DeletedUser
Invité
Et le voici échoué dans cet état répondant au doux nom de Colorado…
Lui, le fils de bonne famille, enrôlé dès son plus jeune âge dans l’armée régulière des états du nord.
Edward J. Davidson avait grimpé les échelons de cette grande famille qu’était l’armée. Capitaine à 22 ans d’un détachement de cavalerie basé à Fort Union, il assurait la sécurité des colons dans l’ouest sauvage. Son humanité et son courage faisait de lui un exemple pour ses hommes, fiers de pouvoir combattre aux côtés d’un soldat aussi valeureux que jeune.
Idéaliste et opiniâtre, il voyait dans sa mission un espoir pour sa nouvelle nation avec l’envie que son peuple puisse vivre en harmonie avec les natifs, ces guerriers indiens respectables bien que dangereux.
Oui mais… l’arrivée d’un nouveau général, aux manières brutales et couvertes par les plus hautes instances voit ces espoirs s’envoler en fumée.
Un jour, une mission qu’il croyait être de sécurisation et de surveillance se transforma en expédition punitive… son bataillon, mené par ce sanguinaire, allait raser un village Pawnee, tuant femmes et enfants… Il assista, impuissant à ces actes de barbarie.
Dans un élan de révolte il se lança vers son général pour stopper ce massacre. C’est alors que le bataillon vit, stupéfait, le général tiré sur Edward, le laissant pour mort sur cette terre Pawnee.
Les registres de l’armée font état du décès d’Edward J. Davidson. Sa jeune fiancée, Margaret, et sa famille l’ont longuement pleuré…
Edward survécu à ses blessures par les soins d’une vieille indienne qui avait échappé au massacre et avait vu le soldat blanc se révolter contre l’homme au sabre. Elle avait convaincu les guerriers, revenus de la chasse, de laisser à cet homme la vie sauve…
Il mit de long mois à retrouver la santé. Il avait appris, par ses nouveaux amis qu’un jeune capitaine avait été décoré à titre posthume après avoir perdu la vie lors de l’attaque du camp Pawnee…
La haine et la vengeance était devenu ses compagnons de vie. Cet homme si joyeux et fier était devenu noir et renfermé… Il n’avait plus fois en ses semblables… Il leur ferrait payer leur offenses, quelles qu’elles soient… il vivrait de son colt, de sa gâchette…
Et si cela devait être dans ce Colorado, soit…
Lui, le fils de bonne famille, enrôlé dès son plus jeune âge dans l’armée régulière des états du nord.
Edward J. Davidson avait grimpé les échelons de cette grande famille qu’était l’armée. Capitaine à 22 ans d’un détachement de cavalerie basé à Fort Union, il assurait la sécurité des colons dans l’ouest sauvage. Son humanité et son courage faisait de lui un exemple pour ses hommes, fiers de pouvoir combattre aux côtés d’un soldat aussi valeureux que jeune.
Idéaliste et opiniâtre, il voyait dans sa mission un espoir pour sa nouvelle nation avec l’envie que son peuple puisse vivre en harmonie avec les natifs, ces guerriers indiens respectables bien que dangereux.
Oui mais… l’arrivée d’un nouveau général, aux manières brutales et couvertes par les plus hautes instances voit ces espoirs s’envoler en fumée.
Un jour, une mission qu’il croyait être de sécurisation et de surveillance se transforma en expédition punitive… son bataillon, mené par ce sanguinaire, allait raser un village Pawnee, tuant femmes et enfants… Il assista, impuissant à ces actes de barbarie.
Dans un élan de révolte il se lança vers son général pour stopper ce massacre. C’est alors que le bataillon vit, stupéfait, le général tiré sur Edward, le laissant pour mort sur cette terre Pawnee.
Les registres de l’armée font état du décès d’Edward J. Davidson. Sa jeune fiancée, Margaret, et sa famille l’ont longuement pleuré…
Edward survécu à ses blessures par les soins d’une vieille indienne qui avait échappé au massacre et avait vu le soldat blanc se révolter contre l’homme au sabre. Elle avait convaincu les guerriers, revenus de la chasse, de laisser à cet homme la vie sauve…
Il mit de long mois à retrouver la santé. Il avait appris, par ses nouveaux amis qu’un jeune capitaine avait été décoré à titre posthume après avoir perdu la vie lors de l’attaque du camp Pawnee…
La haine et la vengeance était devenu ses compagnons de vie. Cet homme si joyeux et fier était devenu noir et renfermé… Il n’avait plus fois en ses semblables… Il leur ferrait payer leur offenses, quelles qu’elles soient… il vivrait de son colt, de sa gâchette…
Et si cela devait être dans ce Colorado, soit…