DeletedUser
Invité
Texte 20
Nous sommes au XIXème. Tout le Far West est occupé pas les Cowboys. Toute ? OUI ! Un village peuplé d’irréductibles Ouvriers n’arrivent plus à résister à l’envahisseur. Et la vie n’est pas facile pour les garnisons d’argents et d’outils retranchés dans plusieurs des quartiers de New York …
Aujourd’hui vous tombez dans un mauvais jour : un des quartiers de la ville vient de se faire cambrioler, ils ont volé tous les sous de la banque… Mais heureusement, Luck, shérif de la ville toujours suivi par ses deux chiens, Olive et Tom, mais Luck n’aimait pas leurs nom, il les trouvait trop à l’Européenne alors il donna un surnom à chacun : il choisit Columbus pour Tom, tout simplement parce qu’il venait de Columbia … et pour Olive se fut un peu plus difficile, mais il réussit quand même à trouver un surnom, qui fut Mary ; il le trouva, par hasard, en écoutant ce qu’il disait a sa femme : qu’il venait de Maryland. Après cette anecdote, nous retrouvons nos trois personnages où ils commencèrent l’enquête. Tout d’abord arrivés à l’endroit du carnage, ils se mirent à chercher des indices pour savoir si c’était des sioux ou des hommes blancs. Olive se mit à hurler qu’il avait trouvé un indice, suivi de peu par Tom … cherchant toujours à être le meilleur aux yeux du shérif. Olive n’avait pas trouvé d’indice, juste une bouteille de whisky cassée en mille morceaux. Tom, lui, avait bien trouvé un indice : une plume … accrochée sur une des épines d’un cactus. Nos chers inspecteurs trouvèrent maintenant qui ils devaient traquer.
En marchant dans la ville, le shérif trouva beaucoup de traces de sabot de chevaux… il savait que ses ennemis étaient partis vers l’Ouest. De retour à la prison de la ville, il appela ses deux adjoints et d’un « Nous partons », bref et sans appel, leur signifia qu’ils devaient se préparer rapidement.
Luck mit tout d’abord ses « Bottes de cheval noires », puis son « Manteau noir », et pour ne pas attraper d’insolation, il mit tout simplement son « Chapeau de Cow-Boy noir ». Son fils arriva et lui donna le présent qui provenait de la femme qu’il aimait : un magnifique collier qui représentait un « Bison en or ». Il partit dans son paradis : l’armurerie, où il prit tout simplement une « Butline précise » qu’il rangea délicatement dans son étui et plaça dans son dos sa « Winchester précise ». Maintenant que tout son équipement était prêt, il se mit en route vers l’écurie où son brave destrier, un « Quarter Horse », l’attendait avec impatience.
Fin prêt, nos trois inspecteurs se mirent en route vers l’Ouest, pour se venger et peut-être récupérer leurs biens. Le voyage commença enfin. Mais notre shérif ne va pas être tranquille pendant ce dur voyage, ces deux larbins se mirent à raconter leurs « grandes » aventures qui était toutes aussi fausses les unes que les autres. Il en avait plus qu’assez de leur concours perpétuel qui avait pour but de lui montrer qui était le meilleur… Croyaient-ils vraiment qu’il était assez stupide pour croire leurs histoires ?! Une cinquantaine de jours passèrent toutes aussi longues, et tout autant pénibles pour ce cher Luck, qui devait supporter ses deux imbéciles - il faut le dire - d’adjoints. Heureusement, le shérif ne dut subir ces pénibles discours qu’une vingtaine de jours puisqu’après, ces deux larbins avaient trop soif pour continuer à parler. Ce fut une grande joie pour notre héros.
Donc, au bout de ce long voyage, ils aperçurent de la fumée. Caché derrière un gros rocher, avec Mary et Columbus légèrement en retrait, notre shérif vit la tribu « des orteils gelés » en train de savourer de bons cigares volés à leur ville tant aimée : New-York. Trop excité pour attendre, Columbus sortit son « Revolver d’armée précise » et se mit à tirer n’importe où, suivi pas son camarade qui, lui, dégaina son « Fusil de percussion précis », ne voulant toujours pas laisser son « adversaire » prendre un avantage aux yeux de Luck. Mais le shérif, en ayant marre, les laissa attaquer le camp, et vit très rapidement que ses deux adjoints n’étaient pas de taille contre toute une tribu et qu’ils s’étaient fait capturés par la tribu. Ne pouvant rester assis là devant cette attaque désastreuse, il attendit le soir pour les prendre par surprise. Le soir venu, Luck sortit de son étui sa « Butline précise », avec laquelle il tua toutes les sentinelles.
Rentré dans le campement, il se fit tout discret, et tua encore quelques orteils gelés. Arrivé devant la tente du chef, il savait qu’il ne fallait pas faire de bruit, car le sage de la tribu n’était jamais loin, il posa délicatement ses deux armes à terre après leur avoir fait un baiser porte-bonheur sur leur manche. Résigné à rentrer dans la tente, il le fit sans tarder, armé de ses deux points il rentra mais plusieurs hommes l’attendaient, assis sur leurs tapis.
Le chef commença à prendre la parole :
« Bonjour homme blanc, que me vaut ta visite ? Voudrais-tu que je te rende tes deux compagnons ? » Questionna le chef, en claquant des doigts. Deux hommes arrivèrent avec les deux larbins.
« Je ne suis pas venu ici que pour eux, je suis là aussi … pour vous demander pourquoi avoir volé dans notre quartier ? répliqua sans tarder le shérif.
-Nous avions besoins de nourriture car les plaines sont presque vides, d’argent parce qu’aucune ville ne nous donne rien alors que nous devons acheter plein de chose et pour finir d’arme pour nous défendre, expliqua le chef.
-Mais pourquoi ne pas avoir demandé avant de voler ? interrogea le shérif.
-Nous volons car c’est notre nature, les dieux ont accepté ce que nous faisons, alors nous continuons, prononça le chef.
-Hum … soit alors, je suis venu ici pour reprendre les biens de ma ville, veuillez me les rendre ou je devrais tous vous tuer !!! déclara le shérif avec colère.
-Ne t’énerve pas, homme blanc, nous te rendrons tous les bien de ta ville, mais bien sûr avec une condition … imposa le chef
-Laquelle ? rétorqua le shérif.
-Donnez-nous à manger, et nous vous laisserons en paix, et vos hommes seront vivants, dit clairement le chef.
-Hum … j’accepte votre condition.
Sur cette dernière phrase, le chef fit libérer Mary et Columbus. Ces deux hommes, trop intimidés par tous ces peaux-rouges, restaient la tête baissée. Restés derrière leur chef, ils écoutèrent la longue discussion de paix entre la tribu des orteils gelés et leur ville. Enfin finie, Luck leur laissa finalement ce qu’ils avaient volé en signe de victoire de la paix. Le retour fut comme le départ, aussi pénible pour notre shérif qui, à force d’en avoir marre, mit des bouchons pour ne plus les entendre, quel soulagement … Arrivés aux portes de la ville, Colombus et Mary crièrent qu’ils avaient réussi, que sans leur aide, le shérif ne serait point de retour parmi-eux !!! Luck fit une abnégation, et ne dit rien … Il rentra chez lui, s’assit sur un canapé, demanda à sa femme de lui servir un bon verre de whisky. Elle lui apporta et … BOOM plus rien, une coupure dans notre aventure, la suite peut-être dans le prochain évènement !
Nous sommes au XIXème. Tout le Far West est occupé pas les Cowboys. Toute ? OUI ! Un village peuplé d’irréductibles Ouvriers n’arrivent plus à résister à l’envahisseur. Et la vie n’est pas facile pour les garnisons d’argents et d’outils retranchés dans plusieurs des quartiers de New York …
Aujourd’hui vous tombez dans un mauvais jour : un des quartiers de la ville vient de se faire cambrioler, ils ont volé tous les sous de la banque… Mais heureusement, Luck, shérif de la ville toujours suivi par ses deux chiens, Olive et Tom, mais Luck n’aimait pas leurs nom, il les trouvait trop à l’Européenne alors il donna un surnom à chacun : il choisit Columbus pour Tom, tout simplement parce qu’il venait de Columbia … et pour Olive se fut un peu plus difficile, mais il réussit quand même à trouver un surnom, qui fut Mary ; il le trouva, par hasard, en écoutant ce qu’il disait a sa femme : qu’il venait de Maryland. Après cette anecdote, nous retrouvons nos trois personnages où ils commencèrent l’enquête. Tout d’abord arrivés à l’endroit du carnage, ils se mirent à chercher des indices pour savoir si c’était des sioux ou des hommes blancs. Olive se mit à hurler qu’il avait trouvé un indice, suivi de peu par Tom … cherchant toujours à être le meilleur aux yeux du shérif. Olive n’avait pas trouvé d’indice, juste une bouteille de whisky cassée en mille morceaux. Tom, lui, avait bien trouvé un indice : une plume … accrochée sur une des épines d’un cactus. Nos chers inspecteurs trouvèrent maintenant qui ils devaient traquer.
En marchant dans la ville, le shérif trouva beaucoup de traces de sabot de chevaux… il savait que ses ennemis étaient partis vers l’Ouest. De retour à la prison de la ville, il appela ses deux adjoints et d’un « Nous partons », bref et sans appel, leur signifia qu’ils devaient se préparer rapidement.
Luck mit tout d’abord ses « Bottes de cheval noires », puis son « Manteau noir », et pour ne pas attraper d’insolation, il mit tout simplement son « Chapeau de Cow-Boy noir ». Son fils arriva et lui donna le présent qui provenait de la femme qu’il aimait : un magnifique collier qui représentait un « Bison en or ». Il partit dans son paradis : l’armurerie, où il prit tout simplement une « Butline précise » qu’il rangea délicatement dans son étui et plaça dans son dos sa « Winchester précise ». Maintenant que tout son équipement était prêt, il se mit en route vers l’écurie où son brave destrier, un « Quarter Horse », l’attendait avec impatience.
Fin prêt, nos trois inspecteurs se mirent en route vers l’Ouest, pour se venger et peut-être récupérer leurs biens. Le voyage commença enfin. Mais notre shérif ne va pas être tranquille pendant ce dur voyage, ces deux larbins se mirent à raconter leurs « grandes » aventures qui était toutes aussi fausses les unes que les autres. Il en avait plus qu’assez de leur concours perpétuel qui avait pour but de lui montrer qui était le meilleur… Croyaient-ils vraiment qu’il était assez stupide pour croire leurs histoires ?! Une cinquantaine de jours passèrent toutes aussi longues, et tout autant pénibles pour ce cher Luck, qui devait supporter ses deux imbéciles - il faut le dire - d’adjoints. Heureusement, le shérif ne dut subir ces pénibles discours qu’une vingtaine de jours puisqu’après, ces deux larbins avaient trop soif pour continuer à parler. Ce fut une grande joie pour notre héros.
Donc, au bout de ce long voyage, ils aperçurent de la fumée. Caché derrière un gros rocher, avec Mary et Columbus légèrement en retrait, notre shérif vit la tribu « des orteils gelés » en train de savourer de bons cigares volés à leur ville tant aimée : New-York. Trop excité pour attendre, Columbus sortit son « Revolver d’armée précise » et se mit à tirer n’importe où, suivi pas son camarade qui, lui, dégaina son « Fusil de percussion précis », ne voulant toujours pas laisser son « adversaire » prendre un avantage aux yeux de Luck. Mais le shérif, en ayant marre, les laissa attaquer le camp, et vit très rapidement que ses deux adjoints n’étaient pas de taille contre toute une tribu et qu’ils s’étaient fait capturés par la tribu. Ne pouvant rester assis là devant cette attaque désastreuse, il attendit le soir pour les prendre par surprise. Le soir venu, Luck sortit de son étui sa « Butline précise », avec laquelle il tua toutes les sentinelles.
Rentré dans le campement, il se fit tout discret, et tua encore quelques orteils gelés. Arrivé devant la tente du chef, il savait qu’il ne fallait pas faire de bruit, car le sage de la tribu n’était jamais loin, il posa délicatement ses deux armes à terre après leur avoir fait un baiser porte-bonheur sur leur manche. Résigné à rentrer dans la tente, il le fit sans tarder, armé de ses deux points il rentra mais plusieurs hommes l’attendaient, assis sur leurs tapis.
Le chef commença à prendre la parole :
« Bonjour homme blanc, que me vaut ta visite ? Voudrais-tu que je te rende tes deux compagnons ? » Questionna le chef, en claquant des doigts. Deux hommes arrivèrent avec les deux larbins.
« Je ne suis pas venu ici que pour eux, je suis là aussi … pour vous demander pourquoi avoir volé dans notre quartier ? répliqua sans tarder le shérif.
-Nous avions besoins de nourriture car les plaines sont presque vides, d’argent parce qu’aucune ville ne nous donne rien alors que nous devons acheter plein de chose et pour finir d’arme pour nous défendre, expliqua le chef.
-Mais pourquoi ne pas avoir demandé avant de voler ? interrogea le shérif.
-Nous volons car c’est notre nature, les dieux ont accepté ce que nous faisons, alors nous continuons, prononça le chef.
-Hum … soit alors, je suis venu ici pour reprendre les biens de ma ville, veuillez me les rendre ou je devrais tous vous tuer !!! déclara le shérif avec colère.
-Ne t’énerve pas, homme blanc, nous te rendrons tous les bien de ta ville, mais bien sûr avec une condition … imposa le chef
-Laquelle ? rétorqua le shérif.
-Donnez-nous à manger, et nous vous laisserons en paix, et vos hommes seront vivants, dit clairement le chef.
-Hum … j’accepte votre condition.
Sur cette dernière phrase, le chef fit libérer Mary et Columbus. Ces deux hommes, trop intimidés par tous ces peaux-rouges, restaient la tête baissée. Restés derrière leur chef, ils écoutèrent la longue discussion de paix entre la tribu des orteils gelés et leur ville. Enfin finie, Luck leur laissa finalement ce qu’ils avaient volé en signe de victoire de la paix. Le retour fut comme le départ, aussi pénible pour notre shérif qui, à force d’en avoir marre, mit des bouchons pour ne plus les entendre, quel soulagement … Arrivés aux portes de la ville, Colombus et Mary crièrent qu’ils avaient réussi, que sans leur aide, le shérif ne serait point de retour parmi-eux !!! Luck fit une abnégation, et ne dit rien … Il rentra chez lui, s’assit sur un canapé, demanda à sa femme de lui servir un bon verre de whisky. Elle lui apporta et … BOOM plus rien, une coupure dans notre aventure, la suite peut-être dans le prochain évènement !