DeletedUser
Invité
-Allez, traîne pas sinon je t'amène au fort de Jonnkis. Tes mains seront entre les militaires, ce que je ne te conseille pas!
John traquait sa proie, et il l'avait attrapé.
Alors qu'il quittait les deux indiens, la femme soldat et l'homme sans nom, il parait directement à la chasse aux bandits. Cela ne fut en aucun cas fatiguant et dur, puisqu'il retrouva le voleur à quelques miles à l'est.
-Je t'amène au shériff de Lake City, apparemment tu lui manquais..
Traînant le corps de l'homme recherché comme un cadavre à l'arrière du cheval, John pris dans sa poche l'affiche de la prime. La tête était bien celle de l'homme capturé, mais ce qui retenait vraiment l'attention du soldat était les 3 chiffres écris en dessous: 300; non pas suivit de cents, mais suivit de dollars.
-Quesque ta bien pû faire pour valoir 300 billets?
-J'ai bôté les fesses à un gas comme toi! dit le prisonnier en rigolant.
John le regarda, souria, puis ordonna à sa monture d'accélérer le pas, à la vue de Lake City. Derrière, le criminel mangeait la terre sèche de l'Ouest, mais cela ne dura qu'une vingtaine de secondes car ils arrivaient en ville.
-T'as pas trop mangé?
Le cavalier descendit. Il détacha le brigand du cheval, et il lui mit les menottes. Il pénétra ensuite dans la ville.
-Une fête?!
En effet, aujourd'hui était la fête de Lake. Depuis le matin divers festivités et repas étaient organisés dans la grande ville. Le soir un bal allait durer plusieurs heures.
-Allez viens..
Les rues grouillaient d'hommes, de femmes et d'enfants, goûtant aux joies de la fête.
John et le prisonnier entrèrent dans le bureau du shériff. Ce dernier se leva, démenota le hors-la-loi et l'enferma dans une des cellules derrière son bureau. Il regarda ensuite, surpris, l'attitude de John qui posa l'affiche de la prime sur son bureau.
-J'ai besoin d'argent..
-Sans être curieux, puis-je savoir ce que vous voulez faire avec?
-Projets personnelles shériff.
Ce dernier jeta une liasse de billets, que John déposa dans l'une de ses poches.
-Vous devriez aller les poser en banque, c'est une journée de plus pour ceux qui aimeraient foutre le bordel; mais c'est surtout la journée idéale pour les pickpockets monsieur Kent.
-Personne ne pourra prendre mon argent, soyez en sûr.
-Très bien, en tout cas je vous remercie de cette capture John. Au plaisir de vous revoir!
Alors que le soldat ouvrait la porte du bureau, le shériff continua à lui parler.
-Restez dans la ville si vous n'avez rien d'autres à faire. C'est la fête! Il y a plein d'activités organisés jusqu'à minuit.
John se retourna, le regarda quelques instants, et sortit de la pièce. Il alla attacher son cheval devant le saloon, puis il rentra dedans. Les portes se dégagèrent, et claquèrent. Tout le monde regarda le nouveau venu, mais ils reprirent leur partie de poker et leur verre de whisky quelques secondes après...
John traquait sa proie, et il l'avait attrapé.
Alors qu'il quittait les deux indiens, la femme soldat et l'homme sans nom, il parait directement à la chasse aux bandits. Cela ne fut en aucun cas fatiguant et dur, puisqu'il retrouva le voleur à quelques miles à l'est.
-Je t'amène au shériff de Lake City, apparemment tu lui manquais..
Traînant le corps de l'homme recherché comme un cadavre à l'arrière du cheval, John pris dans sa poche l'affiche de la prime. La tête était bien celle de l'homme capturé, mais ce qui retenait vraiment l'attention du soldat était les 3 chiffres écris en dessous: 300; non pas suivit de cents, mais suivit de dollars.
-Quesque ta bien pû faire pour valoir 300 billets?
-J'ai bôté les fesses à un gas comme toi! dit le prisonnier en rigolant.
John le regarda, souria, puis ordonna à sa monture d'accélérer le pas, à la vue de Lake City. Derrière, le criminel mangeait la terre sèche de l'Ouest, mais cela ne dura qu'une vingtaine de secondes car ils arrivaient en ville.
-T'as pas trop mangé?
Le cavalier descendit. Il détacha le brigand du cheval, et il lui mit les menottes. Il pénétra ensuite dans la ville.
-Une fête?!
En effet, aujourd'hui était la fête de Lake. Depuis le matin divers festivités et repas étaient organisés dans la grande ville. Le soir un bal allait durer plusieurs heures.
-Allez viens..
Les rues grouillaient d'hommes, de femmes et d'enfants, goûtant aux joies de la fête.
John et le prisonnier entrèrent dans le bureau du shériff. Ce dernier se leva, démenota le hors-la-loi et l'enferma dans une des cellules derrière son bureau. Il regarda ensuite, surpris, l'attitude de John qui posa l'affiche de la prime sur son bureau.
-J'ai besoin d'argent..
-Sans être curieux, puis-je savoir ce que vous voulez faire avec?
-Projets personnelles shériff.
Ce dernier jeta une liasse de billets, que John déposa dans l'une de ses poches.
-Vous devriez aller les poser en banque, c'est une journée de plus pour ceux qui aimeraient foutre le bordel; mais c'est surtout la journée idéale pour les pickpockets monsieur Kent.
-Personne ne pourra prendre mon argent, soyez en sûr.
-Très bien, en tout cas je vous remercie de cette capture John. Au plaisir de vous revoir!
Alors que le soldat ouvrait la porte du bureau, le shériff continua à lui parler.
-Restez dans la ville si vous n'avez rien d'autres à faire. C'est la fête! Il y a plein d'activités organisés jusqu'à minuit.
John se retourna, le regarda quelques instants, et sortit de la pièce. Il alla attacher son cheval devant le saloon, puis il rentra dedans. Les portes se dégagèrent, et claquèrent. Tout le monde regarda le nouveau venu, mais ils reprirent leur partie de poker et leur verre de whisky quelques secondes après...