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LOL !
On fait peur à qui ?????
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On fait peur à qui ?????
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Belle lurette disiez-vous ?
La date et l'heure du serveur en bas de l'écran sont là pour prouver qu'on n'a pas la même notion de la belle lurette. Ni du mensonge, ou alors, c'est que moi je sais compter.
Quand au "monsieur qui a la gâchette qui frétille", c'est une dame. Merci pour elle...
Si notre ouvrier a quitté la ville, c'est avant tout pour ne plus avoir à subir vos attaques. Quatre hier.
Si la raison vous reprend, contactez moi donc sur le jeu, que nous cessions d'importuner les lecteurs de ce forum qui viennent ici pour chercher du divertissement.
La date et l'heure du serveur en bas de l'écran sont là pour prouver qu'on n'a pas la même notion de la belle lurette. Ni du mensonge, ou alors, c'est que moi je sais compter.
Quand au "monsieur qui a la gâchette qui frétille", c'est une dame. Merci pour elle...
Si notre ouvrier a quitté la ville, c'est avant tout pour ne plus avoir à subir vos attaques. Quatre hier.
Si la raison vous reprend, contactez moi donc sur le jeu, que nous cessions d'importuner les lecteurs de ce forum qui viennent ici pour chercher du divertissement.
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La date et l'heure du serveur en bas de l'écran sont là pour prouver qu'on n'a pas la même notion de la belle lurette. Ni du mensonge, ou alors, c'est que moi je sais compter.
Quand au "monsieur qui a la gâchette qui frétille", c'est une dame. Merci pour elle...
Si notre ouvrier a quitté la ville, c'est avant tout pour ne plus avoir à subir vos attaques. Quatre hier.
Si la raison vous reprend, contactez moi donc sur le jeu, que nous cessions d'importuner les lecteurs de ce forum qui viennent ici pour chercher du divertissement.
J'aime bien lire du crêpage de chignons, moi^^
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Ne mélangeons pas tout.
J'ai "foutu le camp" car je ne voulais pas rester au milieu de la bataille avec ma pelle et mon seau alors que tout le monde à des guns de six pieds de long.
J'avais proposé une trêve pour avoir la paix, elle ne peut avoir lieu tant qu'il y aura un duelliste debout, je libère la rue. C'est tout !
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Invité
J'y serai aussi ! Je vais pas laisser ma Patmoit seule entre de sales pattes !
Et tant pis si c'est un carnage ! Vous pouvez toujours sonner "El Déguello", on s'en fout !
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Invité
Tug avait entendu les coups de feu et les cris stridents de ces donzelles.
L'air curieux et nonchalant, il s'approcha pour voir ça de plus près.
En voilà une bataille qui s'annonce enragée!
Il s'assit dans un coin pour se rouler une cigarette et attendit la suite.
Il vit son ami iakin au milieu des belligérants et lui fit un clin d'oeil.
L'air curieux et nonchalant, il s'approcha pour voir ça de plus près.
En voilà une bataille qui s'annonce enragée!
Il s'assit dans un coin pour se rouler une cigarette et attendit la suite.
Il vit son ami iakin au milieu des belligérants et lui fit un clin d'oeil.
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De nature curieuse et afin de se changer les idées, celui que l'on surnommait "Bugs" suivit le trajet de la foule attirée par le bruit.
Il observa la scène tout en apercevant un homme assit dans un coin qui roulait sa cigarette avec dextérité.
"La pipe est plus distinguée tout de même!", pensa-t-il, joignant le geste à la parole.
Plus tard, entre deux bouffées, il se fit la remarque que la vrai raison était tout autre car, s'il était doué pour caresser le corps des femmes, se rouler une cigarette lui posait plus de difficultés...!
Il s'empressa de chasser cette idée en se reconcentrant sur le spectacle devant lui.
Il observa la scène tout en apercevant un homme assit dans un coin qui roulait sa cigarette avec dextérité.
"La pipe est plus distinguée tout de même!", pensa-t-il, joignant le geste à la parole.
Plus tard, entre deux bouffées, il se fit la remarque que la vrai raison était tout autre car, s'il était doué pour caresser le corps des femmes, se rouler une cigarette lui posait plus de difficultés...!
Il s'empressa de chasser cette idée en se reconcentrant sur le spectacle devant lui.
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Invité
Merci Pat' pour la rectification de sexe, en effet j'en ai pas changé dans la nuit ^^
Et si ça dérrange quelqu'un que j'ai envie de soutenir des alliés pendant une bataille de fort, c'est son probleme. On ne créé pas des alliances pour rien.
Je dirai donc, rendez vous sur le champ de bataille.
Et si ça dérrange quelqu'un que j'ai envie de soutenir des alliés pendant une bataille de fort, c'est son probleme. On ne créé pas des alliances pour rien.
Je dirai donc, rendez vous sur le champ de bataille.
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Et bien...
Avec tout ce beau monde, je vais rester à la maison moi. J'aurai les danseuses du Saloon pour moi tout seul
Avec tout ce beau monde, je vais rester à la maison moi. J'aurai les danseuses du Saloon pour moi tout seul
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sitting jay si tu veux des danseuses, revient chez nous alors !
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Hello Patmoit,
Je viens de lire votre discussion qui je dois le dire est forte intéressante, mais le Fort Appaloosa Town est toujours là et l'on ce réjouit de votre visite ...
Je viens de lire votre discussion qui je dois le dire est forte intéressante, mais le Fort Appaloosa Town est toujours là et l'on ce réjouit de votre visite ...
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Invité
sitting jay si tu veux des danseuses, revient chez nous alors !
En visite un de ces quatre avec grand plaisir.
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Ils étaient tous là, nonchalamment assis sur les rambardes, qui devant le Saloon, qui devant le Grocery, certains adossés aux façades des bâtiments qui bordaient la grand rue.
Le regard à l'abri de leurs stetsons, les oeillades glissaient, les hommes se jaugeaient, se comprenaient sur une simple inclinaison de la tête qui faisait avancer la barre d'ombre plus avant sur leurs nez. Il y en avait de toutes les villes des environs, et certains avaient parcourus plus de miles pour venir qu'elle n'en ferait jamais dans toute sa vie. Quelques-uns étaient connus pour être ennemis sur les champs de bataille et cette réunion de crache le sang lui filait les chocottes !
Mais qu'est-ce-qu'elle avait encore été inventer là ? Si un jour elle apprenait à se taire !... Elle se ferait suer, c'est sûr.
*Ils veulent du spectacle ? Je vais leur en donner moi du spectacle !* se dit-elle mentalement pour retrouver un peu de courage dans ses boyaux qu'un tripier aurait jeté directement aux cochons...
Elle avança en direction de Quarter, la tête bien droite devant la ribambelle de terreurs de l'West, tentant de se donner une démarche souple qui se voulait décoincée, alors qu'elle était tendue comme une arbalète et qu'un pet de mouche aurait suffit à lui faire faire un bond de trois mètres (gageure pour elle qui en hauteur n'en faisait que la moitié). C'est alors que la molette de ses éperons tout neufs se prit dans ses jupons et qu'elle s'affala au beau milieu de la rue dans un grand SCCCRRRRAAAAAATTTCHHHHHH qui lui déchira la moitié de sa robe de danseuse qu'elle avait revêtue pour l'occasion.
Pas un ne bougea. Bugs continua de tripoter sa pipe, TUG continua de rouler sa cigarette, Jay continua de dragouiller Nadge, au bord de la pamoison...
Se relevant péniblement, les joues empourprées par la honte d'avoir flingué sa belle démarche onduleuse qu'elle avait répété pendant deux heures et sa robe qu'elle avait fait venir de Boston et qui lui avait coûté les yeux de la tête, elle poursuivit sa route vers cet adversaire d'un soir, trainant derrière elle un morceau de jupon toujours coincé dans son éperon.
"Hum hum... Bonsoir Quarter. Je me réjouis moi aussi à l'idée de vous rencontrer demain soir aux environs de 20h30. J'espère vous croiser, en haut de vos remparts, et vous souhaite bonne chance, à vous comme à vos amis".
Les dés étaient jetés, les hommes allaient pouvoir se mesurer les uns aux autres. Encore une fois... à cause d'une femme.
Le regard à l'abri de leurs stetsons, les oeillades glissaient, les hommes se jaugeaient, se comprenaient sur une simple inclinaison de la tête qui faisait avancer la barre d'ombre plus avant sur leurs nez. Il y en avait de toutes les villes des environs, et certains avaient parcourus plus de miles pour venir qu'elle n'en ferait jamais dans toute sa vie. Quelques-uns étaient connus pour être ennemis sur les champs de bataille et cette réunion de crache le sang lui filait les chocottes !
Mais qu'est-ce-qu'elle avait encore été inventer là ? Si un jour elle apprenait à se taire !... Elle se ferait suer, c'est sûr.
*Ils veulent du spectacle ? Je vais leur en donner moi du spectacle !* se dit-elle mentalement pour retrouver un peu de courage dans ses boyaux qu'un tripier aurait jeté directement aux cochons...
Elle avança en direction de Quarter, la tête bien droite devant la ribambelle de terreurs de l'West, tentant de se donner une démarche souple qui se voulait décoincée, alors qu'elle était tendue comme une arbalète et qu'un pet de mouche aurait suffit à lui faire faire un bond de trois mètres (gageure pour elle qui en hauteur n'en faisait que la moitié). C'est alors que la molette de ses éperons tout neufs se prit dans ses jupons et qu'elle s'affala au beau milieu de la rue dans un grand SCCCRRRRAAAAAATTTCHHHHHH qui lui déchira la moitié de sa robe de danseuse qu'elle avait revêtue pour l'occasion.
Pas un ne bougea. Bugs continua de tripoter sa pipe, TUG continua de rouler sa cigarette, Jay continua de dragouiller Nadge, au bord de la pamoison...
Se relevant péniblement, les joues empourprées par la honte d'avoir flingué sa belle démarche onduleuse qu'elle avait répété pendant deux heures et sa robe qu'elle avait fait venir de Boston et qui lui avait coûté les yeux de la tête, elle poursuivit sa route vers cet adversaire d'un soir, trainant derrière elle un morceau de jupon toujours coincé dans son éperon.
"Hum hum... Bonsoir Quarter. Je me réjouis moi aussi à l'idée de vous rencontrer demain soir aux environs de 20h30. J'espère vous croiser, en haut de vos remparts, et vous souhaite bonne chance, à vous comme à vos amis".
Les dés étaient jetés, les hommes allaient pouvoir se mesurer les uns aux autres. Encore une fois... à cause d'une femme.
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Toute la scène échappa à Iakin...
Il pensait encore à l'entrée de Tug, et y trouvait quelque chose de comique dans le fait que celui-ci vienne mettre ses bottes dans ce bazar en pensant passer inaperçu. De plus, la remarque de Bugs le laissa songeur... Lui-même ne se promenait jamais sans son bout de tabac collé aux lèvres.
Ne devrais-je pas moi aussi me mettre à la pipe ? se dit-il, mon bout de mégot ressemble à une chique, au moins une pipe on ne se laisse pas aller à la mâchouiller.
Aussi, regardant à nouveau autour de lui, Iakin ne comprit pas pourquoi tous ces visages donnaient l'impression que ce n'était justement pas le moment de rire. Il aurait bien rit lui pourtant, en s'imaginant fumer la pipe.
Je ne pensais pas être ici pour juger avec vous du plus élégant. Regardez Patmoit, elle vient discourir comme elle sortirait d'une fusillade !
Décidément l'observation et les remarques justes n'étaient pas le fort de Iakin...
Iakin toussa si fort qu'il en avalât son mégot.
Crachebuse ! 24 heures, ce n'est même pas le temps de préparer ma monture.
Il pensait encore à l'entrée de Tug, et y trouvait quelque chose de comique dans le fait que celui-ci vienne mettre ses bottes dans ce bazar en pensant passer inaperçu. De plus, la remarque de Bugs le laissa songeur... Lui-même ne se promenait jamais sans son bout de tabac collé aux lèvres.
Ne devrais-je pas moi aussi me mettre à la pipe ? se dit-il, mon bout de mégot ressemble à une chique, au moins une pipe on ne se laisse pas aller à la mâchouiller.
Aussi, regardant à nouveau autour de lui, Iakin ne comprit pas pourquoi tous ces visages donnaient l'impression que ce n'était justement pas le moment de rire. Il aurait bien rit lui pourtant, en s'imaginant fumer la pipe.
Je ne pensais pas être ici pour juger avec vous du plus élégant. Regardez Patmoit, elle vient discourir comme elle sortirait d'une fusillade !
Décidément l'observation et les remarques justes n'étaient pas le fort de Iakin...
Iakin toussa si fort qu'il en avalât son mégot.
Crachebuse ! 24 heures, ce n'est même pas le temps de préparer ma monture.
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Je ne "dragouille" pas Nadge, nous reprenons contact et on parle de ballet. Tu sais, un peu comme ton pas de 2 devant les remparts... :p
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Tug sortit une allumette de sa chemise et la craqua sous sa botte.
Décidément, il commençait à y avoir du monde par ici...
Il releva la tête et alluma son mégot, tout en parcourant l'assemblée du regard.
Du coin de l'oeil, il vit un homme, à proximité, qui semblait l'observer. Sa pipe dégageait une douce odeur qui lui parvint jusqu'aux narines.
Cette effluve n'était pas aussi parfumée que l'herbe de son ami shaman Kyver, celle-qui-pousse-dans-la-vaste-prairie-où-les-femelles-bisons-mettent-bas, mais elle sentait bon.
Un bruit de chute suivi d'un râle le sortit de ses pensées.
Il tourna la tête et la vit... affalée par terre dans un nuage de poussière, sa robe à moitié déchirée prise dans un de ses éperons.
Dans un autre contexte, il serait venu l'aider à se relever... mais Tug continua d'observer la scène.
Elle se releva, avec la fierté d'un général sudiste tombé de son cheval pendant le défilé, écartant d'un geste les cheveux entremêlés sur son visage.
Tug esquissa un sourire.
Puis elle se dirigea vers un colosse qui visiblement l'avait interpelé.
Tout le monde s'approcha et bientôt, un murmure parcouru l'assemblée tel un frisson.
pschschschshchsch... attaque... pschchschschch... demain soir... pschchschs... fort Appaloosa Town... pschschschchsch...
Décidément, son ami avait eu raison de le traîner là. Cette petite était pleine de surprises.
Il crû percevoir une esquisse de sourire sur le visage de Iakin.
Tug hocha la tête dans sa direction, se leva et tourna les talons vers son cheval .
Avec un peu de chance, il aurait regagné son fief avant le levé du jour.
Et qui sait, pourrait-il se reposer un peu avant de revenir présenter ses hommages à cette... danseuse...
En espérant qu'elle se soit changée pour l'occasion...
Décidément, il commençait à y avoir du monde par ici...
Il releva la tête et alluma son mégot, tout en parcourant l'assemblée du regard.
Du coin de l'oeil, il vit un homme, à proximité, qui semblait l'observer. Sa pipe dégageait une douce odeur qui lui parvint jusqu'aux narines.
Cette effluve n'était pas aussi parfumée que l'herbe de son ami shaman Kyver, celle-qui-pousse-dans-la-vaste-prairie-où-les-femelles-bisons-mettent-bas, mais elle sentait bon.
Un bruit de chute suivi d'un râle le sortit de ses pensées.
Il tourna la tête et la vit... affalée par terre dans un nuage de poussière, sa robe à moitié déchirée prise dans un de ses éperons.
Dans un autre contexte, il serait venu l'aider à se relever... mais Tug continua d'observer la scène.
Elle se releva, avec la fierté d'un général sudiste tombé de son cheval pendant le défilé, écartant d'un geste les cheveux entremêlés sur son visage.
Tug esquissa un sourire.
Puis elle se dirigea vers un colosse qui visiblement l'avait interpelé.
Tout le monde s'approcha et bientôt, un murmure parcouru l'assemblée tel un frisson.
pschschschshchsch... attaque... pschchschschch... demain soir... pschchschs... fort Appaloosa Town... pschschschchsch...
Décidément, son ami avait eu raison de le traîner là. Cette petite était pleine de surprises.
Il crû percevoir une esquisse de sourire sur le visage de Iakin.
Tug hocha la tête dans sa direction, se leva et tourna les talons vers son cheval .
Avec un peu de chance, il aurait regagné son fief avant le levé du jour.
Et qui sait, pourrait-il se reposer un peu avant de revenir présenter ses hommages à cette... danseuse...
En espérant qu'elle se soit changée pour l'occasion...
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Jour J
[FONT=Georgia, Times New Roman, Times, serif]Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon coeur
D'une langueur
Monotone.
Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l'heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure,
Et je m'en vais
Au vent mauvais
Qui m'emporte
Deçà, delà
Pareil à la
Feuille morte.[/FONT][FONT=Georgia, Times New Roman, Times, serif]Paul VERLAINE, Poèmes saturniens (1866)[/FONT]
[FONT=Georgia, Times New Roman, Times, serif]Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon coeur
D'une langueur
Monotone.
Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l'heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure,
Et je m'en vais
Au vent mauvais
Qui m'emporte
Deçà, delà
Pareil à la
Feuille morte.[/FONT][FONT=Georgia, Times New Roman, Times, serif]Paul VERLAINE, Poèmes saturniens (1866)[/FONT]