spirituelles natives.
Le moindre voisin à moins de 5 miles l'indisposait, il avait l'impression de manquer d'air ! ...
 

DeletedUser

Invité
Discrètement

Arriva sans faire un bruit , aussi dsicrète que le lui avait enseigné ses ancêtres....

Et se tira une bûche!;)

Tout ce qu'elle voulais faire était de se réchauffer auprès du feu

après avoir tant marcher peut-être faire de nouvelles connaissances quoi qu'elle soit encore méfiante!
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser

Invité
Bon dieu d'chaleur ! La marche est pénible mais l'homme y est habitué. Quand on est né dans l'grand west la cagnard on connait ! Pourtant le soleil ne va pas tarder a ce coucher...Bref l'homme trouve un coin pour camper et passer la nuit et tombe sur les cendre d'un feu d'camp. Facil'ment une semaine que l'feu est éteint. Seul il s'égare a faire la conversation avec un coyote mort pret du feu qu'il a rallumé.

Ouai comme j'te dis l'coyote ! Les bonz' s'ammènent dans l'bar, me r'luquent et me disent "Hey l'indien fout l'camp d'ici!". Nan mais franch'ment, tu trouves que j'ai une dégaine d'indien ? Ma peau elle est clair'ment cuivrée mais pas rouge !
Donc moi l'air de rien je dévisage les gars l'air méchant quoi...j'avais l'choix entre ravaler ma fierté et leur rentrer dans l'lard et probablement prendre une bonne raclée...ils étaient trois j'te rappelle !

Bref dans un élan d'inconscience j'décide qu'il existe une 3e option, le bluff. Une type qui sirotait son drink avait posé son colt sur l'comptoire et moi ni une ni deux j'm'en saisi a la surprise générale. Les gars tout pantois en face f'saient moins les fiers.

Eh ! Tu m'demandes pas ce qu'il s'est passé après ? Tanpis j'te raconte ! J'ai la pétoire dans les mains, et les guiboles qui tremblent sérieus'ment, moi aussi j'en mène pas large, mais j'suis du bon coté du flingue.

J'leur fais signe du bout du pétard de sortir, et après un clin d'oeil au proprio du basard qui semblait amusé je sors rejoindre les zigs. Je voyais tout l'monde a l'interieur du bar qui regardait attentif, attendant l'carton.

A grand renfort de geste et de menaces j'ai renvoyé les gars hors d'la ville sur leur canasson, mais pas sans leur avoir soutiré du tabac. Leur disant qu'ils avaient d'la chance que je les scalpe pas etc etc...

J'aurai mieux fait d'me taire ce jour là, parce qu'un gus a commencé a dire que j'étais vraiment "Crazy" et ils se sont mis a m'app'lé "Crazy Horse". D'puis ils m'appellent tous comme ça ! Nan mais j'te jure ! J'suis pourtant pas un peau rouge quoi! J'en ai presque oublié comment j'm'app'lais avec cette histoire...Ouai tu t'en fout hein l'coyote...tu t'interesses pas aux histoires des autres toi! Bonne nuit quand même.

La sollitude dans l'west vous pousse parfois a faire des choses bien étrange, parler avec un coyote mort en fait partie !
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser

Invité
desillusion

Après maintes aventures et missions, il entendit une conversation non loin de là ,c'etait un groupe assez disparate d'hommes et de femmes mi visage pale mi indien ...bien qu'il vit des gens de son peuple il decida de se faire le plus discret possible et puisque ils allaient vers l'ouest lui irait vers l'est. il avait besoin de solitude et de calme ,pas vraiment d'humeur à palabrer .il fit coucher son cheval dans les hautes herbes, sa main sur les naseaux il s'allongea derriere lui et les laissa passer en esperant que personne ne le vit
 

DeletedUser

Invité
en effet ils ne le virent pas ,la civilisation etait en marche .En marche vers l'ouest vers l'espoir, l'or.Il parait qu'il y a des gisements dans ces contrées ... loin de la misere, misere que connaissaient tout ces colons venus d'ailleurs,venus de terres lointaines au dela des mers .Aucun ne parlait le même langage, n'avait les mêmes coutumes; mais ils etaient tous d'accord sur un point ...eliminer les peaux cuivrées ,les hommes rouges, les sauvages comme ils disent .ils ont tout fait pour ça, jusquà leur donner des couvertures contaminées ,ils ont apportés avec eux des maladies jusque là inconnues nous qui vivions en harmonie avec la terre mère, et quand sa suffisait pas ils dechargeaient leur batons qui crachent le feu sur femmes enfants et vieillards . quand ils furent loin et ne purent apercevoir sa presence, il s'ebroua pour chasser ses noires pensées et la haine qu'il nourrissait à l'encontre de custer qui avait decimé sa tribu.Apres avoir entouré les sabot de l'etalon avec des chiffons il sauta lestement sur son apaloosa, donna des talons et parti sans bruit vers sa solitude
 

DeletedUser

Invité
en effet ils ne le virent pas ,la civilisation etait en marche .En marche vers l'ouest vers l'espoir, l'or.Il parait qu'il y a des gisements dans ces contrées ... loin de la misere, misere que connaissaient tout ces colons venus d'ailleurs,venus de terres lointaines au dela des mers .Aucun ne parlait le même langage, n'avait les mêmes coutumes; mais ils etaient tous d'accord sur un point ...eliminer les peaux cuivrées ,les hommes rouges, les sauvages comme ils disent .ils ont tout fait pour ça, jusquà leur donner des couvertures contaminées ,ils ont apportés avec eux des maladies jusque là inconnues nous qui vivions en harmonie avec la terre mère, et quand sa suffisait pas ils dechargeaient leur batons qui crachent le feu sur femmes enfants et vieillards . quand ils furent loin et ne purent apercevoir sa presence, il s'ebroua pour chasser ses noires pensées et la haine qu'il nourrissait à l'encontre de custer qui avait decimé sa tribu.Apres avoir entouré les sabot de l'etalon avec des chiffons il sauta lestement sur son apaloosa, donna des talons et parti sans bruit vers sa solitude

Après plusieurs jours de chevauchées harassantes sans manger ni boire il arriva à Wheeler Peak point culminant du Nevada ,apres avoir gravi un sentier sinueux pendant trois heures,au milieu des pins et des vastes prairies, il pu apercevoir de très nombreux cervidés.
de là il avait vue immense sur la région, assez désertique. Le massif montagneux du Great Basin attire l'œil de spencer car il semble sortir de terre au milieu d'une vaste plaine , tel un navire échoué.
il s'assoit à même le sol sec et poussiereux et contemple ce site grandiose , exceptionnel qui s'ouvre à sa vue.
devant la grandeur de ce spectacle il
en tailleur les mains sur les genoux dans une priere syncopée il invoqua le grand manitou pour lui demander si le sentier qu'il avait prit pour mener sa vie etait le bon ,si ses decisions etaient les bonnes ? si sa vie même avait un sens . le grand esprit saurait le mener sur la bonne voie .
 

DeletedUser

Invité
Yuma

Après trois lunes passées à reflechir, les muscles engourdis, tres amaigri, il se lève ramasse queques pierres, forme un petit cercle , glane quelques brindilles seches, les pose dans le cercle de pierre puis y met le feu .En melangeant un peu de salive à une petite motte de terre ocre qu'il pose dans le creux de sa main la malaxe, il fabrique ainsi sa peinture de guerre qu'il appose sur sa figure puis fait de même avec le charbon de bois du foyer . une fois ses peintures de guerre appliquées sur la figure et le torse il en fit autant pour son apaloosa. Coupe et jette une poignée d'herbe dans le feu pour faire de la fumée et signifier à ses freres rouges qu'il entre en guerre .
Pour qui comprend les signaux de fumée ils signifient :

Moi yuma (fils du chef) je declare la guerre au visage pale CUSTER .Les miens rejoindront le grand esprit dans ses vastes plaines quand son scalp ornera mon wigwam. Je n'aurais de repos que lorsqu'il aura payé ses forfaits ,lui et tout les chiens qui l'accompagnaient . Hug j'ai dit ainsi parlait spencer reprenant son nom de guerre . il entonna un chant guerrier et dansa autour des flammes
 

DeletedUser

Invité
Jess baladait fièrement sur son superbe étalon immaculé parmi les Hautes Plaines. Elle acquittait ses différentes missions au pas de course de son cheval qu'elle menait à bride abattue la plupart du temps. Elle ramenait cette fois dans ses sacoches quelques peaux de castors qu'elle avait pu glaner auprès d'une rivière aux dangereux remous.

Elle rentrait vers la ville, la civilisation ... vers les siens. Lorsque soudain son regard fut attiré par une colonne de fumée provenant d'une des collines rouges qui bordait la plaine. Elle stoppa sa monture et porta ses mains en visière, plissant les yeux pour tenter de discerner quelque mouvement autour de ce qui devait être un feu.
Mais rien n'y fit, elle était sans doute beaucoup trop loin pour satisfaire sa curiosité.
*faut pas trainer là* se dit-elle instinctivement. *Un feu n'est pas souvent bon signe ...
Mais si c'était ... ? Non non ... de toute manière, si c'était lui, il m'avait dit vouloir s'isoler pour m'oublier alors ... autant se faire discrète*


Résignée, elle donna une petite tape sur l'encolure de son destrier et il repartit au grand galop vers son village.
 

DeletedUser

Invité
yuma

il brandissant son Tomahawk, il surgit soudainement du bois. Croyant avoir à faire à quelque visage pale egaré dont il allait prendre le scalp .Quand il l'a reconnu il freina des quatre fers son etalon, resta pantois le bras levé pret à frapper .
la stuppeur le cloua sur place. Pour le moins c'est bien la derniere personne qu'il s'attendait à voir dans la plaine .

jess que fais tu là, il est dangereux de s'aventurer si loin de chez toi. Comme tu peux le voir j'ai mis les peintures de guerres, prevenu les guerriers apaches mes freres, pour chasser ce chien de custer. Ses propos et son attitude fiere et guerriere ne laissait rien transparaitre du trouble qui l'envahissait. son coeur battait la chamade derriere son torse peint.il sauta de son cheval qui se cabrait et lançait ses sabot fouettant l'air avec un hennissement strident ...
je suis content de te voir petite luciole mais il ne faut pas rester là, je vais t'accompagner vers un endroit plus sur ou tu seras en securité
 
Haut