[RP ouvert à tous] La petite tente dans la prairie

  • Auteur de la discussion Chiabrena
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Sortant brusquement de ses songes, Mambossa, s'écria, plus fort qu'il ne l'aurait voulu :

Chez moi, nous t'aurions nommé "l'homme vaincu par le moustique"

Il sentit que son intervention était mal tombée et se leva donc pour proposer son siège à l'homme.

Pardonnez moi, votre arrivée est intervenue dans un semi-sommeil, je ne voulais pas ètre offensant, venez donc reprendre des forces après cette terrible épreuve.(sourire moitié amical, moitié malicieux)
 

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A ces mots Flores se retourna et se mit à pouffer de rire. Ses épaules étaient secouée de tramblements et même de dos elle ne trompait personne :rolleyes:
 

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Seule dans sa tente la veille, et voici la vallée remplie de personnes nouvelles. Ce n'était pas pour déplaire tellement à Chia mais elle qui avait plutôt choisi l'aventure vers le grand ouest en espérant fuir l'afflux des ville, elle ne pouvait que soupirer intérieurement pour cette tranquillité qui s'atténuer au fil des heures.

Une filles sans aucune tenue, un indien plutôt aimable, une cowgirl et son mulet, certainement aussi entêté l'un que l'autre, et maintenant un officier sudiste qui attirait autant les fourmis, que Chiabrena les insectes.

Du lard, de l'alcool, des tomates... elle-même n'apportait rien. Alors elle allait faire la conversation, comme la femme du pasteur lui avait si bien appris plus jeune.


Vous êtes venus dans l'ouest pour quelle raison vous autres?
 

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*Harst esquissa un sourire au mots de l'indien*
- M'ouaip .... comme tu veux l'ami ...
Et bin ..... la guerre m'a couper d'ma compagnie ..... j'sait pas ou tous sa en est à vrai dire .... mais en attendant j'garde le camp .... j'suis l'seul, mais j'fait mon d'voire .... en verrre est contre tout ....
Deux types plus paumer que moi m'on r'join là bas ... est c'qu'étais avant un camp d'toile en ruine, est maintnant une étape dans les plaines ...
Le mésse est devenue un Saloon de toile et d'planches, le cartier d'l'ommonier une église de même .... et l'reste est dans l'même êtat .... mais il y fait bon vivre ...


 

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Cet accent ! Non mais cet accent qu'il avait celui là :rolleyes: Flores partagea le pain et le lard en portions équitables. Elle n'avait plus de provisions mais tant pis. Elle arriverai à Laramy City bientot de toute façon. Elle ragerda attentivement ses compagnons en mangeant sa part.

Hein?? Heuuu... Travailler et toi ?
 
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Pour ma part je viens trouver des herbes particulières que l'on ne trouve que dans la région...elle permet à nos artisants de confectionner le Poncho de Clint, très prisé par les combattants.

Mambossa se demanda s'il allait parler aux étrangers des projets commerciaux qui se montaient dans sa petite ville. Peut ètre y trouverait il des alliers...il plongea dans des calculs interminables, ne voyant plus ce qui se passait allentours
 

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Moi...

Que dire ?... Je ne savais pas ce que je faisais réellement là et pourtant le temps approchait où je devrai faire un choix de métiers, de vie...

... Je dois réparer des clôtures. Et trouver un marteau. Mais...

Oui, en quittant le bruit des villes, j'avais juste eu envie de voire des paysages sans fins et ... me prouver ce que je valais. Mais en fait, je n'avais pas su me nourrir pendant ces cinq derniers jours. Ni me faire un feu de camp qui durerait plus d'une demi-heure. Ma seule fierté restait ma tente, qui tenait debout même lorsque le vent du désert se montrait plus dur.

Les petits boulots, je les accumulais comme le dernier en date, réparer les clôture, mais je peinais à trouver ma place au milieu de ce nul part fascinant, Les matins s'annonçaient de plus en plus comme une promesse de solitude, et non plus de richesse ou d'accomplissement.

M'implanter dans une ville un jour? Ou en fonder une? Je me sentais si bonne à rien que je doutais d'avoir les capacités pour le faire...Et les moustiques qui semblaient me dire à chaque piqure : " Tu n'es pas la bienvenue, retourne d'où tu viens!" D"où je venais? Des manufactures qui exploitaient les enfants. Un port plein d'ivrognes. Des rues sombres encombrées de catins et de leur habitués. La faim. Le pain rassi. L'odeur pestilentiel des égouts. Chez moi, plus rien de bon ne m'attendait. Je devrais m'endurcir ici.
 

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Flores une fois son repas avalé se leva et mis ses fontes sur son épaule

C'est pas que je m'ennuie avec vous les amis, mais j'ai encore pas mal de route à faire et je vais y aller avant que le soleil tape trop fort !

Chia, chica, tu sera la bienvenue à LARAMY CITY si tu veux te poser !

Allez bonne route à vous les amis et passez me voir, on se boira une bonne Tequila. Adios hombres.

Et elle prit la route sans se retourner
 

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Plus loin encore,un homme les regardais se parler et manger a leur faim.Puis,une fille se leva et dit quelque chose que l homme n entendais pas d ici,et la fille parti plus loin en avant.l'homme sourit.Il ne savais pas s il devait aller leur parler ou rester dans sa cachette.Alors,il choisit les deux.Il leur cria:QUI ETES VOUS,ÉTRANGER?
 

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L'homme entendit un appel, se dit que c'était un signe providentiel et s'en approcha. Il croisa une jeune femme qu'il salua d'un sourire. Puis il découvrit un groupe de gens bien différents les uns des autres, autour d'un feu. Un mulet et une tente étaient alentour. L'homme ressemblait à un pauvre avec ses habits dépareillés pourtant il parlait comme un homme d'église :

Bien le bonjour mes enfants, que faites vous donc de si bon matin d'une si bonne journée ?

L'homme portait un sac de voyage et une tente enroulée dans le dos. Il semblait marcher depuis un bon moment.
 
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