DeletedUser4008
Invité
Ahote avait été blessée à cause de l'indien....Le pourri qui s'était acoquiné avec les visages pâles pour quelques verres d'eau de feu. Il en avait oublié les traditions séculaires des indiens. D'accord Ahote et lui n'étaient pas du même clan mais tout de même, il existait certains accords tacites entre indiens.
Waupee alias "hémorroïdès", à force de manger des haricots rouges qui avaient la fâcheuse tendance à irriter le colon....(non pas les colons!), n'était pas au bout de ses surprises. Ahote lui réservait un chien de sa chienne. A cause de lui il avait reçu une balle à l'épaule. Lui et ses missions scabreuses...
La pauvre indienne en était arrivée à mendier quelques missions pour quelques dollards de plus. Elle devait faire vivre sa famille maintenant que sa famille avaient été expulsée de leur terre par les visages pâles et que le troc n'avait quasiment plus cour. Seul les billets verts avaient de la valeur pour commercer. Les us et coutume indiennes allaient en pâtir à coup sûr.
Après avoir laisser son pendentif au trappeur Free, qui l'avait soigné pendant des jours, en guise de remerciement, Ahote était rentrée chez elle. A peine un pied dans le tipi familiale, que ses parents se jetèrent dans ses bras. Après une explication plus qu'approximative pour leur éviter du soucis, Ahote ruminait déjà une vengeance pour waupee le pourri.
Il payerait avec la seule chose qui avait de l'importance à ses yeux et c'était les billets verts pour se payer quelques filles à la cuisses légères et de l'eau de feu. C'était décidé, elle le provoquerait en duel et lui volerait ses sous.
Quelques jours passèrent et elle prétexta une chasse aux coyotes pour partir en ville. Assise sur son cheval, elle arriva en ville. La grande rue était presque déserte et les seuls âmes qui erraient, la regardèrent passer d'un oeil suspicieux. Les indiens n'étaient souvent pas les biens venus à la grande ville. Quelques uns étaient tolérés pour ne négoce de peaux.
La brune attacha son cheval devant le saloon et pénétra à l'intérieur. Elle savait que le pourri s'y trouvait surement sur sa chaise attitrée.
Un regard circulaire dans l'établissement et déjà le shérif venait à sa rencontre.
Dis moi ma belle, pas de grabuge ici, tu as compris?
Ecoute Fitzburn, occupe toi de mettre en prison, les gens qui sont dans tes petits portraits, placardés sur les murs de la ville. A moins que je me trompe, je n'y suis pas.... Va plutôt voir la jolie Maria près du bar et laisse moi.
Le shérif reparti s'assoir à côté de maria en glissant sa main sur la fesse moulée dans un collant, de la serveuse. Il regardait l'indienne mais sa main le tenait assurément tranquille. Ahote s'avança vers l'indien. Le pourri avait les yeux à demi clos, bien imbibé à cause de l'alcool. L'indienne attrapa le verre posée sur la table et lui lança au visage. Pas que le liquide....mais tout le verre. Oui ça faisait plus mal !!!
Prend ça le pourri.....
Elle vit les regards se retourner et le manchot arriva à son niveau.
Attends Ahote, je sais que Waupee n'est pas net. Travaille pour moi et je te donnerais quelques missions à faire. Laisse le tranquille.
Toi, Herson, tu m'en reparleras de tes missions!!!
La fois où tu m'as dit d'aller chercher un homme en rouge dans un traineau tiré par des rennes volants ....ou la fois où je devais trouver ton frère, au fin fond de nulle part, dans le bordel le plus infâme de l'ouest, tout ça pour lui apporter un repas chaud. Rien de ne pénétrer à l'intérieur j'ai failli attraper la syphilis.
Vous êtes bien tous les même. Vous me savez prise à la gorge par vos billets verts et en profitez pour m'exploiter comme vous avez exploité mon peuple depuis votre venu..... Wauppe, lui, est encore moins excusable.
Le barman, Henry Walker arriva et se mit entre Ahote et l'indien.
Indienne, tu le touches pas. Waupee est notre ami et ils nous fait gagner des sous.
Oui au détriment de personne comme moi. Alors il va payer.
L'indienne sortit son couteau et aussi vite qu'il ne faut pour le dire, sauta pour se retrouver derrière Waupee. Le couteau à la main, elle fit légèrement pression sur la lame et appuya sur son cou.
Maintenant le pourri, tu vas sortir dans l'instant....on va se battre dehors. Si tu as encore une paire dans son pantalon.
Elle tira sur la tronche de l'indien non pas pour lui dévisser mais pour le faire se lever et enleva sa lame qui rendait nerveux pas mal de clients dans le saloon.
Foutez moi la paix, c'est une histoire entre lui et moi.
L'indien devait surement rapporter un joli petit magot à tous ces visages pâles qui commencèrent à arriver en masse devant l'indienne. Ahote du reculer en hurlant comme un putois.
DEHORS WAUPEE, VIENS DEHORS SI T'ES UN HOMME!!!!
Le barman, le manchot et le shérif, la firent reculer. Elle passa les portes battantes du saloon, pour se retrouver dans la grande rue....
On entendait que le vent qui soulevait la poussière. Plus un bruit.
Ahote espérait que l'indien sorte de là mais seulement les gens du saloon l'observaient et faisaient bloc devant la porte pour lui barrer le chemin de l'établissement.
Elle pointa son doigt sur eux.
Vous savez que si ce n'est pas maintenant, ça sera plus tard mais il payera.
Le manchot commença à sortir son révolver. Ils étaient tous de connivence et Ahote blêmit, elle eut envie de crier, "JE NE SUIS PAS UN NUMERO, JE SUIS UNE FEMME LIBRE!!!"
Waupee alias "hémorroïdès", à force de manger des haricots rouges qui avaient la fâcheuse tendance à irriter le colon....(non pas les colons!), n'était pas au bout de ses surprises. Ahote lui réservait un chien de sa chienne. A cause de lui il avait reçu une balle à l'épaule. Lui et ses missions scabreuses...
La pauvre indienne en était arrivée à mendier quelques missions pour quelques dollards de plus. Elle devait faire vivre sa famille maintenant que sa famille avaient été expulsée de leur terre par les visages pâles et que le troc n'avait quasiment plus cour. Seul les billets verts avaient de la valeur pour commercer. Les us et coutume indiennes allaient en pâtir à coup sûr.
Après avoir laisser son pendentif au trappeur Free, qui l'avait soigné pendant des jours, en guise de remerciement, Ahote était rentrée chez elle. A peine un pied dans le tipi familiale, que ses parents se jetèrent dans ses bras. Après une explication plus qu'approximative pour leur éviter du soucis, Ahote ruminait déjà une vengeance pour waupee le pourri.
Il payerait avec la seule chose qui avait de l'importance à ses yeux et c'était les billets verts pour se payer quelques filles à la cuisses légères et de l'eau de feu. C'était décidé, elle le provoquerait en duel et lui volerait ses sous.
Quelques jours passèrent et elle prétexta une chasse aux coyotes pour partir en ville. Assise sur son cheval, elle arriva en ville. La grande rue était presque déserte et les seuls âmes qui erraient, la regardèrent passer d'un oeil suspicieux. Les indiens n'étaient souvent pas les biens venus à la grande ville. Quelques uns étaient tolérés pour ne négoce de peaux.
La brune attacha son cheval devant le saloon et pénétra à l'intérieur. Elle savait que le pourri s'y trouvait surement sur sa chaise attitrée.
Un regard circulaire dans l'établissement et déjà le shérif venait à sa rencontre.
Dis moi ma belle, pas de grabuge ici, tu as compris?
Ecoute Fitzburn, occupe toi de mettre en prison, les gens qui sont dans tes petits portraits, placardés sur les murs de la ville. A moins que je me trompe, je n'y suis pas.... Va plutôt voir la jolie Maria près du bar et laisse moi.
Le shérif reparti s'assoir à côté de maria en glissant sa main sur la fesse moulée dans un collant, de la serveuse. Il regardait l'indienne mais sa main le tenait assurément tranquille. Ahote s'avança vers l'indien. Le pourri avait les yeux à demi clos, bien imbibé à cause de l'alcool. L'indienne attrapa le verre posée sur la table et lui lança au visage. Pas que le liquide....mais tout le verre. Oui ça faisait plus mal !!!
Prend ça le pourri.....
Elle vit les regards se retourner et le manchot arriva à son niveau.
Attends Ahote, je sais que Waupee n'est pas net. Travaille pour moi et je te donnerais quelques missions à faire. Laisse le tranquille.
Toi, Herson, tu m'en reparleras de tes missions!!!
La fois où tu m'as dit d'aller chercher un homme en rouge dans un traineau tiré par des rennes volants ....ou la fois où je devais trouver ton frère, au fin fond de nulle part, dans le bordel le plus infâme de l'ouest, tout ça pour lui apporter un repas chaud. Rien de ne pénétrer à l'intérieur j'ai failli attraper la syphilis.
Vous êtes bien tous les même. Vous me savez prise à la gorge par vos billets verts et en profitez pour m'exploiter comme vous avez exploité mon peuple depuis votre venu..... Wauppe, lui, est encore moins excusable.
Le barman, Henry Walker arriva et se mit entre Ahote et l'indien.
Indienne, tu le touches pas. Waupee est notre ami et ils nous fait gagner des sous.
Oui au détriment de personne comme moi. Alors il va payer.
L'indienne sortit son couteau et aussi vite qu'il ne faut pour le dire, sauta pour se retrouver derrière Waupee. Le couteau à la main, elle fit légèrement pression sur la lame et appuya sur son cou.
Maintenant le pourri, tu vas sortir dans l'instant....on va se battre dehors. Si tu as encore une paire dans son pantalon.
Elle tira sur la tronche de l'indien non pas pour lui dévisser mais pour le faire se lever et enleva sa lame qui rendait nerveux pas mal de clients dans le saloon.
Foutez moi la paix, c'est une histoire entre lui et moi.
L'indien devait surement rapporter un joli petit magot à tous ces visages pâles qui commencèrent à arriver en masse devant l'indienne. Ahote du reculer en hurlant comme un putois.
DEHORS WAUPEE, VIENS DEHORS SI T'ES UN HOMME!!!!
Le barman, le manchot et le shérif, la firent reculer. Elle passa les portes battantes du saloon, pour se retrouver dans la grande rue....
On entendait que le vent qui soulevait la poussière. Plus un bruit.
Ahote espérait que l'indien sorte de là mais seulement les gens du saloon l'observaient et faisaient bloc devant la porte pour lui barrer le chemin de l'établissement.
Elle pointa son doigt sur eux.
Vous savez que si ce n'est pas maintenant, ça sera plus tard mais il payera.
Le manchot commença à sortir son révolver. Ils étaient tous de connivence et Ahote blêmit, elle eut envie de crier, "JE NE SUIS PAS UN NUMERO, JE SUIS UNE FEMME LIBRE!!!"
Dernière édition par un modérateur: