DeletedUser
Invité
Ce matin, comme tous les matins d’ailleurs je prenais mon café sur ma chaise à bascule sur le perron de mon bureau, quand tout à coup je vis un cowboy arriver sur son cheval à vive allure. C’était le pony-express qui venait apporter une lettre.
- Bonjours mademoiselle j’ai une lettre urgente pour vous.
- merci jeune homme
Ce cowboy était jeune, j’aurai dit qu’il avait à peine 20 ans. Sur son Mustang il était très beau avec sa chemise ouverte on pouvait distinguer un collier avec la croix du christ.
Je crois que si mon travaille ne passait pas avant mon plaisir, je me serai jeté dessus.
Le message venait du Marshal Virgill Coll qui me disait que la petite ville d’OPEN RANGE à coté de chez nous avait été abandonnée par ces habitants suite à la mort de leur sheriff, tué par Randall Bragg et ses hommes. Pour mettre fin à ce règne de terreur qui avait eu lieu dans plusieurs villes, la communauté faisait appel à mon adjoint Nos kaan et moi-même, car nous étions réputées pour avoir ramené la paix et la justice dans notre belle ville d’American cowgirl où plus aucune loi n’avait cours.Mais notre méthode implacable risquait cette fois de ne pas suffire.
- Nos Kaan, réuni tous les habitants dans la salle polyvalente et dit à Noedeus que je l’attend.
Je la vis arriver en courant comme si elle venait de se réveiller, les cheveux tout ébouriffés. Mais je savais que tout les matins à l’aube elle allait sur la colline arroser ses fleurs, elle avait encore du passer voir Viverobin en rentrant à SKILL CITY.
- Qui y a-t-il de si urgent, pour que ton adjointe ait l’air si paniqué.
- cette fois si on ne joue plus Neo
Je lui racontais le sujet de sa venue si rapide.
- Tu sais bien que je suis avec toi et que je te suivrais quoi que tu me demandes.
- A trois on ne ferra pas grand-chose allons à la salle polyvalente recruter du monde.
Nous nous dirigeâmes donc à la salle communale. En entrant, sur la gauche j’aperçu Tribu qui me fit un petit signe de la main, sur la droite Pamella et Marine les deux grande copines et Scalabrini notre banquier, qui à chaque fois qu’il me croisait rougissait comme une tomate.
- Cher concitoyens et concitoyennes, nous avons de graves problèmes, d’habitude j’essai de faire mon possible pour ne pas vous y impliquer mais aujourd’hui je ne peux pas faire autrement. Randall Bragg et ses hommes sont en route pour notre ville et mon devoir est de les arrêter, mais pas sans votre aide. Je demande donc à quelques volontaires de m’accompagner pour leur tendre une embuscade.
- Mais combien sont-ils, me demanda Marine.
- A peu prêt une quinzaine.
- Je suis avec vous les filles, vous aurez besion de mes balles et des mes armes.
- Mes chevaux sont les plus rapides et si vous voulez arriver avant eux vous aurez besoin de moi, me dit Pamella.
- Je suis bonne tireuse, j’en suis, dit Tribu en levant le bras.
Mon cœur se remplit de joie en voyant toutes mes copines vouloir se battre a mes côtés.
- Monsieur Scalabrini je sais que vous êtes un ancien soldat et que vous avez encore des contacts à fort Abrasa. Allez chercher la cavalerie et demander leur de défendre la ville au cas où on ne pourrait pas les arrêter.
Mais 5 comparses et moi-même nous dirigeâmes vers l’armurerie de Marine, afin de nous équiper. Quand nous sommes entrées dans son magasin, une odeur de poudre me sauta au nez et je vis alors l’établi de Marine avec plein de douilles vides.
- Ce sont mes nouvelles balles de derringer à bout pointu, cela vas me donner l’occasion de les tester. Bon que voulez vous ?
- Le fusil Kentucky cria Pamella, vous savez qu’il a été crée en 1776, c’est l’arme des trappeurs par excellence. Tu peux abattre un coyote à 300 mètres.
- Tribu je te conseille la Winchester, elle est très facile à manier, dit Marine.
Après nous être toutes armées, on cella les chevaux et nous partîmes pour la vallée.
Le soleil tapait fort en ce début d’après midi, cela faisait une heure que l’on chevauchait toutes les 6 côte à côte, la peur au ventre. C’était la première fois que je ressentais ce sentiment, le doute, savoir si j’avais pris la bonne décision, si nous allions en sortir vivant. Mais en regardant ces 5 cowgirls, là, à coté de moi, je savais qu’il ne pourrait rien nous arriver.
Nous venions d’arriver à l’ endroit de notre embuscade et par chance nous avions le soleil dans le dos. Ce lieu était idéale, la route formait comme un goulag et était droite. D’ici on pouvait les voir arriver de loin et les empêcher de repartir.
-Nos kaan, Tribu, Pamella, Marine allez vous mettre derrière ces rochés en hauteur, 2 à gauche et 2 à droite.
Marine alla chercher dans son sac et en sortie 2 objets.
- tiens pour toi Nadge tout droit sorti de ma cave personnelle, 12 ans d’âge, mais fait attention ça c’est de la bombe. En me lançant deux pains de dynamite.
Je regarda Neodeus, elle me lança un petit clin d’œil qui voulait dire qu’elle était prête à envoyer ces hors la loi au cimetière.
Le lendemain matin, Scalabrini attendait aux abords de la ville avec Gerbenlère, sans cavalerie. Ils étaient trop occupés avec la bataille des forts pour venir protéger la ville.
- Tu crois qu’elles s’en sont sorties, lança Gerbenlère
- Elles auraient déjà du revenir, dit Scalabrini.
Au loin nous vîmes la silhouette de notre très chère ville se dessiner. Le combat avait été rude, mais grâce à la dynamite de Marine nous avions éliminé les 2/3 du groupe en peu de temps. Mais cela n’avais pas empêché Tribu de se faire toucher au bras par Randall Bragg, juste avant que Neodeus ne lui envoi une giclé de Smith et Wesson dans le thorax.
- les filles je suis heureuse d’avoir combattu à vos cotés et je n’oublierai jamais ce que vous avez fait.
- Arrête ton char, me dit Neodeus et offre nous plutôt une bonne bouteille de Whisky
- Bonjours mademoiselle j’ai une lettre urgente pour vous.
- merci jeune homme
Ce cowboy était jeune, j’aurai dit qu’il avait à peine 20 ans. Sur son Mustang il était très beau avec sa chemise ouverte on pouvait distinguer un collier avec la croix du christ.
Je crois que si mon travaille ne passait pas avant mon plaisir, je me serai jeté dessus.
Le message venait du Marshal Virgill Coll qui me disait que la petite ville d’OPEN RANGE à coté de chez nous avait été abandonnée par ces habitants suite à la mort de leur sheriff, tué par Randall Bragg et ses hommes. Pour mettre fin à ce règne de terreur qui avait eu lieu dans plusieurs villes, la communauté faisait appel à mon adjoint Nos kaan et moi-même, car nous étions réputées pour avoir ramené la paix et la justice dans notre belle ville d’American cowgirl où plus aucune loi n’avait cours.Mais notre méthode implacable risquait cette fois de ne pas suffire.
- Nos Kaan, réuni tous les habitants dans la salle polyvalente et dit à Noedeus que je l’attend.
Je la vis arriver en courant comme si elle venait de se réveiller, les cheveux tout ébouriffés. Mais je savais que tout les matins à l’aube elle allait sur la colline arroser ses fleurs, elle avait encore du passer voir Viverobin en rentrant à SKILL CITY.
- Qui y a-t-il de si urgent, pour que ton adjointe ait l’air si paniqué.
- cette fois si on ne joue plus Neo
Je lui racontais le sujet de sa venue si rapide.
- Tu sais bien que je suis avec toi et que je te suivrais quoi que tu me demandes.
- A trois on ne ferra pas grand-chose allons à la salle polyvalente recruter du monde.
Nous nous dirigeâmes donc à la salle communale. En entrant, sur la gauche j’aperçu Tribu qui me fit un petit signe de la main, sur la droite Pamella et Marine les deux grande copines et Scalabrini notre banquier, qui à chaque fois qu’il me croisait rougissait comme une tomate.
- Cher concitoyens et concitoyennes, nous avons de graves problèmes, d’habitude j’essai de faire mon possible pour ne pas vous y impliquer mais aujourd’hui je ne peux pas faire autrement. Randall Bragg et ses hommes sont en route pour notre ville et mon devoir est de les arrêter, mais pas sans votre aide. Je demande donc à quelques volontaires de m’accompagner pour leur tendre une embuscade.
- Mais combien sont-ils, me demanda Marine.
- A peu prêt une quinzaine.
- Je suis avec vous les filles, vous aurez besion de mes balles et des mes armes.
- Mes chevaux sont les plus rapides et si vous voulez arriver avant eux vous aurez besoin de moi, me dit Pamella.
- Je suis bonne tireuse, j’en suis, dit Tribu en levant le bras.
Mon cœur se remplit de joie en voyant toutes mes copines vouloir se battre a mes côtés.
- Monsieur Scalabrini je sais que vous êtes un ancien soldat et que vous avez encore des contacts à fort Abrasa. Allez chercher la cavalerie et demander leur de défendre la ville au cas où on ne pourrait pas les arrêter.
Mais 5 comparses et moi-même nous dirigeâmes vers l’armurerie de Marine, afin de nous équiper. Quand nous sommes entrées dans son magasin, une odeur de poudre me sauta au nez et je vis alors l’établi de Marine avec plein de douilles vides.
- Ce sont mes nouvelles balles de derringer à bout pointu, cela vas me donner l’occasion de les tester. Bon que voulez vous ?
- Le fusil Kentucky cria Pamella, vous savez qu’il a été crée en 1776, c’est l’arme des trappeurs par excellence. Tu peux abattre un coyote à 300 mètres.
- Tribu je te conseille la Winchester, elle est très facile à manier, dit Marine.
Après nous être toutes armées, on cella les chevaux et nous partîmes pour la vallée.
Le soleil tapait fort en ce début d’après midi, cela faisait une heure que l’on chevauchait toutes les 6 côte à côte, la peur au ventre. C’était la première fois que je ressentais ce sentiment, le doute, savoir si j’avais pris la bonne décision, si nous allions en sortir vivant. Mais en regardant ces 5 cowgirls, là, à coté de moi, je savais qu’il ne pourrait rien nous arriver.
Nous venions d’arriver à l’ endroit de notre embuscade et par chance nous avions le soleil dans le dos. Ce lieu était idéale, la route formait comme un goulag et était droite. D’ici on pouvait les voir arriver de loin et les empêcher de repartir.
-Nos kaan, Tribu, Pamella, Marine allez vous mettre derrière ces rochés en hauteur, 2 à gauche et 2 à droite.
Marine alla chercher dans son sac et en sortie 2 objets.
- tiens pour toi Nadge tout droit sorti de ma cave personnelle, 12 ans d’âge, mais fait attention ça c’est de la bombe. En me lançant deux pains de dynamite.
Je regarda Neodeus, elle me lança un petit clin d’œil qui voulait dire qu’elle était prête à envoyer ces hors la loi au cimetière.
Le lendemain matin, Scalabrini attendait aux abords de la ville avec Gerbenlère, sans cavalerie. Ils étaient trop occupés avec la bataille des forts pour venir protéger la ville.
- Tu crois qu’elles s’en sont sorties, lança Gerbenlère
- Elles auraient déjà du revenir, dit Scalabrini.
Au loin nous vîmes la silhouette de notre très chère ville se dessiner. Le combat avait été rude, mais grâce à la dynamite de Marine nous avions éliminé les 2/3 du groupe en peu de temps. Mais cela n’avais pas empêché Tribu de se faire toucher au bras par Randall Bragg, juste avant que Neodeus ne lui envoi une giclé de Smith et Wesson dans le thorax.
- les filles je suis heureuse d’avoir combattu à vos cotés et je n’oublierai jamais ce que vous avez fait.
- Arrête ton char, me dit Neodeus et offre nous plutôt une bonne bouteille de Whisky
