DeletedUser
Invité
Wyhatt avait gardé le fort pendant plusieurs jours déjà , et il en avait vu passer des indiens ...
Il en a buté des tas sans broncher , mais lorsque ce fut des femmes qui couraient vers le fort , il ne put que tirer en l'air ... un genre de bloquage ...
les soldats qui faisaient la garde a ses cotés tuèrent toutes les femmes avec un grand sourire pour ensuite lui dire :
<<Alors wyhatt ... t'as les foies ?>> il eurent un fou rire comme wyhatt n'en avait jamais vu ... ou alors une fois ... lors du jour de son arrivée aux amériques alors que la ville qui l'avait acceuilli fut brulée par Ben Wade et sa bande ...
wyhatt répondit alors :
<<je me taille ! j'prends mon salaire et j'vous laisse entre vous , les sauvages !>>
il était décu de la réaction de ses coéquipiers face a sa galanterie ...
le temps passait et wyhatt ne reprenait pas le sourire , malgré les beaux paysages que sont ceux des amériques ...
il se disait que ses "compagnons de garde" n'avaient pas leur place dans l'armée , ou alors qu'ils étaient le cliché du soldat américain ... mais après reflexion ... wyhatt eu finit par dire qu'ils avaient raison , a quoi bon ne pas tuer des femmes alors que l'on tue les hommes sans broncher ..?
wyhatt retourna dans sa ville et se posa sans arrêt cette même question ...
<<un bon indien ... est-il forcément un indien mort ?>>
<<pas forcément ...>> lui répondit l'indienne de Valmont (sa ville) , Grafity ... qui le regardait avec des yeux effrayés par les propos que tenait le soldat sans se préoccuper de la manière avec laquelle elle réagirais ...
quand Wyhatt l'aprçut il se retourna directement , le regard plongé dans son verre et finit par dire :
<<crois moi j'en ai vus des peaux rouges et ils ne m'ont pas tous acceuilli a bras ouverts ... si tu vois c'que j'veux dire .>>
il avait alors un regard qui disait "les mots sont faibles" ...
l'indenne restait la , à regarder l'homme pitoyable , qui ne savait rien de ce qui dépassait le bout de son nez , mais qui faisait comme si ...
<<je crois que je vous gène ... raciste !>> elle disait ça avec force et caractère ... ce qui déplaisait a wyhatt .
<<casse-toi sale peau rouge ...>> il engloutit son verre et attendit de la bonne compagnie avec laquelle il pourrait parler d'histoires de guerres ... de petites batailles ou d'autres choses ...
Il en a buté des tas sans broncher , mais lorsque ce fut des femmes qui couraient vers le fort , il ne put que tirer en l'air ... un genre de bloquage ...
les soldats qui faisaient la garde a ses cotés tuèrent toutes les femmes avec un grand sourire pour ensuite lui dire :
<<Alors wyhatt ... t'as les foies ?>> il eurent un fou rire comme wyhatt n'en avait jamais vu ... ou alors une fois ... lors du jour de son arrivée aux amériques alors que la ville qui l'avait acceuilli fut brulée par Ben Wade et sa bande ...
wyhatt répondit alors :
<<je me taille ! j'prends mon salaire et j'vous laisse entre vous , les sauvages !>>
il était décu de la réaction de ses coéquipiers face a sa galanterie ...
le temps passait et wyhatt ne reprenait pas le sourire , malgré les beaux paysages que sont ceux des amériques ...
il se disait que ses "compagnons de garde" n'avaient pas leur place dans l'armée , ou alors qu'ils étaient le cliché du soldat américain ... mais après reflexion ... wyhatt eu finit par dire qu'ils avaient raison , a quoi bon ne pas tuer des femmes alors que l'on tue les hommes sans broncher ..?
wyhatt retourna dans sa ville et se posa sans arrêt cette même question ...
<<un bon indien ... est-il forcément un indien mort ?>>
<<pas forcément ...>> lui répondit l'indienne de Valmont (sa ville) , Grafity ... qui le regardait avec des yeux effrayés par les propos que tenait le soldat sans se préoccuper de la manière avec laquelle elle réagirais ...
quand Wyhatt l'aprçut il se retourna directement , le regard plongé dans son verre et finit par dire :
<<crois moi j'en ai vus des peaux rouges et ils ne m'ont pas tous acceuilli a bras ouverts ... si tu vois c'que j'veux dire .>>
il avait alors un regard qui disait "les mots sont faibles" ...
l'indenne restait la , à regarder l'homme pitoyable , qui ne savait rien de ce qui dépassait le bout de son nez , mais qui faisait comme si ...
<<je crois que je vous gène ... raciste !>> elle disait ça avec force et caractère ... ce qui déplaisait a wyhatt .
<<casse-toi sale peau rouge ...>> il engloutit son verre et attendit de la bonne compagnie avec laquelle il pourrait parler d'histoires de guerres ... de petites batailles ou d'autres choses ...
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