[RP collectif] Racontez nous l'histoire de votre personnage

  • Auteur de la discussion mantrente
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DeletedUser

Invité
Bonsoir à tous,

J'écris ce message pour vous proposer de partager avec les autres la vision que vous avez de votre personnage créé sur The West. En effet plusieurs personnes racontent déjà cela sur le profil de leur personnage sur les différents mondes, aujourd'hui partageons cela avec tous les autres !

Chacun d'entre nous améliore son personnage, parle et joue en fonction de celui-ci quand il se connecte. Il est alors temps pour ceux qui le souhaitent de nous raconter l'histoire de leur héros et de faire partager à tout le monde les origines, le parcours, les objectifs etc que vous souhaitez donner à ce dernier !

Bien sur ceux souhaitant écrire sur plusieurs de leurs personnages qui sont sur différents mondes peuvent le faire mais pour plus de lisibilité il sera mieux de faire un paragraphe par personnage.

Pour finir tout le monde doit être respectueux et tolérant en lisant les différentes présentations qui seront faites car chacun a le droit de donner la présentation qu'il veut à son personnage !

Mesdames et messieurs à vos inventions, vos personnages vous regardent :)
 

DeletedUser7442

Invité
Et bien, et bien ca se bouscule pas au portillon!
S'il n'en fallait qu'un alors je serai celui la.

Je vais donc vous raconter la fabuleuse histoire d'un de mes personnages, voici donc:

La légende de Didier Crassepouille!

Didier Crassepouille, fils du sieur, Hyppolyte Lacrasse, habitant de Perpignan et honnête et valeureux coupe jarret de cette même ville et de dame ... et bien l'on n'en sut jamais rien car il fut élevé par son père au niveau du caniveau, caniveau dont il ne s'éloigna jamais bien loin.

Son père, ayant décidé de faire fortune de le domaine de la beuverie et de l'ivrognerie, se mit un jour en tête de le vendre afin d'en tirer un bon prix.
Ce qui présentait aussi l’ineffable avantage de lui financer de sacrés séances de travail ... de soulographie.

Hélas, le sieur La Crasse ne réussit qu'à en obtenir à peine trois sous, ce qui, tout bien considéré était vraiment trop peu pour un gamin aux doigts assez agiles pour alléger de leur bourse quelque gros bourgeois ventripotent.

Dès lors, Didier devint le larron, le compagnon, la moitié de son père et ce ... en tous les domaines.
Las, trois fois hélas, quelques années plus tard, Didier eut la douleur d'enterrer son vieux père à l'âge vénérable de 35 ans ...

N'ayant plus d'attache en cette cité ... il décida de s'embarquer sur l'un des seuls bateaux quittant la france à cette époque pour le nouveau continent.
Didier n'avait aucune idée de ce que c'était le nouveau continent mais il avait remarqué que les gens qui embarquaient, avaient avec eux toutes leurs économies.

C'est que c'était une sacré lumière not' Didier.
Il se décida lui aussi à embarquer, mais sous un faux nom: Didier Crassepouille.
OH intelligence supérieure guide nous et prend nous sous ton aile protectrice!

Une fois sur le bateau à force d'abnégation et d'observation, il réussit à trouver où une famille, une femme sans mari accompagnée de six enfants, cachait son magot.
Il s'en saisit courageusement et partit aussitôt boire son butin.

Le lendemain le bateau passait au large de ce qui serait plus tard Elis Island et alors que l'on s'apprêtait à débarquer, on entendit le beuglement d'un ivrogne puis la chute d'un corps à la mer.

C'est ainsi que Didier Crassepouille entra dans la légende comme ayant été le premier Français à mourir avant même d'avoir atteint le sol des Etats Unis.




Sinon j'ai un autre personnage =) dont je vous ai fait une histoire\présentation dans un autre topic vu que c'était ici peut-être un peu trop long.

Bien sur, toute ressemblance avec un ou des personnages existants serait fortuite et erronée!
 
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DeletedUser

Invité
Belle histoire :).
 
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momo le destructeur

Roi de la gâchette
a moi je vais vous la conter ( celle du monde 1 ) :

je naquis le 5 aout 1849 dans l'Alabama d'un pére borgne et d'une mére gérant de sallon j'ai grandit dasn un environnement etrange fait de fous et personne cherchant de l'or je restait souvent le soir ecouté les histoires de mon pére certaines ne voulait rien dire mais a cette age la c'etait mon heros.

puis a l'adolécense je commencait mes delis vol de banque , attauqe de train en gros jai trés vite mal tournée jusqu'au jour ou la guerre eclata ...

a se jour il me fallut prendre une décisions soit les nordistes soit les sudistes je choisit vite les nordistes . aprés avoir vécu les horreur de la guerre , je me suis fixé dnas une ville blécherrete gulch petite ville calme et paisible ayant connu son essort pendent la guerre en vendant des armes au 2 camps, mais tout sa cest du passsé .

moi jai toujour dit " la guerre cest bien mais quand on la fait pas " mais jetais encore attiré par l'argnet façil et vite gagné jai vite compris que les indiens pouvaient mapporter beaucoup en leur vendent des fuils et de l'alcool mais se que je préfére par dessus tout cest d'usurper des identités pour le moment je suis maréchales dans l'armées nordistes .

mais chut cest un secret ;)
 

DeletedUser

Invité
La véritable histoire de Fevel. 1

Bon je vais me lancer dans ces présentations. (Je vous préviens à l'avance, ça risque d'être long^^, donc d'être en plusieurs posts.)

Tout d'abord, hors RP, quelques explications s'imposent. Lors de mon inscription à The west je ne connaissais absolument pas le RP et je ne savais pas que le nom à l'inscription serait le nom de mon personnage, pour cela qu'officiellement je m'appelle fvlclm, ce qui évidemment ne correspond pas à grand chose et qui est absolument imprononçable. Je vous raconte la galère que je fais endurer à mes partenaires de batailles sur les chats depuis 2 ans et quelques mois que les forts existent.^^(arrivée des forts le 12 juillet 2009 si je me souviens bien)
Bon revenons à nos moutons et à mon nom. Dans mon alliance, peu de temps après mon arrivée, c'était également une galère pour mes compagnons d'alliance sur le chat de notre forum externe. Du coup, une des nôtres, fût inspirée, peut être après un petit passage à l'église, on ne le saura jamais.^^ Et donc elle décida que désormais je m’appellerai Fevel.....et vous découvrirez un peu plus tard dans l'histoire de mon personnage mon nom de famille si vous n'avez pas encore deviné!!!!!!!!!!!!! :)

Voilà donc l'histoire de Fevel (monde 1):

Fevel naquit dans une ferme isolée. Sa mère avait à peine 19 ans lors de sa naissance. Elle ne connût jamais son père qui était un aventurier de passage dans la région. Elle passa son enfance entre une mère incapable de prendre réellement soin de sa fille, des oncles travailleurs de la terre qui l'obligèrent dès l'âge de raison à travailler dans les champs à leurs côtés et une grand-mère aimante mais qui ne pouvait guère faire grand chose pour améliorer le quotidien de la jeune fille mis à part préparer quelques gâteaux, en douce, pour sa petite fille et surtout des câlins dès que cela était possible. C'est aussi sa grand-mère qui lui apprit à lire puisque l'école n'avais jamais été envisagée pour cette fille qui était considérée comme un poids pour les responsables de cette famille.
A ses dix huit ans, Fevel décida de quittait cette famille et de découvrir le monde. Elle eut un pincement au cœur de laisser sa grand-mère, mais elle savait qu'elle devait s'en aller et découvrir la vie par ses propres yeux.

Elle voyagea au travers du pays, et dût, malgré son ressenti, admettre que l'expérience du travail dans les champs et auprès des bêtes avec ses oncles, lui servit pour trouver quelques travaux bien payant.

Après quelques années à travers le pays, Fevel ressenti progressivement le besoin de poser ses valises quelque part....


 
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Deleted User - 497868

Invité
Helo naquit à Angers où il fit ces courtes études la révolution approchant ne lui permettant plus de rester en France il dût partir pour l’Amérique. Il partit donc et débarqua au Canada (qui jusqu'en 1763 était française et qui depuis devint une colonie britannique) il s'établit dans la région de Québec qui était secouée par les soulèvements hostiles aux anglais après avoir perfectionné son anglais et avoir décidé de partir en quête de l'ouest(celui de la ruée vers l'or). Il arriva dans une petite ville américaine et commença à travailler.
 

DeletedUser14923

Invité
ben moi billi te kid heu ben tout s explique ...
je me suis inscrit j était assez jeune et j'avait déja entendu parler de billy the kid mais je s avait pas écrire .
donc billy = billi
the = te
kid = kid :)
voila j ai choisis la classe duelliste car j aime bien massacré tout sur mon passage ( même si des fois c'est moi qui me fait un peu atomiser )
voila maintenant vous connaissait l histoire
 

DeletedUser

Invité
Né en 1861 ou bien 1862 voir 63, qui sait.
Abandonné dès sa naissance, en pleine forêt.
Recueilli encore tout rougeaud et baveux, non pas par une louve, ce n'est pas Mowgli, ni pas des grands singes, ça ne courre pas les bois dans ce pays, mais par une moufette en mal de progéniture.
De ses quelques années passée avec ce charmant animal, Abel en a gardé, une tendance a dégager une odeur nauséabonde pour se défendre, un instinct animal débordant, et un bec de lièvre, pas du bel effet mais très pratique pour téter la moufette, et la bouteille.

Mais comment des méphitidés est-il arrivé dans le monde de l'homo sapiens?

Et bien c'est une histoire somme toute banale!
Cela faisait quelques années qu'il vivait parmi les mustélidés, mais sa condition d'humain l'en éloignait de jour en jour.
Il fut donc obligé, encore enfant, de partir, du terrier, et de se trouver un abri.

Après une long vagabondage dans les plaines du Dakota, il fini par arriver dans une ville. Ne sachant pas lire, il ne sut jamais, et par extension nous non plus, mais est-ce vraiment important, quelle était cette ville. Tout d'abords son instinct lui dicta de ne pas s'approcher. N'oublions pas qu'il n'avait jamais vu d'homme de sa jeune existence, puis la curiosité aidant, il décida de s'approcher. La vue des gens le surpris, ils lui ressemblaient. L'appréhension le quitta et c'est d'un pas alerte qu'il entra dans cette cité.

Bref, lorsqu'il atteignit les premiers faubourgs de cette bourgade, son apparence fit de suite son effet.
La peste, ou une troupe de bandits, n'aurait pas été plus efficace pour vider, en un temps record, les rues qu'il traversait.
Les cris d'effrois laissèrent toutefois rapidement la place à une pluie de pierres, et autres objets lourds et contondants. Parfois même quelques fruits et légumes, mais l'Histoire ne dit pas s'il y en avait cinq.

Refroidit par cette accueil pour le moins grossier, il décréta que dorénavant, il ne s'approcherait d'un tel endroit que si nécessaire.
Il reprit donc sa longue errance en se tenant le plus loin possible de toutes traces humaine, la forêt lui prodiguant ses bienfaits, il survécu tant bien que mal, mais quelque chose lui manquait.
C'est par le rude hivers de 1875 que sa vie changea. La neige et le gel ayant recouvert son monde, il lui devint impossible de trouver de quoi subvenir à sa subsistance. Il s'affaiblissait de jour en jour, lorsqu'il avisa de la fumée s'élevant dans le ciel.
Il mit de côté toutes ses craintes et s'approcha d'une masure isolée. Il en fit le tour, cherchant le courage de frapper, mais l'odeur de cuisine s'en dégageant et sa faim eurent raison de sa défiance. Il frappa à ce qui se rapprochait de la porte et attendit une réponse. Celle-ci ne fut pas longue à arriver. La porte s'entrouvrit, et deux trous noir se glissèrent par l'entrebâillement.

Qui va là! tonna une voix sépulcrale.

Evidemment, il ne savait pas parler, il ne connaissait que les grognements éloquents de la moufette. La porte s'ouvrit plus grande et la surprise se lut dans les yeux de l'homme. Il baissa son fusil, troussa le nez, et invita notre homoncule à entrer. Ce dernier ne se fit pas prié.
 

DeletedUser

Invité
Histoire de Bart Le Babat

Ce personnage atypique au fort accent du Sud-Ouest Français, découvrit les joies et risques perpétuels du Far-West lors d'un périple à Santa-Mondega.
Il y fit la connaissance du Bourbon Kid, qui lui enseigna la maîtrise des armes, ainsi que la passion pour la boisson fortement alcoolisée. Décidant de se lancer seul à l'aventure, il connut bien trop d'embûches avant, Dieu merci, d'être guidé par le Fabuleux Lucky Luke qui s'empressa de devenir son parrain. Intégrant par la suite une guilde fort appréciable, il mène aujourd'hui une vie d'aventurier, et parcourt l'WEST en tâchant d'aider au mieux son prochain.
 

DeletedUser16454

Invité
Justement, je voulais écrire l'histoire de mon personnage sur un blog. Bah... après tout.

Harturus vivait paisiblement avec ses parents et son frère et sa soeur dans l'Est de la France dans une petite ferme. Il avait un frère aîné qui avait quitté la ferme familiale pour aller tenter sa chance en californie pour chercher de l'or.
Tout allait bien pour Harturus lorsque le drame survint. En pleine été 1859, son père eut une accident de charrue et mourut après quelques heures. Huit mois plus tard, ce fut le tour de sa mère, de son frère et de sa soeur d'être emportés par l'affluança (grippe).
Il ne restait plus que lui dans la ferme vide. Il lu les lettres que son frère envoyait depuis les cinq années de son départ et s'empressa de lui écrire qu'il allait le rejoindre.
Après avoir confier la ferme à un de ses oncles et avoir demandé à celui-ci un petit prêt, il s'en fut jusqu'à Nante pour s'embarquer sur un baleinier. Parce qu'à cette époque, les navires de croisière coûtaient énormément cher, Harturus se fit mousse jusqu'aux Amériques. Je ne vous conterai pas ses aventures ici.
Plusieurs mois passèrent et c'est le coeur serré qu'il dit adieu à ses camarades et amis baleiniers et fut débarqué dans une ville portuaire de pêche de l'état du Delaware.
La guerre de sécession venait de se déclarer et Harturus pensait qu'il valait mieux quitter cet état instable pris entre les sentiments unionistes et confédérés.
Il fit marche à pied pendant deux mois et il rejoint un petit convoi de pionnier qui se rendait à Indépendance puis St Louis (Missouri). Après, encore presque un mois de voyage, il y arriva. Là, il changeait encore de "convoi" pour y adhérer à un autre qui se rendait encore plus à l'Ouest du Kansas dans les territoires indiens. Rejoindre un convoi coûtait 5$. Bien qu'Harturus parlait très mal anglais, il se fit beaucoup d'amis et fut pris par la protection d'une grande famille italienne qui allait tenter fortune comme fermier dans les terres nouvelles. Il y avait aussi parmi eux dans ce convoi, je pense qu'il est bon de le signaler, un certain Charles Ingalls accompagné de sa femme et de ses trois filles.
La caravane se séparait à Kansas City puis à Hell's gate city où s'était arrêté le début des travaux du chemin de fer de la compagnie Union Pacific.
Là encore, Harturus quittait ses amis, la Famille Picolli et la famille Ingalls et la belle Anna Dhelia, fille cette famille italienne devenue pour un mois et demie un peu la sienne. Les deux jeunes gens promirent de s'écrire. La passion entre les deux jeunes gens étaient telle qu'Harturus se promis de bâtir un jour un ranch qu'il nommerait par le prénom de sa douce amie. Pas de doute à avoir, ces deux-là avaient échanger beaucoup de tendresse et Harturus laisserait poste restante des courriers à Hell's gate city. A cette époque le courrier suivait et les lettres n'étaient jamais détruite. La Mail Post américaine était très sérieuse et se promettait que le courrier arrivait toujours.
Dans cet état du Blood' Kansas, la guerre civile avait lieue aussi entre les irréguliers jay'hawkers du sud et les milices des soldats nordistes.
Quant aux indiens, ils n'avaient jamais été aussi actifs et lançaient des attaques contre les convois, les villes isolées, les fermes et les postes avancés de l'armée qui les abandonnait. C'était la pagaille en cette année 1861.
Harturus pris la route à ses risques et périls. Il se fit ami avec la tribu des Osages grâce à un français qui vivait parmi eux. Et depuis, il fut rarement inquiété par les indiens. Mais ce n'était que le début parce que les tribus étaient très nombreuses et souvent ennemies.
Evitant tous les conflits, aussi bien entres blancs et indiens, Harturus se mis à la recherche de son frère. Il avait été au bureau de poste, lorsqu'il était arrivé à St Louis et avait trouvé une lettre pour lui de son frère. (je vous le disais que la poste américaine était très fiable).
Malgré les avertissements et les propositions de s'engager avec eux dans l'armée fédérale, Harturus suivi seul la route des grandes plaines sans cheval et arriva dans une petite ville frontière. Là, il travailla un peu à la récolte du blé et une fois quelques dollar gagné il repris sa route vers l'Ouest. Là un homme lui proposa de mener un convoi jusqu'à la petite ville de Royal Flush dans le Dakotah.
Il est arrivé bien des aventures à Harturus. Il quitta Royal Flush le coeur serré là-encore parce qu'il s'était fait de bons amis où il travaillait durement pour gagner sa vie.
Enfin, il fonda une petite bourgade dont il donna le nom de sa douce aimée qu'il espérait qu'elle puisse le rejoindre dès qu'elle pourrait.
Harturus ne reverrait jamais Anna Dhelia. Sa nombreuse et gentille famille fut massacrés par une bande de comancheros. Elle épousa plus tard un marchand de bois et son mari et elle s'installèrent dans le Nebraska en 1863.
Je ne vous raconterai pas la suite d'Harturus ici. Peut-être sur un blog, qui sait?
Voilà l'histoire d'un pionnier appelé Harturus.
How ouaiééé...
 

DeletedUser13754

Invité
Hello, voici le rp de mon personnage depuis ses débuts sur Arizona, suivant sur les grandes lignes son histoire:

Bonne lecture :)


Anciennement affecté au 7eme de Cavalerie durant la campagne indienne, avec le grade de lieutenant, j'étais dans le régiment comprenant les meilleurs cavaliers:
Keith Summer, Typiak, Maxinette, Sonkun, Scorpin, Civudul, LeCorrezien, et d'autres braves soldats.

Nous étions sous les ordres du commandant Barlow.
Plus tard, lors d'un accrochage avec les indiens nous fûmes littéralement anéantis, l'ennemi étant bien trop nombreux, seul quelques uns d'entre nous survécurent.

De mon coté je m'étais réfugié chez une bande célèbre et crainte: la horde sauvage, je jurai alors de ne plus m'engager dans l'armée, cet accrochage m'avais fait perdre trop de frères d'arme

Plus tard j'appris que civudul était encore vivant, il s'était également retiré de l'accrochage, durement touché par une balle, il s'enfuya lui aussi, sans personne, et resta cacher chez l'ennemi pendant fort longtemps.
Nous avons finalement réussis à établir à nouveau le contact, et il nous rejoignit dans notre bande,
Enfin, j'eus des nouvelles du major Lecorrezien que je croyais mort à la bataille de Little Big Horn.
Il nous rejoignis, lui aussi, il y a très peu de temps.

Depuis lors, nous vivons au sein de notre bande, et nous agissons indépendamment de la guerre qui fait rage.

Mais cette bande faiblit depuis quelque temps maintenant et ce n'est plus ce qu'elle était. Les principaux dirigeants de ces pilleurs ont disparus ou ont pris leur retraite ainsi que leurs seconds autrefois de vraies tueurs..
Ils se trouvent que les Marshall ont des armes de plus en plus modernes et évolués grâce à l'Entreprise Hyno-Gaim, qui leur fournit tout l'équipement nécessaire pour mettre fin aux agissements des pilleurs de la région. La différence devenait énorme, moins armés et moins bien équipés que les fédéraux, les nôtres luttaient avec rage, jusqu'au jour où le Co-fondateur de ce gang décida de prendre sa retraite, il avait déjà mis la main sur une fortune non négligeable et pouvait vivre en totale autonomie désormais, il avait raison il fit ses adieux tout en promettant au reste du groupe qu'il passerait nous voir régulièrement.
La Boss décida également de mettre fin à sa carrière de bandidas, elle avait était énormément courageuse, se remettant de toutes les blessures qu'elle avait reçue, elle avait maintenant trouvée un trésor bien plus précieux que l'argent et l'or. Elle disparue en me léguant la direction des derniers survivants de la bande..

Cette dernière semaine, des alliés mexicains ayant attaqué un convoi militaire et volé son chargement, nous permirent de mieux nous équiper contre la menace fédérale.

Aujourd'hui nous luttons comme nous le pouvons en essayant de résister à cette entreprise Hyno-Gaim, qui n'en finit plus d'innover de nouvelles armes pour que la guerre soit inégale et pour que celle ci se termine en leur faveur, pour des raisons purement économique.. Nous combattons encore avec les derniers éléments de notre bande, jadis géante, meurtrière et redoutée.

Les jours passent, qui font place à des semaines puis des mois,... La lutte est de plus en plus dure, bien que le principal Marshall ait pris sa retraite. La dangerosité de ces terres se fait sentir, elles se désertifient, les voyageurs disparaissent, les villes avec...

Les seuls habitants restants sont cloîtrés chez eux ou se trouve à plusieurs milliers de miles de notre territoire. Difficile de dévaliser et piller lorsque l'Arizona est aussi vide que le plat de notre main..
Une guerre que nous ne comprenons pas fait toujours rage, j'y participe en tant que milicien, mais je ne veux pas m'y éterniser, je vais disparaître à nouveau dans les forêts profondes, proche de la montagne..

La fatigue s'installe, la famine également.. L'un de nous, le lieutenant surnommé [player]Tynrv[/player] sans doute à cause de son impulsivité, s'affaiblit, il est partit vivre ses dernières heures dans le désert il y a quelques jours maintenant. Insistant pour nous léguer tout ce dont il avait en sa possession, j'ai récupéré une partie de son butin ainsi que sa magnifique monture et sa selle..
Et je faiblis peu à peu à mon tour, les avancées technologiques se multiplient, Hyno-Gaim est bien présent, fournissant toujours en armes et en habits tous ceux ayant les moyens de se les procurer. La modernité est en place.

Je me plonge doucement dans l'obscurité pour ma part, tout en faisant des réserves. Qui sait ? Peut être un jour, j'aurai le courage de me relancer dans cette longue aventure, mais pour le moment je suis dans un état semi-comateux, et je ne peux rien y faire.







Histoire que j'allonge peu à peu sur mon profil et qui suit le chemin que je trace.
En plaçant quelques parralèles ig/irl ainsi que des bons ( ou mauvais ) moments dans le jeu

Fayes
 

DeletedUser17079

Invité
Felinea rencontre l'Eldorado

Le début de l'aventure

Le rêve de l'Ouest américain fascine encore, malgré les anciennes conquêtes et les découvertes fabuleuses déjà réalisées et le monde des cowboys, des chercheurs d'or, des aventuriers continue d'attirer les nouveaux arrivants dans les plaines arides d'une nouvelle contrée, l'Eldorado.

Lorsque les premiers groupes prennent la route, les nouveaux cowboys sont confrontés aux problèmes qu'engendre l'encadrement de nombreux convois, fait d'hommes, de femmes, de bétail. Les pistes ne sont pas encore faites, les points d'eau inconnus et déjà les épreuves commencent. Tous travaillent sans relâche , par petits groupes, pour construire les premières villes , former les premières alliances et s'équiper pour les tout premiers combats.

Felinea, en lisant tous ces récits , voit sa soif d'aventure se faire de plus en plus présente. Cela devient une obsession, plus forte de jour en jour et un matin, elle décide de partir vers cette immense contrée, seule, pour réaliser son rêve. La voici sur les chemins pierreux, avançant pas à pas, craignant les attaques, les bêtes féroces mais ne renonçant pas pour autant.

Les premiers amis

La nuit est douce, les étoiles brillent dans le ciel. Au loin, des coyotes hurlent et cela fait maintenant, presque une douce musique à mes oreilles. Je fais le bilan de ces quelques jours et je suis satisfaite de moi, je suis encore là , en guenille mais en vie. Je n'ai pas connu vraiment la faim ni la soif mais je rêve d'un bon lit et d'un bon bain.

Je décide, le lendemain, de chercher une ville accueillante et amicale pour faire halte. La solitude m'était douce mais j'ai besoin maintenant de compagnie.. au loin je vois des lumières luire faiblement et c'est une signe de civilisation prometteur.

A l'aube, d'un bon pas, je me dirige vers elles, le cœur battant et l'espoir au ventre d'être bien reçue. Peu à peu, je vois se dessiner des bâtiments, qui me semble fabuleux après toutes mes péripéties solitaires, un hôtel , une banque, des magasins , un saloon bruyant d'où sort des brides de musique entraînante. J'entre, je sens des regards appuyés me toisant et soudain, un salut tonitruant m'arrive, un salut amical et je souris en m'asseyant à une table.

J'ai fait halte dans cette ville quelques jours avant de reprendre ma route, pensant continuer comme cela sur ce vaste territoire. Mais la vie est parfois surprenante et j'y ai fait des rencontres fortuites, qui sont devenues au fil des jours des amis et m'ont fait poser mon bardas pour longtemps. Je suis heureuse d'être ici, dans ma ville , entourée par des gens que j'adore et continuer cette aventure dans la contrée d'Eldorado.


dédicaces : gros bisous pour vous,
tanta , mario , shaney et tous les autres de ma ville que j'adore
pour vous,
ceux du forum qui m'ont acceptée tout de suite et avec qui je m'amuse bien
 
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DeletedUser17041

Invité
Histoire d'un morpion grincheux

Mouai, je va pas vous t'nir le crachoir longtemps ave mes discours, mais j'ai qu'une chose a dire : "de l'air mon gars!.", et si t'as pas compris, t'attends pas a mieux, je suis un grincheux, c'est tout...
l'éveil

En 1815, Robert Houligan alors âgé d’une dizaine d’années passait le plus clair de son temps sur les docks de Cameron, ville fleurissante s’il en ait tant la population était bigarrée. On pouvait y entendre parler l’Acadien, le Français, l’Espagnol, le Créole et l’Anglais indistinctement, et ce mixage linguistique ravissait ses oreilles comme jamais.

Nombre de navires de commerce choisissaient d’accoster sur les côtes verdoyantes de la Louisiane sachant que, peu importe le pays d’origine d’où ils venaient, ils trouveraient toujours quelqu’un qui les comprendrait, et de par la nature du sol, on pouvait dire qu’il suffisait de jeter une poignée de graines à la volée pour être sûr de voir pousser seulement dix jours plus tard un champ entier de jeunes pousses dorées à souhait.
On pouvait trouver de tout sur les quais, et l’effervescence constante des esclaves autour des ballots d’étoffes, des tonneaux de rhum, des fourrures, des épices, des chevaux et bétail à cornes faisait un va et vient entre ces derniers et les grands hangars de stockage.

Sur la place centrale du marché, une grande estrade avait était dressée il y a quelques années déjà, et tous les samedis matin, une enfilade de jeunes négres et négresses y étaient poussés à grands coups de bâtons pour y être vendus. On pouvait lire la peur sur leurs visages, et, en y regardant de plus près, le sillon du fouet profondément marqué sur leurs dos courbés. Les plus récalcitrants portaient une muselière de fer emprisonnant tout le bas de leur visage qui leur interdisait le moindre mouvement de tête. Pour les rendre le plus présentable possible, leurs corps étaient recouvert de graisse, cachant les blessures et autres problèmes du voyage.

A cette époque, robert ne voyait pas toute l’horreur de la situation, c’était son quotidien, il n’avait connu que cela, et ce n’était pas sa famille qui pouvait lui ouvrir les yeux, elle qui possédait et exploitait plus d’une trentaine d’esclaves dans sa plantation familiale.

la rencontre

Quelques années plus tard, le domaine c’est agrandi après un mariage de raison, Robert ayant épousé la fille ainée de ses plus proches voisins. A défaut d’avoir trouvé l’amour, son père est sur le point de lui laisser les rênes du domaine qui compte une centaine d’esclaves maintenant, sans parler de la demi-douzaine de jeunes métis nés de pères inconnus, futur main-d’œuvre a moindre coup, pour l’exploitation. Robert avait appris à manier le fouet avec brio et savait mater les fortes têtes. C’est lui maintenant qui s’occupait de l’acquisition des esclaves et partait tous les samedis en ville, pour être sûre de ne pas louper une bonne affaire.

Un matin, il remarqua une jeune femme parmi l’alignement des nouveaux arrivants. Elle avait non pas de la peur, mais une sorte de résignation dans son attitude, à l’exception de ses yeux couleur noisette, qui montraient une telle curiosité pour tout ce qui l’entourait qu’ils lui dévoraient littéralement le reste de son visage. Ce jour-là, Robert compris que sa vie allait basculer, mais pas à quel point. Après son acquisition, où plusieurs autres propriétaires terrestres bataillèrent âprement pour avoir le lot, les ventes se faisant généralement par lot de 4 ou 5 individus, robert avait dû payer un quart de plus que le prix du marché pour l’emporter.

• Elle s’appelait Leki-ye-delu Ayawa et venait d’ashanti. Elle lui apprit que son nom voulait dire jeudi, car chez elle, les jeunes filles prenaient comme nom le jour de la semaine ou elles venaient au monde.

La sanction

Au lieu de la mettre au travail des champs, Robert l’affecta aux cuisines, et n’eut d’yeux plus que pour elle. Leki lui donna un enfant, une jolie petite fille métissée et afficha ouvertement son bonheur sous les fenêtres des maîtres, s’attirant de par ce fait, les foudres de l’épouse de Robert, elle qui n’arriva jamais à lui donner une descendance.

Il n’y a rien de pire qu’une femme blessée dans son amour propre. Le père de Robert voyait lui aussi l’amour de son fils pour une esclave d’un mauvais œil ; on pouvait faire autant de petits métis qu’on voulait, mais ne jamais parler d’amour. Il essaya de raisonner son fils mais en vain, Robert aimait Leki et comptait bien l’affranchir pour l’épouser. Son père le menaça de le déshériter mais rien n’y fit.

La sanction ne fut pas longue à venir, car un matin on retrouva robert laissé pour mort dans un de ses champs, des hommes lui étaient tombés dessus sans crier garde, l’avaient roués de coup et menaçés de le pendre s’il ne rentrait pas dans le droit chemin. On supposa, à juste titre, qu’il s’agissait des frères de sa femme, mais on ne put jamais le prouver. Son père vendit l’enfant de Leki le lendemain même à un domaine éloigné. Pour la jeune esclave, ce fut un vrai déchirement. Elle essaya de s’enfuir mais fut rapidement rattrapée, fouettée avant d’être jetée en pâture à deux molosses. Elle ne mourut pas tout de suite, les chiens ayant été retenus au dernier moment, histoire de prolonger l’agonie quelques heures encore…

Robert disparu dès qu’il put grimper sur un cheval, n’emportant avec lui qu’un maigre sac de vêtements, son chagrin et une haine farouche pour tout ce qui portait le nom de Houligan…

Vingt cinq ans plus tard...

J’étais parti depuis bien des lustres a la recherche d’une mine d’or dans les rocheuses, quand la neige c’était mise à tomber à gros flocons, m’obligeant à trouver refuge dans une grotte partiellement effondrée. Cette halte forcée avait durée tout l’hiver 1857, j’y ai perdu deux doigts de pied et y ai gagné mon surnom, « Le grincheux », car a par parler aux chauves-souris et à mon batard, un vieux corniaud tout aussi pouilleux que moi, personne ne pouvait se vanter depuis d’avoir eu une vraie discussion avec moi.
C’est en redescendant sur Breckenridge au printemps suivant que je croisais Abi la Blanche, une allumée de la cafetière, qui proclamait à qui de mieux, qu’elle bâtirait une ville lumineuse entre Keystone et Arapahoe Basin, et que, quiconque regarderait vers le versant ouest des rocheuses, pourrait l’apercevoir, telle une étoile dans le ciel, une pauvre âme, je vous le dis, ça faisait peine à voir.
J’ai cherché mon filon tout le printemps et une partie de l’été, presque avec succès si on veut être honnête, mais ma passion pour le bon whisky en engloutit tout le bénéfice. Mon dernier verre me fit faire un vol plané dans la boue de la rue principale, faute d’avoir pu m’acquitter de son paiement.
N’ayant pas voulu en rester là, on a sa fierté ou on ne l’a pas, j’avais marché d’un pas chancelant vers les doubles portes battantes du saloon, mais comble de malchance, celles-ci s’étaient ouvertes dans l’autre sens juste à ce moment-là, me faisant atterrir cette fois-ci, droit dans les bras du shérif.
Apres deux jours passé en cellule, un pour reprendre mes esprits, et le deuxième pour faire la lessive du shérif, on me donna une brochure sur une ville nommée Vegas, m’indiqua la bonne direction de celle-ci, et me signifia que ma présence ici n’était plus du tout nécessaire et souhaitée.
Je n’eus pas de mal a trouver cette fameuse ville, car en effet, la nuit au loin je pouvais voir briller les lumières du Lodo (Lower Downtown) à des milles à la ronde…

Deux années de paix, de quiétude reposante, deux années se sont écoulées au gré des saisons…

Je fus réveillée tôt ce matin, par des bruits de chariots dans la rue. Des hommes de tous les âges s’interpelaient à vive voix, en s’esclaffant bruyamment pour s’encourager, face a l’effort qu’ils s’apprêtaient a fournir.

Un flot sans cesse grandissant de nouveaux émigrants que le chemin de fer apportait dans ses wagons avait décidé de poser bagages.

Quelques-uns, surtout des fermiers, construisirent des ranchs de-ci, de-là sans réelle logique, choisissant plus par le cœur que la raison, faisant valoir leur droit a la terre que la loterie nationale leur offrait.
Mais pour la plus grande part des nouveaux pionniers, la charmante ville de Végas devait être leur point d’ancrage, il fallait donc construire et construire encore…
La ville venait d’être rattrapée par le temps, inexorablement.

A cette époque, on pouvait se coucher et, au matin sans qu’on sache comment, une boutique faite de trois bouts de planches vous faisait face, avec ses bonimenteurs, ses camelots trônant au milieu d’un amoncellement de casseroles et autres ustensiles bon marchés.

Les conseillers faisaient de leur mieux pour garder un semblant d’ordre dans ce tumulte, mais on sentait bien que ce n’était plus suffisant, pas avec cette croissance démographique débordante.
Toute cette agitation me poussa à me poser une question : « n’était-il pas temps de se remettre en route vers de nouveaux horizons et espérer un peu plus de sérénité ? ».
 
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