DeletedUser
Invité
Voici quelques textes écrit du clavier de mes parents:
Roman I
Note: **
genre: fantastique
longueur: grande
Prologue
Il y a bien longtemps de cela
deux royaumes vivaient
en parfaite harmonie :
le royaume des "Elfes" et
le royaume des "Korrigans".
Chacun apportait paix,
gloire et prospérité à leur peuple.
Mais un jour,
l'agence d'espionnage du royaume
des Korrigans, nommée "La ligue des 300",
organisa un meurtre contre
El'mayr d'Averdor, un comte de sang des Elfes.
Personne, aussi bien
du royaume des Elfes, que de celui
des Korrigans, ne savait qui était l'auteur de ce crime.
Toutefois, une rumeur
accusait un certain Ko'rfyn, assassin
de la "Ligue des 300", connu dans
le monde entier pour sa cruauté.
Et c'est ainsi qu'après
des siècles de bonne cohabitation
les deux royaumes entrèrent en guerre.
Cette guerre n'était pas
une guerre entre le bien et le mal, mais une guerre dans laquelle chacun
combattait celui qui, à ses yeux, fait le mal.
Et c'est cela qui fait de
mon histoire une histoire réelle.
Chapitre I.
El'mynt d'Avador, fils du comte assassiné,
El'mayr d'Averdor, jura, à 10 ans seulement,
qu'il vengerait son père.
Toutefois, à ses 12 ans, il n'eut pas
encore la possibilité de tenir sa promesse.
Et cela pour plusieurs raisons :
depuis la mort de son père
il a la responsabilité de chaque poussière
des terres qu'il reçut en héritage;
il ne sait pas commander
un navire, or il lui faudrait traverser
l'océan qui sépare les 2 royaumes;
à 12 ans, il serait suicidaire de
s'attaquer à la "Ligue des 300";
il ne possède pas d'épée, qui
ne s'acquiert qu'à l'âge de 16 ans, âge de la majorité.
Mais il préparait en cachette son expédition.
Or, ce matin là, il décida d'aller
aux cuisines du château, quand
El'mondirr Myrvir, son plus fidèle
serviteur, l'interpella:
- Maître, dit-il,
El'mondirr Myrvir, je t'ai déjà
dit maintes fois de m'appeler par mon
prénom car je ne suis pas ton maître mais ton ami!
- Oui, El'mynt d'Avador,
- Bon, quelle est ta question, dit-il, un peu agacé
Hé, bien, voilà, un commerçant
assez mystérieux, demande à vous voir!
- Bien, va lui dire de me rejoindre dans la salle ...
- Je vais le lui dire de ce pas, Sir.
Quand l'étranger entra, El'mynt d'Avador fut frappé de stupeur en découvrant que le torse
de son visiteur était tout lacéré
et que les cicatrices formaient ensemble
le sigle ylmoty" ce qui se traduit par "Ko'rfyn".
"Ko'rfyn.... Ko'rfyn..." il
avait déjà entendu parler de ce nom ... mais où??
Il demanda à son visiteur ;
- qui est "Ko'rfyn"?
"Ko'rfyn" .... vous ne le connaissez pas?
C'est un assassin de la "Ligue des 300" qui tyrannise tous
ceux qui sont sur son passage.
- Et c'est lui, qui vous a fait cela?
- En effet, dit le commerçant
....quelle est votre proposition
commerciale?
Hé, bien, l'objet que je vais
vous montrer est ce qui existe de plus précieux au monde!
Et sur ces mots le commerçant
prend un sac de cuir dont il tire un arc
ainsi que son carquois et 10 flèches
dont le bois renferme de la glace.
L'arc, quant à lui, était fait
de bois de pin dont les feuilles étaient
de couleurs bleue-violette, ce qui
laissait croire que cet arc était magique.
"Oh....c'est magnifique", dit El'mynt d'Avador,
le souffle coupé
Oui... "magnifique" n'est pas le
mot adéquat pour décrire cet objet, répondit
le commerçant, le terme
idéal serait aufu* du langage des Elfes.
- Qu'est-ce que cela veut dire?
Ce terme désigne le moment
de fusion entre la nature, la magie et l'émerveillement
- Votre objet ... combien coûte-t-il?
- 694 écus, pas un de plus, pas un de moins
Vous aurez cette somme à la sortie
de mon manoir, vous pouvez partir!
- Bien, Sir!
El'mynt d'Avador se retira dans
ses appartements afin d'y méditer sur la journée
qui venait de s'écouler.
Il venait d'avoir un entretien
avec un commerçant mystérieux
qui lui avait parlé de magie.... mais
quelle forme de magie?
Il voulait des réponses
à ses questions et sortit de ses appartements.
Il traversa la cuisine de son
domaine où chacun travaillait avec ardeur,
l'un cuisinant des gâteaux au miel
d'Espagne, tandis que d'autres
assaisonnaient de la viande
d'Ardennes et d'autres
encore goûtaient les épices
venant de terres
lointaines, et arriva
dans la cour d'honneur
où se déroulait une bagarre.
Arrivé sur les lieux on lui
explique que ,El'mont le chasseur du palais,
venait de capturer une oie
du paysan El'andif et que celui-ci demandait réparation.
Jamais je ne te donnerai cette oie!
dit El'mont, pointant son épée sur la gorge de son adversaire.
Cette oie est mienne! dit El'andif
glissant son épée dans l'écart entre
sa gorge et celle de l'épée de El'mont.
Suffit, intervient El'mynt.
J'en veux une preuve El'andif!
Maître …..chacune de mes oie est
marquée d'une tache verte sur son aile
gauche.
- J'ai envie de te croire El'andif seulement,
d'après mes informations, tes oies ont été
confiées à James Vord,
un montagnard;
et je ne peux vérifier cela.
Cependant je tiens à régler cette chose
au plus vite; El mont garde cette oie
et toi El'andif prends
cette bourse de 20 écus cela te permettra
de t'acheter une dizaine d'oies... va donc
et vous tous partez également, l'affaire est réglée.
Chapitre II - La magie
Le jour suivant, El'mynt d'Avador
sortait à peine de son sommeil quand un
valet de chambre vint le prévenir
qu'un forgeron souhaitait s'entretenir avec lui.
- Fais-le entrer!
A sa vue, El'mynt fut frappé de stupeur
en découvrant ses habits déchirés et troués.
Que vous est-il arrivé?
Qu'est-ce qui vous a mis dans cet état?
C'est la raison de ma
venue dans votre comté
où les armes sont empreintes de magie.
Puis-je donc examiner votre arc et vos flèches?
El'mynt d'Avador lui tendit son arc.
Hum ... arc de pins à feuilles
bleues et flèches d'eau pure,
dit-il d'une voix de connaisseur!
Pensez-vous qu'un humain
soit capable de créer de tels objets?
- Non ... c'est un travail de nains!
- De nains .... existent-ils?
Bien sûr .... qu'avez-vous appris
durant votre enfance?
L'escrime, le jeu de dames,
le tir-à-l'arc, l'équitation?
N'avez-vous aucune
connaissance dans le domaine de la magie?
- Non!
La magie est un art ancien
qui fait appel aux sens,
c'est un don attribué aux personnes
les plus instruites. Toutefois pour entrer
dans ses secrets il ne suffit pas
d'un bout de bois et de quelques formules
mystérieuses, il faut, en outre, être
doté d'un esprit fort. Plus l'esprit déborde
d'énergie, plus les
capacités créatrices seront étendues
et vastes. Par exemple : le feu
est un sort basique, alors que la
foudre requiert des connaissances
plus élaborées!
La magie fait partie des 7 grandes
puissances du monde : l'énergie,
la chaleur, la glace, la vie, le feu,
la conscience et enfin la magie,
mais seul le magicien peut les contrôler.
Comment donc savez-vous tout cela?
Votre savoir n'est pas à la portée d'un forgeron!
- Je ne suis pas celui que vous croyez!
- Mais, alors, qui êtes-vous?
Je suis «*Orfan*», plus connu
sous le nom de Centaure,
mais Zeus a modifié mon apparence car
j'ai apporté mon soutien dans la lutte contre les titans.
- Une créature mythique ... est-ce possible!
Bien sûr ... mais à ce stade-ci
de notre entretien je désirerais prendre congé... puis-je me le permettre ? Je vous en serai reconnaissant!
Quand le Centaure partit, El'mynt d'Avador
fut bouleversé car jamais
il n'aurait pu soupçonner
que la magie avait un tel pouvoir sur le monde.
Pour se changer les idées,
il décida de se rendre au salon des thés.
Quand il y arriva, c'est
à sa grande joie qu'il aperçut El'manti, son plus fidèle ami.
- Bonjour, dit El'mynt d'Avador
- Je te salue, lui répondit El'manti
- Viens, prenons un thé!
- Désolé, je n'en ai point le temps!
- Pourquoi donc?
Tu te souviens de l'homme mutilé
par un certain Kor'rfyn?
Oui, comment connais-tu
cette histoire? Kor'rfyn est un assassin très dangereux ... il a tué mon père!!
Exact ...mais, bien que
cet assassin fut gardé prisonnier
sous haute protection, il s'est évadé!
- Comment !
Oui, moi aussi j'ai été très bouleversé quand j'ai eu vent de cette nouvelle mais il faut se rendre à l'évidence
: Kor'rfyn est d-an-g-e-r-e-u-x et il s'est évadé!
Sur ces mots, El'manti partit.
Chapitre III - L'attaque par surprise.
Quand El'mynt d'Avador
reprit conscience, il était ligoté, bâillonné.
Il faisait nuit et il estima qu'il
était entre minuit et une heure
du matin quand des personnes étranges,
recouvertes de capes noires,
s'apercevant qu'il était réveillé,
lancèrent d'une voix glaciale :
- Content de ton nouveau fauteuil?
Qui êtes-vous? dit El'mynt d'Avador
d'une voix tremblante
Nous sommes les serviteurs
de la mort !!! ha! ha! ha!
fit un homme à cagoule noire.
- Pourquoi suis-je enchaîné?
- C'est pour te livrer aux flammes de l'enfer!
.... et comme l'homme à
la cagoule noire prononça
le mot "Virdôr" une flamme s'éleva
des entrailles d'un rondin de bois.
Toutefois quand une braise
se déposa sur les chevilles
d'El'mynt d'Avador, ce dernier s'exclama "Waisa"
et la flamme devint tourbillon
d'eau s'agrandissant au fur et
à mesure qu'il s'élevait et prenait de la force.
Quand il arriva à hauteur
des yeux turquoises
d'El'mynt d'Avador, le tourbillon
se figea et devint glace!
Les hommes en noir, aussi
stupéfaits que lui-même,
se dirent "comment El'mynt d'Avador a-t-il
pu pratiquer cette magie alors
qu'il ne l'avait jamais maniée auparavant"?
Mais décidé à ne pas périr
sur un bûcher, ce dernier
tendit son arc et décrocha
une flèche dans l'estomac
d'un de ces hommes étranges.
Celui-ci cria de souffrance
avant de tomber pour ne plus jamais se relever!
Les étrangers fuirent
à la vue de leur
compagnon, mort.
Il empoignèrent leur monture et c'est
à dos de chevaux
que les étrangers ont fuit.
El'mynt se sentait fatigué et s'évanouit.
A son réveil il était dans une salles
ornée de diverses
symboles au couleurs
naines.
Il le savait il était dans l'hôpital
des nains.
-Bonjour, dit-un nain
-Bonjour, dit- El'mynt.
-Que m'est t-il arrivé?
-Vous vous êtes évanouis.
-Je, j'ai faim ,soif apportez
moi ce-ci je vous prie?
-Oui,seigneur,tous de suite.
El'mynt ne comprenait pas pour
quoi les nains parlaient
avec temps d'empressement
comme ci chaque geste ou parole
qui venait de lui était...
Différentes.
Il décida de sortir de son lit de bois
mais quand il bougea
sa tête lui brûla
comme si son cerveau
flambait braise après braise.
Cette douleur El'mynt essaya de l'apaiser,
mais sa mission n'était que vaine il appela
un guérisseur elfes et lui
expliqua du mieux qu'il put sa douleur:
-Mon cerveau est en feu!
-Pas d'autres critères?
-Non,dit-il sachant
que cette réponse
n'avancerait pas
le guérisseur d'un poil.
-J'ai aussi la sensation
que mes organes sont déconnectés
du reste de mon corps.
-A mon avis
vous faites une crise d'utymo,
cette maladie va vous forcer
de rester clouer au lit mais cela
n'est pas bien gra...Le guérisseur
n'eut pas le temps de terminer
sa phrase,un
serviteur accourait
transportant
un parchemin disant que son vassal
Sir El'for de Minaram
venait d'apercevoir deux
étrangers qui d'après
lui avait un chapeaux noir
ornée des armoiries
de la ligue des 300:
un korrigans portant
une cape rouge sang et entouré de vipère
-Hem,...il correspondent étrangement
aux étrangers que j'ai vus la nuit
dernière.
Faites sellez mon étalon
et préparez des
vivres pour trois semaines,
astiquez mon armure.
-Mais que se passe t-il sir,
-Ce qui se passe mon cher valet?
Ce qui se passe c'est que Le roi
El'mon de Rimimandi en personne
n'est même pas averti qu'aux
frontière de son royaume
et je me vais de ce pas lui dire
cette forte désastreuse
nouvelle.
Dit-il à bout de nerf.
-B...b,bien mon mon seigneur,balbultina t-il;
-----------------------chapitre IV La course contre l'impossible----------------------
-Sir El'moni de Fortinax
tu à la garde du royaume;
Dit-il sur son étalon.
-Au revoir!Et à ces mots
il donna un coup de botte
dans le flanc de l'étalon.
Il chevaucha à la vitesse de pointe
de son cheval 2h'00 durant arrivé
aux point d'eau
il arrêta son cheval et lui laissa boire.
Pendant ce temps il consulta
sa carte,
cela confirmait ses craintes.
Il lui restait exactement 70km
à parcourir en 1h'58
il lui fallait un plus rapide
cheval hélas le relais le plus prés
était à 90km du châteaux
il devrait donc parcourir 20km en plus.
Choisissant de continuer
sa route vers le château,il dut pousser
son cheval aux limites de ses organismes mais il n'attendrais
toujours pas le temps record d'1h'58.
-
Tome II
Chapitre I (la course contre la montre suite)
El'mynt donnait 10 coup d'étrier à la minute.
Le pauvre cheval coursait le temps mais c'était en vain
1 trentaine de minutes plus tard
il apercevait déjà le soleil brûlant
se coucher sur le sable doré.
-Il talonnait son cheval ralentissant considérablement le cheval.
Puis il aperçut un bâtiment de pierre quand il fut assez prêt pour
déchiffrer l'écriteau il put lire:
*»L'auberge du chamelier*»
Il entreprit de s'arrêter
négocier un bon cheval à un passant,acheter
des galettes de blé et de prendre de l'eau.
Une fois arrivé dans la taverne contrairement aux
autres il n'y avait aucune personne ivre et fou.
Enfin fou...C'est vite dits!
Car des personnes au nez crochu disait pouvoir prendre le contrôle des Elfes en répétant de quelconque formules sois dis-antes magiques!
El'mynt s'essaya sur une table et voulut commander de l'eau et quelques galettes de blé.
Le serveur lui répondit qu'il n'y en faisais pas mais qu'il lui recommandait vivement de prendre ces délicieuses mygales accompagné de sang gnome.
-Hem..Non merci ça ira comme ça!
Une fois sortie de cette...taverne.
Une fois dans l'écurie il se mit à étrier son cheval.
Puis se rappelant que son cheval était épuisé il voulut prendre
un autre quand soudain....
Histoire II
Note: ***
Genre: Historique
Le premier voyage de James Cook
Alexandre Lewis, 20 ans, originaire de la Grande Bretagne sud.
Engagé dans la marine royale anglaise à l'âge de 16 ans, je fus embarqué à bord d'un trois mats, l'«Endeavour» au titre de botaniste.
Angleterre, 3 juin 1762
Sous le lever du soleil d'été, vers 6 h'00 environ, un navire se dresse fièrement, entouré d'une foule où riches et pauvres se confondent...c'est l'«*Endeavour*»!
Le vaisceau sent encore la peinture fraîche.
Les gonds viennent d'être huilés et le bois vernis.
Les charpentiers songent avec amusement qu'il y a seulement 15 jours ce navire n'était qu'un plan dessiné par un architecte naval, mais le voici, bien réel, prêt à prendre la mer avec un équipage appelé «*les gentlemen explorateurs*»!
Le projet de la construction de ce nouveau bateau a été vite dressé car l'Angletterre perdait peu à peu son avance sientifique sur les autres pays.
Sur le port de York une foule discute, crie et les gentilshommes discutent de l'importance du voyage:
Si Cook trouve ce continent austral, l'Angletterre en tirerait non seulment un avantage économique mais cela améliorerait aussi son niveau de croissance! dit Brian.
Peut-être ...mais qui a dit que cet immense continent existe bien? dit David.
Les savants grecs mentionnaient déjà l'existence de ce continent dans l'antiquité! dit un étranger
Ha, au diable ces grecs... ils parlent des choses les plus farfelues, ils affirment, par exemple, que la terre est...RONDE!!!
Alors que tout le monde sait qu'elle est plate! répond David
Ho!... je n'en suis pas si sûr...dit l'étranger.
Quoi!
Tu oserais me contredire?-
Hmm....oui! dit l'étranger
Tu vas payer pour ton insolence! riposte David
Et... ho... calmez-vous... nous sommes à une inauguration ....et puis regardez.... James Cook monte à bord de la passerelle! dit Brian se dressant entre les 2 adversaires.
En effet, l'amiral James Cook montait à bord, habillé comme
un prince, gantelets blancs, toison dorée,veste de soie!
Il tient à la main un clou d'or et une planche où est gravé en lettres
d'or le nom du bateau «ENDEAVOUR» et c'est sous un tonnerre d'applaudissements que le Prince Henri brise de la lame de son épée la corde qui retient le bateau au port.
8 juin 1762
Hier James Cook a monté tous les intellectuels au rang de géographe ou autres titres de haute renommée.
Cela n'a pas du tout été bien vu par les militaires vous aviez vu leur mine!
Aujourd'hui j'ai été chargé de nettoyer le pont et si il brille je reçois une ou deux pièces d'or.
Je cire, je cire.... cela fait au moins 2h'00 que je fais cette corvée!
C'est qu'avec le contremaître on ne rigole pas!
Tout au contraire.... encore heureux qu'il ait oublié son bâton sur le quai!
Les soldats nous regardent l'air anxieux, ils ont le mal de mer mais ils affirment avoir tout vécu et être faits pour l'aventure.
Bientôt 8h'00 !!! si dans 5 minutes je n'ai pas fini de cirer, je ne pourrais pas être à temps dans la cabine qui nous sert de salle à manger.
Le colonel est d'une humeur maussade. Il maudit l'amiral pour les promotions accordées la veille.
Personnellement, moi, je trouve ça très bien une promotion!!!
Hé.... Aleksandre Lewis!
Quoi?
Il y a l'amiral qui veut te parler! t'as trop de chance!
Pourquoi moi?
J'en sais rien...mais dépêche-toi!!
Arrivé dans la cabine de l'amiral, quel ne fut pas mon étonnement car, au lieu d'y découvrir 2 chaises cloutées, un mousquet et au plafond une tapisserie datant du moyen âge représentant une croisade, j'y vis des livres de botanique, de géographie, de sciences, de médecines...le tout entreposé sur une table.
L'amiral emportait avec lui tout ce qui normalement ne devrait pas se trouver dans un navire mais dans une bibliothèque!
- Bonjour ! me dit l'amiral, je suppose pourquoi tu es ici.... tu es botaniste?
- Heu, non, mon amiral, je ne sais pas.
- Cette carte, elle ne te dit rien? me demanda l'amiral en posant son index sur le transit de Vénus.
- Hem...si je crois que c'est le sud de l'océan pacifique.
- Affirmatif....et à ton avis? où sommes nous exactement?
- Nous sommes à, exactement, 38km au sud-sud-ouest des Philippines.
-Parfait! Je vois que tu as les facultés nécessaires pour comprendre la lettre de «*la Royal Socyety*» que je vais te montrer à l'instant!
Cette lettre était rédigée comme suit :
«*La Royal Socyety charge l'amiral James Cook d'explorer l'océan pacifique sud avec pour principales missions l'observation du transit de Vénus et la recherche d'un hypothétique continent austral*».
- Alors?
- Alors quoi, mon Amiral???
- Tu es prêt à relever le défi?
- Lequel, mon Amiral?
- Celui de trouver un continent en plein cœur de l'océan pacifique
et des états asiatiques?
- De l'or! répondis-je à l'Amiral
- Quoi de l'or?
- Je veux de l'or!
- Ainsi la science et le savoir ne t' intéressent-ils pas?
- Si .... mais ce n'est pas avec la découverte d'un continent austral
que je vais gagner ma vie!
- Oui.... hélas l'or manque car en Angleterre.... c'est la crise
alors que si nous découvrons ce continent l'Angleterre y
emmènera des colons et elle sera à nouveau une grande
puissance!
- Hem.... oui... mais il m'est revenu que le taux de réussite dans ce genre d'expédition ne s'élève même pas à 40%.
- Et alors, c'est le risque du métier!
- Bon je suis partant!
Bien! tu peux disposer.
Un peu troublé, je rentre dans ma cabine, et pour me changer les idées, j'écris plusieurs poèmes sur cet océan si vaste, si beau, si féroce et la penseé que notre vie en dépend me fait frémir.
Chapitre II - 5juin 1762
Tout l'équipage est à table et James Cook distribue la choucroute et le contremaître des oranges.
Chaque marin est vêtu d'une tunique de lin blanc et d'un pantalon bleu, porte des chaussures lacées de cuir ainsi qu'une ceinture où est attaché un poignard.
Les militaires, quant à eux, portent une cuirasse, un mousquet, un sabre et une écharpe aux couleurs anglaises à leur cou.
Ils ont également à leur disposition la tenue de l'armée de terre au complet.
Quant aux intellectuels, chacun est muni d'une longue vue et d'un tricorne et porte une chemise garnie de boutons dorés et un pantalon de soie chinoise.
On voyait bien que l'on avait été promu!
Bizarrement, l'amiral n'avait pas mis sa tunique militaire mais avait opté pour une tenue plus élégante : perruque blanche, chemise brodée d'or, tricorne bleu clair, pantalon blanc avec à la ceinture
une épée de collection dont le manche était incrusté d'un diamant provenant des côtes amérindiennes du sud .
Cette tenue n'était cependant pas du tout appréciée par le colonel.
IL faut le comprendre!
Imaginez que vous êtes dans l'armée où tout est strict, militaire, discipliné, puis que votre supérieur débouche d'une tente en costume de parade .... qu'en penseriez-vous?
L'amiral annonça que nous allions faire escale au nord des Philippines.
Ce fut le bonheur général, surtout du côté des soldats peu habitués à la mer!
A peine 1 heure plus tard la vigie s'écria:
TERRE!
TERRE!
TERRE A L'HORIZON!
Tout le monde se mit à courir, danser, chanter car grâce à Cook aucun marin n'était mort du scorbut......ni même d'un rhume!
Pourtant l'amiral était anxieux car il ne savait pas si les
tribus locales se comporteraient de façon amicale.
Les hommes descendirent du pont au rythme de cris d'enthousiasme, de chants et du bruit des mousquets tirant sur les arbres.
Tout le monde s'activa!
Les soldats coupèrent du bois pour construire des palissades et baraquements de fortune.
Les marins ponçaient le bois du bateau.
Les cartographes établissaient des points de passage entre les rivières, voir les fleuves.
Les dessinateurs dessinaient la flore environnante.
Les botanistes analysaient et prélevaient des échantillons de plantes.
Les cuisiniers accommodaient la tortue et autres mets souvent
utilisés dans la marine.
Quant à moi, je décidais d'aller dans une partie peu accessible de la crique et y découvris une flèche décorée d'une plume verte.
L'endroit était...HABITE!
Je voulus prévenir l'amiral quand un anaconda, camouflé jusqu'àlors par un arbre et des lianes, se mit à m'entourer puis une minute plus tard je sombrais dans l'inconscience.
A mon réveil, un peu étourdi, je m'étonnais de me retrouver dans une hutte de terre cuite couverte d'un toit de paille.
- Pourtant je ne suis pas en Afrique, loin de là, pensais-je!
C'est alors que je vis entrer un guerrier pour le moins BIZZARE!
Il était coiffé de plumes d'oiseaux du paradis, vêtu d'un pagne de feuilles et de divers bijoux de jade.
A sa main gauche il tenait une lance que je trouvais obsolète pour une époque où les armes à feu avaient déjà fait leur apparition.
A en déduire par son regard, il devait être fâché...très fâché!
Il me signe de venir vers lui, puis de m'agenouiller.
J'obéis et l'étranger me décora d'une plume de couleur azur,
ensuite je me relevai et l'indigène, me tenant par le bras, me fit comprendre de venir au centre du village par quelques marmonnements incompréhensibles se composant principalement de «*bha*» et de «*bhi*».!
Il faut dire que si je le compris c'est parce que je possédais les langues des îles Philippines et de celles qui l'entourent.
Mais soudain je réalisai qu'il me confondait avec un dieu!
J'avais la peau blanche, d'accord, je transportais des pièces d'or sur moi, d'accord.....mais quand même!!
Je me dis alors que c'était un rêve..... je me pinçais ....mais la situation ne changeait pas!
Pourtant je n'avais pas envie d'être pris pour un dieu; je devais
m'échapper de cet endroit le plus rapidement possible.
Mais j'étais entouré de guerriers qui n'avaient pas vraiment l'air
de vouloir discuter.
D'un geste menaçant je sortis mon épée de son fourreau puis m'avança prudemment en direction d'un sentier coincé entre deux
huttes du même style que la première.
Arrivé à hauteur d'un talus de 1 ou 2 mètres de haut qui servait à
protéger le hameau, je sprintai puis escalada un muret de torchis et courus dans la faune; cinq minutes plus tard et après être certain d'avoir semé les indigènes,l'examina
la flore environnante.
Et c'est à ma grande surprise que je vit du sucre!
Et oui,du sucre.
Je voulais le goûter; d'après les cuisiniers,c'est succulent.
__________________
Roman I
Note: **
genre: fantastique
longueur: grande
Prologue
Il y a bien longtemps de cela
deux royaumes vivaient
en parfaite harmonie :
le royaume des "Elfes" et
le royaume des "Korrigans".
Chacun apportait paix,
gloire et prospérité à leur peuple.
Mais un jour,
l'agence d'espionnage du royaume
des Korrigans, nommée "La ligue des 300",
organisa un meurtre contre
El'mayr d'Averdor, un comte de sang des Elfes.
Personne, aussi bien
du royaume des Elfes, que de celui
des Korrigans, ne savait qui était l'auteur de ce crime.
Toutefois, une rumeur
accusait un certain Ko'rfyn, assassin
de la "Ligue des 300", connu dans
le monde entier pour sa cruauté.
Et c'est ainsi qu'après
des siècles de bonne cohabitation
les deux royaumes entrèrent en guerre.
Cette guerre n'était pas
une guerre entre le bien et le mal, mais une guerre dans laquelle chacun
combattait celui qui, à ses yeux, fait le mal.
Et c'est cela qui fait de
mon histoire une histoire réelle.
Chapitre I.
El'mynt d'Avador, fils du comte assassiné,
El'mayr d'Averdor, jura, à 10 ans seulement,
qu'il vengerait son père.
Toutefois, à ses 12 ans, il n'eut pas
encore la possibilité de tenir sa promesse.
Et cela pour plusieurs raisons :
depuis la mort de son père
il a la responsabilité de chaque poussière
des terres qu'il reçut en héritage;
il ne sait pas commander
un navire, or il lui faudrait traverser
l'océan qui sépare les 2 royaumes;
à 12 ans, il serait suicidaire de
s'attaquer à la "Ligue des 300";
il ne possède pas d'épée, qui
ne s'acquiert qu'à l'âge de 16 ans, âge de la majorité.
Mais il préparait en cachette son expédition.
Or, ce matin là, il décida d'aller
aux cuisines du château, quand
El'mondirr Myrvir, son plus fidèle
serviteur, l'interpella:
- Maître, dit-il,
El'mondirr Myrvir, je t'ai déjà
dit maintes fois de m'appeler par mon
prénom car je ne suis pas ton maître mais ton ami!
- Oui, El'mynt d'Avador,
- Bon, quelle est ta question, dit-il, un peu agacé
Hé, bien, voilà, un commerçant
assez mystérieux, demande à vous voir!
- Bien, va lui dire de me rejoindre dans la salle ...
- Je vais le lui dire de ce pas, Sir.
Quand l'étranger entra, El'mynt d'Avador fut frappé de stupeur en découvrant que le torse
de son visiteur était tout lacéré
et que les cicatrices formaient ensemble
le sigle ylmoty" ce qui se traduit par "Ko'rfyn".
"Ko'rfyn.... Ko'rfyn..." il
avait déjà entendu parler de ce nom ... mais où??
Il demanda à son visiteur ;
- qui est "Ko'rfyn"?
"Ko'rfyn" .... vous ne le connaissez pas?
C'est un assassin de la "Ligue des 300" qui tyrannise tous
ceux qui sont sur son passage.
- Et c'est lui, qui vous a fait cela?
- En effet, dit le commerçant
....quelle est votre proposition
commerciale?
Hé, bien, l'objet que je vais
vous montrer est ce qui existe de plus précieux au monde!
Et sur ces mots le commerçant
prend un sac de cuir dont il tire un arc
ainsi que son carquois et 10 flèches
dont le bois renferme de la glace.
L'arc, quant à lui, était fait
de bois de pin dont les feuilles étaient
de couleurs bleue-violette, ce qui
laissait croire que cet arc était magique.
"Oh....c'est magnifique", dit El'mynt d'Avador,
le souffle coupé
Oui... "magnifique" n'est pas le
mot adéquat pour décrire cet objet, répondit
le commerçant, le terme
idéal serait aufu* du langage des Elfes.
- Qu'est-ce que cela veut dire?
Ce terme désigne le moment
de fusion entre la nature, la magie et l'émerveillement
- Votre objet ... combien coûte-t-il?
- 694 écus, pas un de plus, pas un de moins
Vous aurez cette somme à la sortie
de mon manoir, vous pouvez partir!
- Bien, Sir!
El'mynt d'Avador se retira dans
ses appartements afin d'y méditer sur la journée
qui venait de s'écouler.
Il venait d'avoir un entretien
avec un commerçant mystérieux
qui lui avait parlé de magie.... mais
quelle forme de magie?
Il voulait des réponses
à ses questions et sortit de ses appartements.
Il traversa la cuisine de son
domaine où chacun travaillait avec ardeur,
l'un cuisinant des gâteaux au miel
d'Espagne, tandis que d'autres
assaisonnaient de la viande
d'Ardennes et d'autres
encore goûtaient les épices
venant de terres
lointaines, et arriva
dans la cour d'honneur
où se déroulait une bagarre.
Arrivé sur les lieux on lui
explique que ,El'mont le chasseur du palais,
venait de capturer une oie
du paysan El'andif et que celui-ci demandait réparation.
Jamais je ne te donnerai cette oie!
dit El'mont, pointant son épée sur la gorge de son adversaire.
Cette oie est mienne! dit El'andif
glissant son épée dans l'écart entre
sa gorge et celle de l'épée de El'mont.
Suffit, intervient El'mynt.
J'en veux une preuve El'andif!
Maître …..chacune de mes oie est
marquée d'une tache verte sur son aile
gauche.
- J'ai envie de te croire El'andif seulement,
d'après mes informations, tes oies ont été
confiées à James Vord,
un montagnard;
et je ne peux vérifier cela.
Cependant je tiens à régler cette chose
au plus vite; El mont garde cette oie
et toi El'andif prends
cette bourse de 20 écus cela te permettra
de t'acheter une dizaine d'oies... va donc
et vous tous partez également, l'affaire est réglée.
Chapitre II - La magie
Le jour suivant, El'mynt d'Avador
sortait à peine de son sommeil quand un
valet de chambre vint le prévenir
qu'un forgeron souhaitait s'entretenir avec lui.
- Fais-le entrer!
A sa vue, El'mynt fut frappé de stupeur
en découvrant ses habits déchirés et troués.
Que vous est-il arrivé?
Qu'est-ce qui vous a mis dans cet état?
C'est la raison de ma
venue dans votre comté
où les armes sont empreintes de magie.
Puis-je donc examiner votre arc et vos flèches?
El'mynt d'Avador lui tendit son arc.
Hum ... arc de pins à feuilles
bleues et flèches d'eau pure,
dit-il d'une voix de connaisseur!
Pensez-vous qu'un humain
soit capable de créer de tels objets?
- Non ... c'est un travail de nains!
- De nains .... existent-ils?
Bien sûr .... qu'avez-vous appris
durant votre enfance?
L'escrime, le jeu de dames,
le tir-à-l'arc, l'équitation?
N'avez-vous aucune
connaissance dans le domaine de la magie?
- Non!
La magie est un art ancien
qui fait appel aux sens,
c'est un don attribué aux personnes
les plus instruites. Toutefois pour entrer
dans ses secrets il ne suffit pas
d'un bout de bois et de quelques formules
mystérieuses, il faut, en outre, être
doté d'un esprit fort. Plus l'esprit déborde
d'énergie, plus les
capacités créatrices seront étendues
et vastes. Par exemple : le feu
est un sort basique, alors que la
foudre requiert des connaissances
plus élaborées!
La magie fait partie des 7 grandes
puissances du monde : l'énergie,
la chaleur, la glace, la vie, le feu,
la conscience et enfin la magie,
mais seul le magicien peut les contrôler.
Comment donc savez-vous tout cela?
Votre savoir n'est pas à la portée d'un forgeron!
- Je ne suis pas celui que vous croyez!
- Mais, alors, qui êtes-vous?
Je suis «*Orfan*», plus connu
sous le nom de Centaure,
mais Zeus a modifié mon apparence car
j'ai apporté mon soutien dans la lutte contre les titans.
- Une créature mythique ... est-ce possible!
Bien sûr ... mais à ce stade-ci
de notre entretien je désirerais prendre congé... puis-je me le permettre ? Je vous en serai reconnaissant!
Quand le Centaure partit, El'mynt d'Avador
fut bouleversé car jamais
il n'aurait pu soupçonner
que la magie avait un tel pouvoir sur le monde.
Pour se changer les idées,
il décida de se rendre au salon des thés.
Quand il y arriva, c'est
à sa grande joie qu'il aperçut El'manti, son plus fidèle ami.
- Bonjour, dit El'mynt d'Avador
- Je te salue, lui répondit El'manti
- Viens, prenons un thé!
- Désolé, je n'en ai point le temps!
- Pourquoi donc?
Tu te souviens de l'homme mutilé
par un certain Kor'rfyn?
Oui, comment connais-tu
cette histoire? Kor'rfyn est un assassin très dangereux ... il a tué mon père!!
Exact ...mais, bien que
cet assassin fut gardé prisonnier
sous haute protection, il s'est évadé!
- Comment !
Oui, moi aussi j'ai été très bouleversé quand j'ai eu vent de cette nouvelle mais il faut se rendre à l'évidence
: Kor'rfyn est d-an-g-e-r-e-u-x et il s'est évadé!
Sur ces mots, El'manti partit.
Chapitre III - L'attaque par surprise.
Quand El'mynt d'Avador
reprit conscience, il était ligoté, bâillonné.
Il faisait nuit et il estima qu'il
était entre minuit et une heure
du matin quand des personnes étranges,
recouvertes de capes noires,
s'apercevant qu'il était réveillé,
lancèrent d'une voix glaciale :
- Content de ton nouveau fauteuil?
Qui êtes-vous? dit El'mynt d'Avador
d'une voix tremblante
Nous sommes les serviteurs
de la mort !!! ha! ha! ha!
fit un homme à cagoule noire.
- Pourquoi suis-je enchaîné?
- C'est pour te livrer aux flammes de l'enfer!
.... et comme l'homme à
la cagoule noire prononça
le mot "Virdôr" une flamme s'éleva
des entrailles d'un rondin de bois.
Toutefois quand une braise
se déposa sur les chevilles
d'El'mynt d'Avador, ce dernier s'exclama "Waisa"
et la flamme devint tourbillon
d'eau s'agrandissant au fur et
à mesure qu'il s'élevait et prenait de la force.
Quand il arriva à hauteur
des yeux turquoises
d'El'mynt d'Avador, le tourbillon
se figea et devint glace!
Les hommes en noir, aussi
stupéfaits que lui-même,
se dirent "comment El'mynt d'Avador a-t-il
pu pratiquer cette magie alors
qu'il ne l'avait jamais maniée auparavant"?
Mais décidé à ne pas périr
sur un bûcher, ce dernier
tendit son arc et décrocha
une flèche dans l'estomac
d'un de ces hommes étranges.
Celui-ci cria de souffrance
avant de tomber pour ne plus jamais se relever!
Les étrangers fuirent
à la vue de leur
compagnon, mort.
Il empoignèrent leur monture et c'est
à dos de chevaux
que les étrangers ont fuit.
El'mynt se sentait fatigué et s'évanouit.
A son réveil il était dans une salles
ornée de diverses
symboles au couleurs
naines.
Il le savait il était dans l'hôpital
des nains.
-Bonjour, dit-un nain
-Bonjour, dit- El'mynt.
-Que m'est t-il arrivé?
-Vous vous êtes évanouis.
-Je, j'ai faim ,soif apportez
moi ce-ci je vous prie?
-Oui,seigneur,tous de suite.
El'mynt ne comprenait pas pour
quoi les nains parlaient
avec temps d'empressement
comme ci chaque geste ou parole
qui venait de lui était...
Différentes.
Il décida de sortir de son lit de bois
mais quand il bougea
sa tête lui brûla
comme si son cerveau
flambait braise après braise.
Cette douleur El'mynt essaya de l'apaiser,
mais sa mission n'était que vaine il appela
un guérisseur elfes et lui
expliqua du mieux qu'il put sa douleur:
-Mon cerveau est en feu!
-Pas d'autres critères?
-Non,dit-il sachant
que cette réponse
n'avancerait pas
le guérisseur d'un poil.
-J'ai aussi la sensation
que mes organes sont déconnectés
du reste de mon corps.
-A mon avis
vous faites une crise d'utymo,
cette maladie va vous forcer
de rester clouer au lit mais cela
n'est pas bien gra...Le guérisseur
n'eut pas le temps de terminer
sa phrase,un
serviteur accourait
transportant
un parchemin disant que son vassal
Sir El'for de Minaram
venait d'apercevoir deux
étrangers qui d'après
lui avait un chapeaux noir
ornée des armoiries
de la ligue des 300:
un korrigans portant
une cape rouge sang et entouré de vipère
-Hem,...il correspondent étrangement
aux étrangers que j'ai vus la nuit
dernière.
Faites sellez mon étalon
et préparez des
vivres pour trois semaines,
astiquez mon armure.
-Mais que se passe t-il sir,
-Ce qui se passe mon cher valet?
Ce qui se passe c'est que Le roi
El'mon de Rimimandi en personne
n'est même pas averti qu'aux
frontière de son royaume
et je me vais de ce pas lui dire
cette forte désastreuse
nouvelle.
Dit-il à bout de nerf.
-B...b,bien mon mon seigneur,balbultina t-il;
-----------------------chapitre IV La course contre l'impossible----------------------
-Sir El'moni de Fortinax
tu à la garde du royaume;
Dit-il sur son étalon.
-Au revoir!Et à ces mots
il donna un coup de botte
dans le flanc de l'étalon.
Il chevaucha à la vitesse de pointe
de son cheval 2h'00 durant arrivé
aux point d'eau
il arrêta son cheval et lui laissa boire.
Pendant ce temps il consulta
sa carte,
cela confirmait ses craintes.
Il lui restait exactement 70km
à parcourir en 1h'58
il lui fallait un plus rapide
cheval hélas le relais le plus prés
était à 90km du châteaux
il devrait donc parcourir 20km en plus.
Choisissant de continuer
sa route vers le château,il dut pousser
son cheval aux limites de ses organismes mais il n'attendrais
toujours pas le temps record d'1h'58.
-
Tome II
Chapitre I (la course contre la montre suite)
El'mynt donnait 10 coup d'étrier à la minute.
Le pauvre cheval coursait le temps mais c'était en vain
1 trentaine de minutes plus tard
il apercevait déjà le soleil brûlant
se coucher sur le sable doré.
-Il talonnait son cheval ralentissant considérablement le cheval.
Puis il aperçut un bâtiment de pierre quand il fut assez prêt pour
déchiffrer l'écriteau il put lire:
*»L'auberge du chamelier*»
Il entreprit de s'arrêter
négocier un bon cheval à un passant,acheter
des galettes de blé et de prendre de l'eau.
Une fois arrivé dans la taverne contrairement aux
autres il n'y avait aucune personne ivre et fou.
Enfin fou...C'est vite dits!
Car des personnes au nez crochu disait pouvoir prendre le contrôle des Elfes en répétant de quelconque formules sois dis-antes magiques!
El'mynt s'essaya sur une table et voulut commander de l'eau et quelques galettes de blé.
Le serveur lui répondit qu'il n'y en faisais pas mais qu'il lui recommandait vivement de prendre ces délicieuses mygales accompagné de sang gnome.
-Hem..Non merci ça ira comme ça!
Une fois sortie de cette...taverne.
Une fois dans l'écurie il se mit à étrier son cheval.
Puis se rappelant que son cheval était épuisé il voulut prendre
un autre quand soudain....
Histoire II
Note: ***
Genre: Historique
Le premier voyage de James Cook
Alexandre Lewis, 20 ans, originaire de la Grande Bretagne sud.
Engagé dans la marine royale anglaise à l'âge de 16 ans, je fus embarqué à bord d'un trois mats, l'«Endeavour» au titre de botaniste.
Angleterre, 3 juin 1762
Sous le lever du soleil d'été, vers 6 h'00 environ, un navire se dresse fièrement, entouré d'une foule où riches et pauvres se confondent...c'est l'«*Endeavour*»!
Le vaisceau sent encore la peinture fraîche.
Les gonds viennent d'être huilés et le bois vernis.
Les charpentiers songent avec amusement qu'il y a seulement 15 jours ce navire n'était qu'un plan dessiné par un architecte naval, mais le voici, bien réel, prêt à prendre la mer avec un équipage appelé «*les gentlemen explorateurs*»!
Le projet de la construction de ce nouveau bateau a été vite dressé car l'Angletterre perdait peu à peu son avance sientifique sur les autres pays.
Sur le port de York une foule discute, crie et les gentilshommes discutent de l'importance du voyage:
Si Cook trouve ce continent austral, l'Angletterre en tirerait non seulment un avantage économique mais cela améliorerait aussi son niveau de croissance! dit Brian.
Peut-être ...mais qui a dit que cet immense continent existe bien? dit David.
Les savants grecs mentionnaient déjà l'existence de ce continent dans l'antiquité! dit un étranger
Ha, au diable ces grecs... ils parlent des choses les plus farfelues, ils affirment, par exemple, que la terre est...RONDE!!!
Alors que tout le monde sait qu'elle est plate! répond David
Ho!... je n'en suis pas si sûr...dit l'étranger.
Quoi!
Tu oserais me contredire?-
Hmm....oui! dit l'étranger
Tu vas payer pour ton insolence! riposte David
Et... ho... calmez-vous... nous sommes à une inauguration ....et puis regardez.... James Cook monte à bord de la passerelle! dit Brian se dressant entre les 2 adversaires.
En effet, l'amiral James Cook montait à bord, habillé comme
un prince, gantelets blancs, toison dorée,veste de soie!
Il tient à la main un clou d'or et une planche où est gravé en lettres
d'or le nom du bateau «ENDEAVOUR» et c'est sous un tonnerre d'applaudissements que le Prince Henri brise de la lame de son épée la corde qui retient le bateau au port.
8 juin 1762
Hier James Cook a monté tous les intellectuels au rang de géographe ou autres titres de haute renommée.
Cela n'a pas du tout été bien vu par les militaires vous aviez vu leur mine!
Aujourd'hui j'ai été chargé de nettoyer le pont et si il brille je reçois une ou deux pièces d'or.
Je cire, je cire.... cela fait au moins 2h'00 que je fais cette corvée!
C'est qu'avec le contremaître on ne rigole pas!
Tout au contraire.... encore heureux qu'il ait oublié son bâton sur le quai!
Les soldats nous regardent l'air anxieux, ils ont le mal de mer mais ils affirment avoir tout vécu et être faits pour l'aventure.
Bientôt 8h'00 !!! si dans 5 minutes je n'ai pas fini de cirer, je ne pourrais pas être à temps dans la cabine qui nous sert de salle à manger.
Le colonel est d'une humeur maussade. Il maudit l'amiral pour les promotions accordées la veille.
Personnellement, moi, je trouve ça très bien une promotion!!!
Hé.... Aleksandre Lewis!
Quoi?
Il y a l'amiral qui veut te parler! t'as trop de chance!
Pourquoi moi?
J'en sais rien...mais dépêche-toi!!
Arrivé dans la cabine de l'amiral, quel ne fut pas mon étonnement car, au lieu d'y découvrir 2 chaises cloutées, un mousquet et au plafond une tapisserie datant du moyen âge représentant une croisade, j'y vis des livres de botanique, de géographie, de sciences, de médecines...le tout entreposé sur une table.
L'amiral emportait avec lui tout ce qui normalement ne devrait pas se trouver dans un navire mais dans une bibliothèque!
- Bonjour ! me dit l'amiral, je suppose pourquoi tu es ici.... tu es botaniste?
- Heu, non, mon amiral, je ne sais pas.
- Cette carte, elle ne te dit rien? me demanda l'amiral en posant son index sur le transit de Vénus.
- Hem...si je crois que c'est le sud de l'océan pacifique.
- Affirmatif....et à ton avis? où sommes nous exactement?
- Nous sommes à, exactement, 38km au sud-sud-ouest des Philippines.
-Parfait! Je vois que tu as les facultés nécessaires pour comprendre la lettre de «*la Royal Socyety*» que je vais te montrer à l'instant!
Cette lettre était rédigée comme suit :
«*La Royal Socyety charge l'amiral James Cook d'explorer l'océan pacifique sud avec pour principales missions l'observation du transit de Vénus et la recherche d'un hypothétique continent austral*».
- Alors?
- Alors quoi, mon Amiral???
- Tu es prêt à relever le défi?
- Lequel, mon Amiral?
- Celui de trouver un continent en plein cœur de l'océan pacifique
et des états asiatiques?
- De l'or! répondis-je à l'Amiral
- Quoi de l'or?
- Je veux de l'or!
- Ainsi la science et le savoir ne t' intéressent-ils pas?
- Si .... mais ce n'est pas avec la découverte d'un continent austral
que je vais gagner ma vie!
- Oui.... hélas l'or manque car en Angleterre.... c'est la crise
alors que si nous découvrons ce continent l'Angleterre y
emmènera des colons et elle sera à nouveau une grande
puissance!
- Hem.... oui... mais il m'est revenu que le taux de réussite dans ce genre d'expédition ne s'élève même pas à 40%.
- Et alors, c'est le risque du métier!
- Bon je suis partant!
Bien! tu peux disposer.
Un peu troublé, je rentre dans ma cabine, et pour me changer les idées, j'écris plusieurs poèmes sur cet océan si vaste, si beau, si féroce et la penseé que notre vie en dépend me fait frémir.
Chapitre II - 5juin 1762
Tout l'équipage est à table et James Cook distribue la choucroute et le contremaître des oranges.
Chaque marin est vêtu d'une tunique de lin blanc et d'un pantalon bleu, porte des chaussures lacées de cuir ainsi qu'une ceinture où est attaché un poignard.
Les militaires, quant à eux, portent une cuirasse, un mousquet, un sabre et une écharpe aux couleurs anglaises à leur cou.
Ils ont également à leur disposition la tenue de l'armée de terre au complet.
Quant aux intellectuels, chacun est muni d'une longue vue et d'un tricorne et porte une chemise garnie de boutons dorés et un pantalon de soie chinoise.
On voyait bien que l'on avait été promu!
Bizarrement, l'amiral n'avait pas mis sa tunique militaire mais avait opté pour une tenue plus élégante : perruque blanche, chemise brodée d'or, tricorne bleu clair, pantalon blanc avec à la ceinture
une épée de collection dont le manche était incrusté d'un diamant provenant des côtes amérindiennes du sud .
Cette tenue n'était cependant pas du tout appréciée par le colonel.
IL faut le comprendre!
Imaginez que vous êtes dans l'armée où tout est strict, militaire, discipliné, puis que votre supérieur débouche d'une tente en costume de parade .... qu'en penseriez-vous?
L'amiral annonça que nous allions faire escale au nord des Philippines.
Ce fut le bonheur général, surtout du côté des soldats peu habitués à la mer!
A peine 1 heure plus tard la vigie s'écria:
TERRE!
TERRE!
TERRE A L'HORIZON!
Tout le monde se mit à courir, danser, chanter car grâce à Cook aucun marin n'était mort du scorbut......ni même d'un rhume!
Pourtant l'amiral était anxieux car il ne savait pas si les
tribus locales se comporteraient de façon amicale.
Les hommes descendirent du pont au rythme de cris d'enthousiasme, de chants et du bruit des mousquets tirant sur les arbres.
Tout le monde s'activa!
Les soldats coupèrent du bois pour construire des palissades et baraquements de fortune.
Les marins ponçaient le bois du bateau.
Les cartographes établissaient des points de passage entre les rivières, voir les fleuves.
Les dessinateurs dessinaient la flore environnante.
Les botanistes analysaient et prélevaient des échantillons de plantes.
Les cuisiniers accommodaient la tortue et autres mets souvent
utilisés dans la marine.
Quant à moi, je décidais d'aller dans une partie peu accessible de la crique et y découvris une flèche décorée d'une plume verte.
L'endroit était...HABITE!
Je voulus prévenir l'amiral quand un anaconda, camouflé jusqu'àlors par un arbre et des lianes, se mit à m'entourer puis une minute plus tard je sombrais dans l'inconscience.
A mon réveil, un peu étourdi, je m'étonnais de me retrouver dans une hutte de terre cuite couverte d'un toit de paille.
- Pourtant je ne suis pas en Afrique, loin de là, pensais-je!
C'est alors que je vis entrer un guerrier pour le moins BIZZARE!
Il était coiffé de plumes d'oiseaux du paradis, vêtu d'un pagne de feuilles et de divers bijoux de jade.
A sa main gauche il tenait une lance que je trouvais obsolète pour une époque où les armes à feu avaient déjà fait leur apparition.
A en déduire par son regard, il devait être fâché...très fâché!
Il me signe de venir vers lui, puis de m'agenouiller.
J'obéis et l'étranger me décora d'une plume de couleur azur,
ensuite je me relevai et l'indigène, me tenant par le bras, me fit comprendre de venir au centre du village par quelques marmonnements incompréhensibles se composant principalement de «*bha*» et de «*bhi*».!
Il faut dire que si je le compris c'est parce que je possédais les langues des îles Philippines et de celles qui l'entourent.
Mais soudain je réalisai qu'il me confondait avec un dieu!
J'avais la peau blanche, d'accord, je transportais des pièces d'or sur moi, d'accord.....mais quand même!!
Je me dis alors que c'était un rêve..... je me pinçais ....mais la situation ne changeait pas!
Pourtant je n'avais pas envie d'être pris pour un dieu; je devais
m'échapper de cet endroit le plus rapidement possible.
Mais j'étais entouré de guerriers qui n'avaient pas vraiment l'air
de vouloir discuter.
D'un geste menaçant je sortis mon épée de son fourreau puis m'avança prudemment en direction d'un sentier coincé entre deux
huttes du même style que la première.
Arrivé à hauteur d'un talus de 1 ou 2 mètres de haut qui servait à
protéger le hameau, je sprintai puis escalada un muret de torchis et courus dans la faune; cinq minutes plus tard et après être certain d'avoir semé les indigènes,l'examina
la flore environnante.
Et c'est à ma grande surprise que je vit du sucre!
Et oui,du sucre.
Je voulais le goûter; d'après les cuisiniers,c'est succulent.
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