[VOTES] Westhy : son histoire

  • Auteur de la discussion DeletedUser15359
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DeletedUser15359

Invité
Bonjour à tous !
Les participations à l'animation sont maintenant terminées. Il est temps de passer au vote du public !

Petit rappel de quelques règles :
- Le vote dure 15 jours à partir de la date de la mise en ligne.
- Les œuvres ne sont pas anonymes, vous pouvez donc demander à votre entourage de vous soutenir en votant pour vous.

Aussi, j'aimerais remercier une nouvelle fois tous les participations pour le temps qu'ils ont accordé au forum.

Bonne lecture/écoute à tous et bon choix !


Edit : l’œuvre numéro 5 est disqualifiée pour plagiat.
 
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DeletedUser15359

Invité
Œuvre 1

Westhy : "Ma vie c'est pas Walt Disney"

Hiiihihi
On m'a nommé
la mascotte Westhy
je vais vous raconter
un peu ma vie

Qui m'a dessiné ?
il est parti ?
on l'a congédié ?
un junky
qui en avait plein le cornet ?
un pourri
c'est sûr un enfoiré
Avez-vous vu ce que je suis ?

M'a-t-il fait exprès ?
cet air abruti,
ce gros nez
un peu aplati
ce sourire benêt
cette crinière dégarnie
et pour moitié
trop fournie

Et non je ne suis pas né
dans une écurie
mais sur l'écran d'un PC
union d'une souris
et d'un graphiste écervelé

Même chez "monstres et compagnie"
on m'a refusé l'entrée
bizarre qu'Innogame m'ait pris
par hasard j'avais postulé


Ce genre d'ineptie
n'existe pas dans la réalité
du far-west, ici
c'est pas Walt Disney
tant pis pour ma vie
tant mieux pour Mickey
Hiiiihihi
 

DeletedUser15359

Invité
Œuvre 2

Holà amigos! Je m'appelle Westhy!

D'où je viens? J’arrive de Carson City! À vous voulez dire mon histoire? Et bien commençons par mes parents.

Mon père s'appelle West's Lord, le seigneur de l'ouest. Il est l'un des puissants destriers qui tire les diligences de la Wells & Fargo Compagny. Je ne connais pas beaucoup mon père, car il est souvent parti travailler sur la route. Ce que je sais de lui, c'est qu'il est extrêmement rapide et fort. Lorsque lui et ses collègues arrivent en ville avec la diligence, la terre se met à trembler, ils ont une prestance incroyable. Je l'admire beaucoup.

Ma mère, elle, a été dans sa jeunesse une pouliche sauvage, elle passait ses journées à courir dans les plaines avec ses amis au gré du vent. Au début de sa vie adulte, elle a été capturée par des cowboys. Elle est ensuite allée à l'école de dressage, mais maman a toujours été rebelle et fougueuse, c'est d'ailleurs ce que papa aime d'elle. L'école a donné pour résultat que très peu de cavaliers sont capables de la monter. À cause de ça, on lui a donné le nom de Calamity. Aujourd'hui, elle travail dans un ranch où elle regroupe le bétail, en autant qu'elle accepte le cavalier. Heureusement pour elle, il y en a un qu'elle accepte, car il la traite correctement, elle est chanceuse, car ce n'est pas tout le monde qui est aussi doux avec les chevaux.

Mes parents se sont rencontrés une soirée où mon père était en repos forcé, car il avait perdu un fer. Perdre un fer à cheval, c'est supposé être mal chanceux, mais pour lui, ça lui a permis de rencontrer ma mère. Ce fût un coup de foudre.

Tant qu'à moi, j'ai eu une belle enfance avec ma mère Calamity, j'adore courir, c'est mon passe-temps préféré. À part ça, j'aime bien aller prendre un coup au Saloon, mais j'ai horreur lorsqu'un soûlon tombe dans mon eau! Est-ce je tombe dans leur whisky moi? Je vais aussi voir les rodéos pour encourager mes copains, pas les cowboys, les chevaux. Dans la montée de chevaux sauvage, il n'y a pas meilleurs que maman pour catapulter son cavalier. L'année dernière, elle en a expédié un directement dans l'estrade des juges Hihihhiiiiiaannn!

L'an passé, j'ai dû prendre une décision pour ma carrière. Plusieurs choix s’offraient à moi, je pouvais faire comme papa ou maman, ou bien encore comme mon oncle Bill et rejoindre l'armée dans la 7ième Cavalerie. Je voulais faire différent et j'ai trouvé l'emploi de rêve pour moi...Le Poney-express. Je passe mes journées à courir à traverser l'ouest dans toutes les directions pour transmettre les nouvelles, le télégraphe n'est pas disponible partout.

Il me fera donc plaisir de vous données toutes les dernières nouvelles qui ce passe in The West.

Sur, ce je vous laisse, j'ai encore beaucoup de courrier à livrer! Direction Santa Fe. Hiha!
 

DeletedUser15359

Invité
Œuvre 3

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DeletedUser15359

Invité
Œuvre 4

Lors d'une bataille de fort entre alliances T-Roristas vs 2C1 , un cheval emballé galopait autour du fort.
Benblade était géné pour tirer :"sapré bigadu de non di ...."visiblement notre cheval ennuyait l'ennemi à galoper entre nous et notre assaillant.
Nous étions amusés du parcours : il allait de la rivière au camp de nos ennemis et hop un coup de sabot et voila Pepito dans les pommes ! plus qu'a piller les cadavres...
Erekose éclatait de rire en voyant la scène...
Le cheval se mit à rentrer dans le fort en poussant un hennissement pendant que nos snipers coupaient toute retraite des attaquants.
Plus tard dans la soirée,entre bagarre,wisky et rhum nous décidions de l'appeler westhy à cause de la position du fort sur la carte et de la cargaison d'alcool que nous avions vidé .
Le cheval s'en alla car nous ne sommes pas arrivés à le dompter mais il arrive parfois d'entendre des discussions de taverne concernant un cheval fou semant la zizanie au hasard des évènements dans le pays.
 

DeletedUser15359

Invité
Œuvre 5

Westhy est un étalon qui raconte son histoire, celle des chevaux sauvages de l'Ouest. Grandissant dans de somptueux paysages de prairies et de montagnes, il vit paisiblement dans la plaine, son principal désir étant de courir toujours plus vite. Farceur et aventurier, il devient fougueux mais responsable de son clan une fois adulte.
Une nuit, il est attiré par un feu de camp brillant au loin. Malgré les mises en garde de sa mère, Westhy est bien décidé à rencontrer cette chose étrange et arrive dans un groupe de captureurs de chevaux sauvages. Ces chevaux sont ensuite amenés à l'armée. Spirit réveille accidentellement un des hommes et malgré une poursuite acharnée se fait capturer. Emmené dans un fort au beau milieu du désert, il mène la vie dure aux hommes du Colonel, qui décide de l'emmener au corral, ce qui ne suffit toujours pas, et décide de le lier à un poteau sans eau ni nourriture pendant 3 jours. Durant cette période, un indien Lakota, Petit Soleil d Avril, est capturé à son tour et subit le même sort que Westhy. Une fois les 3 jours écoulés, le Colonel décide de dompter Westhy mais la force de caractère de ce dernier est immense et il parvient à se défaire de son cavalier. A la surprise générale, Petit Soleil d Avril, arrivé à couper ses liens grâce à un couteau lancé par ses amis durant la nuit, s'empare de Westhy, qui défonce les portes de l'écurie et libère en même temps tous les chevaux capturés qui s'échappent alors du fort.
Mais la liberté n'est toujours pas pour Westhy, Petit Soleil d Avril étant bien décidé à l'apprivoiser. Westhy reste très distant face à l'indien qui décide de changer de tactique : il lie une corde entre Westhy et Rivière, sa jument, afin que celle-ci lui apprenne les bonnes manières. Westhy s'adoucit un peu, mais refuse toujours de se laisser monter, quoiqu'il ait beaucoup plus d'amitié avec Petit Soleil d Avril. Westhy et Rivière tombent tout deux fou amoureux l'un de l'autre. Tout bascule à nouveau lorsque l'armée du fort attaque le campement. Rivière et Petit Soleil d Avril tombent dans l'eau seul le jeune réussit à s'attacher à un rocher tandis que Rivière est transportée par les courants, Spirit ayant vu toute la scène bouscule le colonel qui voulait tirer sur l'indien. Westhy accourt pour sauver la jument. Il reste toute la nuit à ses côtés ce jour là avant que l'armée le reprenne laissant seule la jument ; Spirit abattu par la perte de Rivière, se laisse entraîner sans opposer de moindres résistance.
La voie ferrée est en construction et de nombreux chevaux sont nécessaires pour hisser les locomotives au-delà des collines. Westhy en fait partie mais une fois arrivé en haut de la colline il aperçoit son monde, qui commence à être violé par la venue des hommes. Par un coup de ruse il parvient à s'échapper et à briser les attaches des chaînes et de la locomotive qui, entraînée par son poids, dégringole la colline et heurte violemment l'autre locomotive, faisant tout exploser. Westhy s'enfuit poursuivit par l'incendie. Dans la forêt, celui-ci se retrouve coincé à cause de la chaîne qu'il a encore autour du cou et qui s'est accroché a un tronc mais Petit Soleil d Avril arrive pour le libérer à temps car l'indien était parti à la recherche de l'étalon en suivant la voie ferrée en construction car il l'avait sauvé du colonel. Westhy resta le héros des plaines le plus apprécié.

[ŒUVRE DISQUALIFIÉE : PLAGIAT.]
 
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DeletedUser15359

Invité
Œuvre 6

Salut les amis de l’West (et d’ailleurs aussi) ! Je m’appelle Westhy, je suis un poney et voici mon histoire…

Je suis issu d’une grande fratrie de 26 poneys. Oui, vous avez bien lu : 26 ! Et c’est parce que je suis le 23ème enfant que mon prénom commence par un W. Je n’ai jamais compris pourquoi mes parents avaient décidé de choisir nos prénoms en suivant l’alphabet… Il était d’ailleurs temps qu’ils arrêtent de se reproduire parce qu’ils commençaient sérieusement à manquer d’inspiration. Je ne dis pas ça pour moi, j’aime bien mon prénom ; mais mon pauvre frère Zébulon n’a vraiment pas tiré le gros lot. Du coup on l’appelle Zzzzzz, vu qu’il pionce tout le temps.

Vous vous doutez bien qu’à 28 dans la même clairière, ce n’était pas facile de trouver à manger tous les jours. Lors d’une de mes nombreuses balades en quête de nourriture, un sympathique voyageur a remarqué mon air affamé et m’a donné un susucre. Et là, ça a été LA révélation ! Quelle explosion de sensations dans mes papilles !

J’ai donc décidé de partir sans plus attendre à la recherche de ce cadeau du ciel, d’autant plus que cela me donnait une occasion de quitter le cocon familial. Tant pis pour mes parents, je leur enverrai un lettre une fois que je serai arrivé dans une autre ville.

Oui mais voilà : pas de susucres sans argent ! Et pas d’argent sans travail… Au cours de mon voyage, j’ai appris l’existence d’un service de distribution du courrier appelé Pony express. Ça ne pouvait pas mieux tomber ! Je suis donc allé directement dans les bureaux de la société pour proposer mes services. Sauf que ces andouilles ne recrutaient que des chevaux ! Merci pour les trois semaines de trajet pour rien ! J’ai donc décidé de reprendre la route…

Manque de bol, je suis tombé en pleine guerre. Ma p’tite maman m’avait bien dit de ne pas m’éloigner de la forêt… Ne le prenez pas mal mais ça venait encore de vous, satanés humains ! Alors ok, vous marchez sur deux pattes et vous pouvez parler ; mais niveau relationnel, vous avez du pain sur la planche…

Je n’ai pas compris qui se battait contre qui, ni pourquoi, mais ça devait être bien sérieux parce que ça tirait dans tous les sens, partout où j’allais ! Du coup, au lieu de courir sans cesse, j’ai décidé de me fixer au sein d’un des régiments. L’ambiance y était assez étrange, certains soldats ayant la curieuse habitude de se taper dessus tout en étant dans le même camp.

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À la fin de la guerre, après avoir vu trop d’horreurs, j’ai décidé de repartir vers l’ouest. On en disait tellement de bien à l’époque ! Après de longs jours d’errance, j’ai fini par arriver dans une charmante petite ville où j’ai tout de suite été adopté par une famille très attentionnée.

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Tout n’était pas parfait non plus : le petit garçon passait son temps à me parler, à me brosser et à m’appeler Wolf, tandis que le grand monsieur aux cheveux longs avait une étrange conception de la mode vestimentaire et de l’hygiène corporelle. C’est pas parce que tu veux vivre comme les indiens que tu dois forcément avoir l’odeur du bison ! De plus, la ville n’était pas desservie par le train et n’était donc que trop peu approvisionnée en susucres. Et puis franchement, je m’ennuyais pas mal… J’ai donc décidé de partir et je me suis rendu vers le sud.

Là-bas, j’ai fait la connaissance d’un autre petit garçon : Billy. Il m’a tout de suite adopté et a vite compris comment satisfaire mon estomac ! Il était sympa ce gamin, quoiqu’un peu fêlé.


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Arrivé à l’adolescence, il s’est mis à traîner avec des individus pas très fréquentables et à commettre beaucoup de bêtises, certaines plus grosses que d’autres… Moi qui voulais de l’action, j’ai été servi ! Mais ce qui devait arriver arriva, et mon pauvre maître fut tué par un shérif, Pat Garrett.

J’étais là quand c’est arrivé, et j’ai senti en regardant cet homme qu’il avait gardé une balle pour moi. J’ai essayé de détendre l’atmosphère en lui disant que, s’il avait une fille, il devrait éviter de l’appeler comme ma sœur, parce que « Lassie Garrett » ça serait dur à porter. Mais ça ne l’a pas trop fait rire, alors je n’ai pas insisté et j’ai mis les voiles.

Je suis donc reparti à l’aventure, et plus précisément à la recherche d’un travail. Et c’est là que j’ai entendu parler d’un spectacle dont l’objectif était de reproduire des scènes représentatives de la vie dans l’Ouest : le Buffalo Bill’s Wild West. Et cette fois, les poneys étaient acceptés ! J’ai ainsi rejoint la troupe et ai participé à de nombreuses représentations.

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C’était le bon temps, je m’amusais bien et j’étais grassement (et sucrement !) rémunéré. Mais au bout d’un certain temps, j’ai été obligé de regarder la vérité en face : je me faisais de plus en plus vieux et ne pouvais donc plus continuer d’exercer une activité physique aussi intense.

C’est en cherchant un travail moins contraignant que je suis tombé sur une annonce énigmatique : une société cherchait une mascotte pour son grand jeu d’aventure dont le but était de découvrir l’Ouest américain. J’ai donc postulé et j’ai rencontré Shaw. L’entretien s’est bien déroulé, on s’est tout de suite bien entendus. Je me suis juste un peu inquiété quand il m’a demandé si je parlais « lalman ». Je n’ai pas trop compris ce qu’était « lalman » et je pense que ça s’est vu à ma tête ! Il a donc commencé à me sortir un charabia incompréhensible à base de « vovonstdou » et « viguettèsdir ». Au lieu de me dégonfler, j’y suis allé au culot et je lui ai répondu « Vram grom chvar strum zuzucres ! ».

Et j’ai eu le job ! La suite, vous la connaissez. Et vous allez continuer de la découvrir en suivant mes interventions sur le forum. À bientôt !
 

DeletedUser15359

Invité
Œuvre 7

Si jument, j’irai en enfer !

Oyez, beaux cavaliers, la véridique histoire
De Westhy, qui fut longtemps au régime sans selle,
Avant de rencontrer celui qui fut sans doute
L’indien le plus simplet de l’histoire des Black foot.

Sachez donc tout d’abord, car c’est fondamental,
Que ce Westhy n’est pas n’importe quel cheval :
Eût-il été un chien, qu’un certain homme blanc
L’aurait sans hésiter appelé Rantanplan.

Car ce noble animal, qui naquit chez sa tante,
Sa jument de maman étant, ce jour, absente,
Avait tout de sa race, des naseaux aux sabots,
Tout sauf un accessoire : il manquait le cerveau !

Ce qui, chez un humain, est chose bien commune,
Se trouve être au mustang une grave lacune :
Comment sans cet organe savoir quoi manger,
Comment anticiper aussi tous les dangers ?

Ainsi notre poulain allait-il sans défiance
Jouer dans la prairie en toute confiance
Avec les rejetons de tous les animaux
Chatons, veaux, musaraignes, écureuils et blaireaux.

Un jour, ayant joué avec un porc-épic,
Il se fit la remarque « Cet animal, hippique ! »
Et, collant une ruade au piquant mammifère,
Il s’écria « Méchant, cheval dire à ma mère ! »

Et s’écoula ainsi l’enfance insouciante
De ce petit cheval au QI de moins trente.
Des membres de sa harde il fut fort apprécié,
Les mustangs, c’est peu su, adorant rigoler !

Puis un jour survint où il fut capturé
Au lasso, par erreur, par un indien bourré.
Son véritable nom était Fleur d’artichaud,
Mais c’était compliqué, on le surnommait Cho !

C’était dans sa tribu l’exact équivalent
De ce petit cheval doté d’un cerveau lent.
Gentil, pas très futé, il modérait les gens,
Et faisait rigoler les petits et l’écran.

L’indien peu à l’apache et le cheval idiot,
On s’en doutait un peu, s’adorèrent aussitôt.
Mais, étant la risée de toute la tribu,
Ils tournèrent l’étalon, nul ne les a revus.

Un très vieux trappeur, un dont l’haleine empeste,
M’a assuré un jour qu’ils vivaient dans The West.
Suivez donc bien leur trace dans ce monde utopiste,
Il est un vieux proverbe qui dit « tel fer, telle piste ! »
 

DeletedUser15359

Invité
Œuvre 8

Il était une fois, dans les grandes plaines de l'Ouest Américain, un troupeau de mustangs sauvages... Non loin de là, près d'une rivière et d'une forêt, se trouvait un camp d'Indiens Peaux-Rouges. Par une belle nuit d'été étoilée, le troupeau se rapprocha du village indien, pour y brouter une herbe meilleure et se désaltérer au bord de la rivière. Dans le troupeau, une jument pie était sur le point de pouliner et elle alla se mettre à l'écart dans la petite forêt, non loin du camp indien. Au camp, deux guerriers indiens veillaient près du feu; tout à coup, ils entendirent des hennissements et virent un puma rôder près de la jument, qui était sur le point de pouliner. Armés de bouts de bois brûlants, ils chassèrent le puma, tout en veillant sur la jument.
Ils restèrent à ses côtés et l'aidèrent pendant le poulinage, qui se déroula sans problème. Le poulain était un joli étalon pie bai tobiano, (avec de belles taches brun foncé sur fond blanc et des crins noirs et blancs mélangés). A peine né, il essaya de se mettre debout sur ses grandes jambes tremblantes et fragiles... Mais l'échec n'était pas dans son caractère et, au bout de 3 essais, il parvint enfin à aller téter sa mère.
Les deux Peaux-Rouges bénirent le poulain et sa mère, afin de leur porter chance et leur souhaiter une longue et heureuse vie. Mais quel nom allaient-ils donner à ce joli poulain ??? Finalement, après réflexion, ils optèrent pour "Westhy", ce qui, en langage Peau-Rouge signifie... "Né Une Nuit d'été".
Puis, les jours suivants, le poulain et sa mère revinrent souvent près du camp indien, comme pour remercier leurs bienfaiteurs. A la fin de la belle saison, le troupeau partit vers d'autres pâturages. L'année suivante, le village indien s'était réinstallé au même endroit et le troupeau était revenu lui aussi. Le poulain avait bien grandi et était devenu un bel étalon au caractère bien trempé; il s'approcha du camp (tout en restant à bonne distance) pour aller à la rivière et reconnut ses sauveurs. Il leur adressa un signe de tête comme pour les remercier, se retourna et partit rejoindre son troupeau au galop...
 

DeletedUser15359

Invité
Œuvre 9

Salut l'ami!!
tu vois, je n'ai pas oublié notre rendez vous!! je n'aurais raté ca pour rien au monde!!
N'essaie pas de m'amadouer, cela ne sert à rien. Je dicte MA loi,

Mais tu sais quoi? je vais te faire une fleur! avant que notre duel ne commence, je vais te dire qui je suis vraiment!!
Tout le monde à le droit de connaître le poney qui le tue!!

On me connait sous le nom de Westhy, mais dans les écuries on me connait sous le nom de l'étalon de l'ouest!!
toutes les juments sont folles de ma crinière de feu et de ma fougue!
J'ai quitté mes terres viking natales pour conquérir l'ouest!! J'ai navigué pendant des mois, galopé des semaines entières.
Et sur mon passage mon nom était connues de toutes les écuries et les saloons
Des avis de recherches ont commencé à fleurir de partout:

Westhy : recherché mort ou vif

Bizarrement, personne n'arrive jamais à m'attraper... Pourquoi?
Parce qu'en plus d'être le plus beau, le plus fort et le plus malin, je suis le plus rapide de l'ouest!!
Et toi, tu crois pouvoir me défier!! Laisse moi rire!!
ton audace te coutera la vie!! je crois que tu vies tes dernier moments!
Hum...Je te sens tout fébrile d'un coup! Peut être es tu en train de tomber sous le charme de l'étalon... cela semblerai logique.
Alors? toujours envie de jouer avec moi?
Attention, tu n'aura qu'une seule chance...
 

DeletedUser15359

Invité
Œuvre 10

OYEZ , OYEZ , Westiens et Westiennes !
Venez écouter la véridique histoire de Westhy votre mascotte !!

Bon ok là, je me la pète un max, mais tout de même si je ne me caresse pas un peu dans le sens du poil qui va le faire ?

Alors….Il était une fois dans les plaines de l’Ouest ….Oui, je sais, ça commence comme un conte de fée et pourtant c’est la vérité !...Bon je reprends :

Il était une fois dans les plaines de l’Ouest un superbe étalon anglais de pure race importé de la lointaine Europe avec de nombreux congénères. Après un mois de mer, Stew (c’était son nom) fut débarqué à Baltimore pour devenir reproducteur dans les grands élevages du Kentucky. Mais Il n’arriva jamais à destination…

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Une nuit, une bande de hors la loi assaillit à l’improviste les cowboys de l’escorte : il faut dire que ces grands chevaux de race avaient beaucoup de valeur et attiraient bien des convoitises ! Et la pendaison qui menaçait les voleurs ne les décourageait pas tous !
Cette fois-là, les bandits, plus nombreux et bien armés, eurent rapidement le dessus mais dans la confusion qui suivit, Stew faussa compagnie à tout le monde !
Le voilà donc tout seul, galopant crinière au vent dans ces vastes territoires qui ressemblaient bien peu à son Angleterre natale ! Il évitait les humains, ceux-ci ne lui ayant attiré que des ennuis et se contentait de errer au gré de son humeur…
Mais voilà qu’un beau matin, il aperçut au loin sur une colline un petit groupe de chevaux. Curieux (et peut être lassé de sa trop longue solitude), il se dirigea vers eux d’un trot rapide.
C’était une harde de petits chevaux indiens, robustes, rapides et endurants. Ils étaient menés par un étalon Apaloosa qui ne vit pas d’un bon œil l’arrivée de cet étranger ! Le nouveau venu était tellement différent, grand, puissant, même sa robe baie et sa crinière noire paraissaient…exotiques ! Malgré tout, ils le laissèrent brouter à leurs côtés, méfiants au début puis indifférents.

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Il y en avait une par contre que Stew ne laissait pas du tout indifférente ! C’était une jeune pouliche vive et pétulante qui se pâmait d’admiration devant le grand cheval venu d’ailleurs ! Elle fit tout ce qu’il fallait pour séduire le bel étalon et il faut croire qu’elle savait y faire car onze mois plus tard arriva…MOI, Westhy qui vous raconte aujourd’hui cette histoire ! Moi, moitié anglais, moitié indien n’ayant pris que la meilleure moitié de chaque bien sûr !(Je sais, j’ai oublié la modestie quelque part !).

Mes débuts dans la prairie furent bien un peu laborieux, en grande partie à cause de mon physique un peu ….particulier ! Les longues jambes de mon père rendirent mes premières foulées un peu chancelantes et le mélange des races m’avait donné cette physionomie si…comment dire…atypique ! Mais en revanche je portais en moi la sagesse de la vieille Europe et l’esprit d’entreprise du Nouveau Monde (oui, oui la modestie je sais gnagnagna !)
J’aurais pu faire des tas de choses de ma vie, mais finalement mascotte ça me convient ! Je peux vous faire profiter de mes conseils et de ma sagesse et je reçois en échange ce que j’aime le plus au monde : des susucres !

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DeletedUser15359

Invité
Œuvre 11

Un beau jour de printemps naît Westhy, un petit poney qui ne demandait qu'à gambader dans la nature :

http://www.sendspace.com/file/hscgod


Il se dressa sur ses pattes arrière, regarda à droite à gauche. Curieux et avide, ce dernier voulait apprendre à courir. Son papa le mit en garde.

"Mon fils la curiosité est un vilain défault, commences par apprendre à hennir, en cas de danger il faut appeler je suis là pour te protéger"

Alors, Westhy écouta les conseils de son père et commença à s'exercer. Son père lui dit :

"je m'absente aujourd'hui avec maman, je reviens ce soir, et une fois rentré j'espère que tu auras fait des progrès, entraînes toi mon fils, je suis fier de toi".

Notre petit poney se retrouva seul. Il entendit des bruits étranges dans la forêt. Des bruits inabituels, il se mit à hennir, hennir, hennir ! A crier fort et encore plus fort ! Mais personne ne l'entendait !

"papa, papa, où es-tu, papa viens vite j'ai peur, papa sauve moi"

http://www.sendspace.com/file/rojmq0

Westhy entend un bruit très fort, un gros BOUM déchirant. Il avait beau appeler son papa, sa maman, personne ne répondait. Il s'approcha de la lisière, pencha sa tete et regarda en direction de la ferme. Que vit-il ?

Son papa, étendu par terre, gisant dans une marre de sang. A côté, sa maman gisait aussi. Notre Westhy se sentit bien seul, il avait qu'une envie, pleurer.

http://www.sendspace.com/file/k1yl7o

Il rentra dans la forêt pour se cacher, il n'avait plus personne sur qui compter. Plus de parents mais comment allait survivre Westhy ???

Il s'enfonça encore et encore dans la forêt et épuisé, s'allongea puis s'endormit.

Il avait froid, sa fourrure commencait à geler, mais qu'importe il fallait bien se reposer. Au petit matoin il sentit une source de chaleur et une odeur particulière arrivait jusqu'à ses narines.

Il ouvrit un oeil, puis le second ! et entendit 2 personnes parler.

"mais que veux-tu en faire ?" répondit Ofee

"je l'ignore mais c'est un poney il était mort de froid je ne pouvais pas le laisser là gisant seul à la tombée de la nuit par un froid pareil à l'heure actuelle il serait mort"

"écoutes Shaw, rétorqua Ofee, je ne sais pas ce que tu veux faire de cet poney mais nous n'avons rien à lui donner à manger de plus nous avons assez de travail il me semble ! On a la mise à jour qui arrive et tu ne trouves rien de mieux à faire qu'amener un poney à la maison, ça me dépasse !"

"écoute Ofee, on va se partager les tâches et nous avons nos amis Modérateurs je suis sûr qu'ils se feront une joie de nous aider pour alimenter cet animal. Au fait comment allons nous l'appeler, en as-tu une idée Ofée"

"je ne sais pas comment nous allons l'appeler ce que je sais c'est que c'est ton poney, à toi de trouver le prénom"

"là je ne suis pas inspiré du tout, nous devrions demander à nos joueurs leur avis sur le prénom de notre nouvel animal, et .... ah mais c'est pas bête ça"

"de ? quoi qui n'est pas bête !" rétorqua Ofee

"Ca y est j'ai trouvé" dit Shaw, ce poney sera parfait pour une mascotte pour notre jeu !

"une mascotte" ? rétorqua Ofee "mais nous n'avons jamais eu de mascotte sur ce jeu"

"justement" (rétorqua Shaw) "ça nous en fera une"

Alors leurs regards se posèrent sur ce petit poney, un peu méfiant, intimidé, qui regardait ses nouveaux parents. Shaw prit alors la parole :

"bonjour, n'aies pas peur mon petit poney, je t'ai trouvé grelottant de froid à la lisière du bois, je t'ai amené à la maison, içi je prendrai soin de toi. je m'appelle Shaw et voici Ofee ma collaboratrice."

Le petit poney regardat Shaw mais ne répondit rien. Shaw continua et dit à ce poney "dis moi mon petit, je suis un Administrateur, je gère un jeu sur l'Ouest et je te propose de te rendre célèbre, tu serais notre Mascotte, énormément de joueurs connaitraient ton prénom"

Le poney écarquilla les yeux, se leva et se mit à hennir fou de joie ! Lui célèbre, un pauvre petit poney sans père ni mère qui se demandait de quoi il allait survivre et il trouve un Maître désirant le rendre célèbre, le poney se mit à danser :

http://fs13u.sendspace.com/processupload.html

il regarda Ofee et Shaw heureux, fou de joie et dit en essayant de hennir "WESH !!!!!!!!!!!!!!" s'exclama-t-il !

Shaw regarda l'ânon et lui dit "tu m'as donné une idée de prénom si je t'appelais Westhy ???"

Le poney acquieça et c'est ainsi que dans l'Ouest sauvage, nous avons depuis peu un poney prénommé Westhy.

C'est notre mascotte, il a son mail, son compte sur le jeu et apprend aux côtés de Shaw et de l'équipe Westienne les trucs et astuces de ce jeu. C'est ainsi que se termine l'histoire de son arrivée parmi nous en chanson, la chanson de Westhy il l'a composée spécialement pour vous en l'honneur de son arrivée parmi les nôtres :

http://www.sendspace.com/file/by1xl7
 

DeletedUser15359

Invité
Œuvre 12

L’histoire de Westhy

Cette version de l’histoire de Westhy qui, peut-être ne verra jamais le jour, est assez controversée à ce jour ! Veuillez pardonner l’auteur pour ses digressions mais il avait envie de rire même si ça ne fait rire que sa petite personne !

Cette histoire débute un soir d’hiver, dans une ferme isolée de toute grande ville et plus précisément dans l’étable ! Mais vous allez me dire, pourquoi une étable et pas une écurie ! Et bien fait insolite, Westhy est né d’un croisement entre une vache et un mustang et cela sans éprouvette !

Du fait de ce croisement, sa jeunesse fut assez difficile ! Ses parents, son père se prénommant Ford et sa mère Azalée, ne savaient pas dans quelle école inscrire leur petit Westhy ; il n’y avait que 2 choix : soit l’inscrire dans un haras ou dans un abattoir ! Heureusement il existait une école qui rassemblait tous les animaux existants sur cette terre avec une section spéciale ; les parents n’ont jamais su me dire durant notre entretien si c’était un zoo ou un cirque.
Il se sentait bien dans cette classe car il y trouva des animaux comme lui (je le rappelle Westhy est né de parents d’origines différentes) avec par exemple Caliméro, croisement d’un canard et d’un œuf, Dolly, née d’une brebis et d’une éprouvette, Pollux , croisement entre un chien et un castor …. Je vais m’arrêter là car la liste est longue et n’oublions pas, c’est Westhy la star de cette histoire. Comme je vous l’ai dit, ce fut tout de même une période difficile car certes il était entouré de personnes comme lui mais il avait double cours car il devait apprendre à se comporter comme une vache et un cheval et lui n’avait pas le choix entre en prendre un à plein temps et l’autre en option !

Les récréations furent les moments les plus pénibles de la jeunesse de notre ami Westhy. Les vaches qui faisaient partie de la section steak (trop facile et l’auteur s’en excuse) ne voulait pas jouer avec lui. De ce fait, Westhy n’appris à brouter correctement et à faire des trous dans la couche d’ozone (jeu très populaire à l’époque mais qui fut médiatisé grâce aux bipèdes appelés Hommes) que vers l’âge de 14 ans. Il en était de même avec les chevaux de la classe de Mustang qui eux, s’amusaient à se faire des peintures de guerre et à marcher en pétant plus haut que leurs ….. fesses (petit moment d’égarement de l’auteur). Peut-être que ce fut un mal pour un bien car s’il avait appris à se maquiller, à se la péter, à tout le temps mâchouiller et à détruire la couche d’ozone, peut-être que Westhy ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui.

Les études passées, avec son bac Térie (Quel humour !!!) et son bac Haras (qu’est ce qu’il est bon cet auteur il ne se sent plus), il se mit en quête d’un travail. Voyant ses amis, Caliméro et Pollux passer à la télé, il se dit pourquoi pas lui. Au bout de 3 mois, n’ayant toujours pas trouvé de travail, il décida de s’inscrire à l’ANPAA (Agence Nationale Pour Animaux Anormaux). Cette agence, certes ne lui correspondait pas mais il fallait qu’il commence sa carrière même si c’était en bas de l’échelle.


Il fut contacté 2 jours après son inscription par le cirque Medrano. Ce nom ne lui disait rien mais c’était mieux ainsi. Il arriva pour son premier jour et fut accueillit par le directeur du cirque dont le nom importe peu car cela ne fera pas avancer l’histoire. Il lui proposa un tour unique au monde qu’aucun cheval, vache (pour la suite de l’histoire l’auteur se permettra de combiner ces 2 noms pour en faire Cheche. Il aurait pu choisir Vachal mais ça le faisait moins rire). L’homme continuait à parler à Westhy mais Westhy n’attendait qu’une chose : savoir quel était ce fameux tour ! Au bout d’une demi-heure de présentation, il sut enfin : il serait le premier Cheche à manger 1Kg de sucre en 5 minutes (et oui ça vient de là). Westhy n’a pas longtemps hésité car il avait besoin de travailler même s’il ne savait pas que son corps allait en pâtir. Après un an à jouer ce spectacle jour après jour, la morphologie de Westhy changea : Avant il avait les fesses d’un fier mustang mais toutes ces soirées à manger du sucre fit que maintenant il tenait plus de sa mère que de son père.

Fort heureusement une opportunité se présenta à lui : Intermittent du spectacle pour la télévision! Ce n’était pas le job de ses rêves mais au moins il put arrêter le sucre même si cette addiction ne le quittera jamais.

Ainsi, il commença à tourner dans la petite maison dans la prairie en tant que cheval N°6 de l’épisode N°341 de la saison 6. Mais cela ne dura que l’espace de cette épisode car sa morphologie (et oui les ravages du sucre c’est terrible !) ne lui permettait pas de bien passer à l’écran pour ce genre de séries.

Toutefois, ce ne fut que partie remise, un producteur eu la bonne idée de le faire passer aux dessins animés ! Westhy n’était pas ravi car il pensait qu’il n’aurait plus de crédibilité pour ses futurs choix en matière d’emploi mais la crise étant la, il accepta. Après différentes apparitions dans Spirit, Pocahontas, les Schtroumpfs et d’autres, il se décida à passer le casting pour être le cheval de Yakari ! Ce fut un fiasco : pour ceux qui connaissent Yakari , la morphologie de Westhy ne convenait pas pour le rôle. Il n’a même pas passé l’audition ! Ce fut un terrible coup dur pour Westhy. Une autre opportunité se présenta, être le cheval du cow-boy le plus célèbre de l’ouest car Jolly Jumper avait pris la grosse tête et avait décidé de créer sa propre série. Donc il se présenta devant Lucky Luke pour l’audition : c’était la première fois qu’on ne se moquait pas de sa morphologie car celle-ci permettait pour la première fois à Lucky Luke de prendre des vêtements de rechange. Néanmoins le problème fut le moment où LL (oui c’est son petit nom quand on va boire un verre au saloon) lui posa cette question : « qu’est ce que tu sais faire ? » ! Westhy eut pour seule réponse : « manger des susucres !». C’en était fini de la carrière de Westhy à la télé même si on peut dire qu’elle n’a jamais vraiment commencé. Westhy était au bord du gouffre, il passait ses journées à manger des susucres et à regarder les vidéos de ses gloires passées (ça pouvait être 100 fois le même épisode chaque jour : ses interventions étaient courtes car ce n’était que des rôles de figurants).

Un coup de fil allait enfin faire décoller la carrière de Westhy. Rappelez vous, il était toujours inscrit à l’ANPAA (voir ci-dessus). C’était le directeur d’INNO games qui le contacta ! Il recherchait une mascotte pour son jeu the West et le nom de Westhy l’avait fait tilté. Bien sûr un nom ne suffisait pas à être une mascotte. Le directeur avait juste 2 questions : « que pensez-vous des gens qui se plaignent tout le temps ? ». Westhy lui répondit « Dans ma classe, il y avait un garçon (enfin je crois) qui s’appelait Caliméro. Il passait son temps à dire “c’est trop inzuste, c’est trop inzuste”. Qu’est ce qu’il pouvait me saouler et j’ai trouvé 2 parades pour ce genre de personne : les ignorer ou répondre dans le vague ». Le directeur d’Inno eut un sourire en coin (oui l’auteur voit au delà du téléphone) et fut très satisfait de cette réponse. La deuxième question fut : « qu’est ce que vous savez faire ?» Et là, cette question lui rappela l’audition passée avec Lucky Luke ! Sa seule réponse fut : « heu heu meuh (toc venant de sa mère)…. Manger des susucres ! ». Westhy pensait que l’issue de cet entretien était joué et qu’il allait devoir repartir au cirque mais en fait, cette réponse a fait rire le Directeur car il y voyait une chose amusante pour les enfants. Et c’est comme ça, que notre cher Westhy, est devenu la mascotte de the West !

Ce qu’il ne savait pas, c’est que le chemin vers la gloire serait semé d'embûches entre les attaques incessantes d’un gitan, d’un prédateur, d’un lord et d’autres encore, fort heureusement il sera supporté aussi par des fans. Néanmoins, ceci est une autre histoire et cette histoire c’est vous, joueurs de The West, qui la raconterez.

Merci aux Tiwahe qui m’ont permis de trouver l’inspiration et à mes gentils correcteurs et pour la mise en forme (Eagone ,Cécééééé et le baba au rhum masqué)
 

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Œuvre 14

Par une froide nuit d’hiver, une brave jument mit bas et… Westhy est né !
Après quelques minutes, couché dans la paille à se faire lécher par sa mère, ce petit être vivant voulu se mettre debout sur ses quatre jambes.
Après quelques chutes, les gambettes vacillantes, le voila enfin debout ! Voici donc comment la vie de cette tête de mule, dont il n’avait pas que la tête, commença.

Les années passèrent, Westhy grandit et devient comme ses compères : une tondeuse à gazon ! He oui…Ses propriétaires ayant abandonné l’idée d’un jour le faire monter par des cavaliers.
« Un bon à rien » disaient-ils.

Mais un jour, v’la ti pas que cette bourrique à foncé dans les fils de sa clôture et à faire du chemin. Ses maîtres ont fait une fête lorsqu’ils ont découvert cette perte !
Les jours durant, Westhy fit son petit bonhomme de chemin. Il passa par la tour Eiffel, mais … interdite aux animaux. Il a continué son chemin jusqu’en Camargue, où il fit la rencontre d’un cheval nommé Ulysse…
Quelques semaines après il s’est retrouvé dans les arènes espagnoles…mais ce poney était tellement couillon qu’il a été viré avant d’être arrivé dans l’arène. Il remonta alors dans le nord avec l’excuse : la chaleur ne l’accommodait pas.

Le revoila donc jusqu’en Allemagne où il vit une affiche :
Cherche mascotte française,
But : aucun
Répercutions : aucunes
Valeur sur le forum : aucune
Valeur sur le jeu : aucune
Utilité : aucune

Le voila le taf parfait pour lui !
Le voila donc engagé dans cette boite, à couler des jours…normaux, dans une vie normale, accentuée d’aucune émotion, juste à montrer sa prétention sur le forum. Pour faire ça, il aurait pu rester brouter son gazon toute sa vie.
 

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Œuvre 15

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Œuvre 16

Westhy
Bien le bonjour cow-boys, arrête toi deux secondes dans cette étable, prends place dans la paille et repose toi. La vie de l’Ouest est pleine d’aventures. Je vois à ton visage que tu ne viens pas de chevaucher pour rendre visite à notre bon vieux Henri.
Ha ! Pardon l’bi-pède j’ai tellement envie de faire de nouvelles rencontres que j’oublie que tu ne te rafraichies pas à l’auge comme mes compères dans ces boxes et moi-même. Va, mais reviens s’il te plaît, j’ai tellement envie de te raconter mon passé… L’West, c’est un ensemble d’histoires, je veux savoir la tienne mon chère, mais avant, il faudra m’écouter. Ecoutez-moi vous tous dans cette étable ! Ecoutez-moi et retenez, transmettez là, pour que mon nom entre dans l’Histoire. Je suis une légende de l’Ouest !
Mais qui revoilà ! Tout de noir vêtu, excepté ses gants blancs et les boutons d’or, la lame tranchante à son flanc. Oui, c’est bien le sinistre général du fort voisin qui vient m’écouter pour la vingt-sixième fois. Je ne l’aime pas, mais c’est son droit de m’écouter. Peut-être deviendra-t-il plus raisonnable. Approchez mes amis ! Westhy va de nouveau conter son histoire !
Mon père, je ne l’ai pas connu. C’était un descendant direct de ces chevaux d’outre océan, venus sur cette terre par des amas de bois et de cordes. Des Boto, heu, bateaux, je crois. A fond de cale, enfermés derrière des barreaux, les sabots dans l’eau qui s’infiltrerait entre les planches des coques mal imperméabilisées. Débarqués avec les colons blancs sur le sable chaud, éblouis par le soleil qu’ils n’avaient pas vu depuis bien des jours. Puis harnachés à des charrettes bien trop chargées par des hommes plein de haine, sortis des prisons de leur terre d’origine s’ ils n’étaient pas de pauvres paysans venus chercher fortune.
Mon père a lui aussi tiré une charrette d’une famille ruinée par les bandits. Leurs ainés avaient été pendus devant ses parents. La pauvre femme devenue veuve. Après avoir brulé la ferme, l’une des crapules qui partait, s’était arrêtée, un seul tire de Winchester et s’en eu fait du pauvre fermier. Mon géniteur, l’une des rares bêtes épargnées, tira alors la charrette de la veuve et les trois enfants restant. L’une d’elle s’appelait Maria, l’autre Jenny, et le troisième un garçon, Eric je crois, que m’a dit ma mère.
Comment est-ce que mon père a rencontré ma mère ? Je ne sais pas vraiment. Si, je sais : les Iroquois l’ont remmené au village un beau jour. Je ne sais pas comment, il a été séparé de la famille sans marie. J’aime croire que la mère a rejoint la ville et trouvé un job au saloon. N’ayant plus besoin de leurs montures affaiblies par le voyage que personne ne voulait racheter, ils lui ont rendu sa liberté. C’est l’histoire que j’ai inventé. A propos d’histoire, la mienne commence un jour pluvieux de début Juin. La météo ne m’a pas aidé à sécher, mais le couvert des branches épineuses du douglas me fut bien utile. J’adore la forêt ! Je ne sais pas si c’est lié à ma naissance, mais c’est un amour profond. Je partage la douleur des arbres quand ils sont abattus. J’ai même peur des bucherons ! Brrr ! Ça me fait des frissons rien que d’en parler.
Mon père fut revendu aux Blancs par les Indiens, le cheval maigrichon s’était rengraissé sur les prairies indiennes et était redevenu un beau cheval de trait. Les Indiens n’en voulaient pas. Les premiers mois de ma vie furent heureux et joyeux, chaque soir j’écoutais les histoires de ma maman. C’est comme ça que je sais qui était mon père et les petites parties de sa vie. Quel bon souvenir ses soirées au chaud contre le flanc de ma maman... Mamamaaaaaan ! Ça me rend triste ces bons souvenirs, oui, je suis un peu nostalgique. Quand je repense à toutes ses galipettes dans les près, la douce saveur des baies, les baignades au milieu des saumons. Cette frayeur le jour où en sortant la tête de l’eau je me suis retrouvé face à un grizzli. Non il ne m’a rien fait, il me souriait. Faut pas croire, entre animaux on est bien veillant. Je vous l’accorde, sauf quand la faim nous tenaille.
Le village indien dans lequel j’ai grandi prospérait dans le respect de la nature, l’harmonie et le bonheur. Il vivait simplement, mais heureux. J’ai beaucoup appris de la sagesse indienne et aurais toujours du mal à comprendre vos folies pour quelques bouts de papier, quelques dollars. Retour aux sources que diable. Oui je suis assez ascète, et alors ?
Mon enfance belle et innocente prit fin un matin, à l’aube. Une nuit chaude, sans étoile, la fin de l’hiver était là. On dormait au sec, abrité du manteau de neige sous un séquoia. Le campement d’hiver était à l’abri du vent d’Ouest, derrière une petite colline peuplée de boulots, ses beaux arbres au tronc blanc et noir. On entendait les bourrasques siffler dans leurs branches jusque au village. Une large rivière gelée séparait la colline des tentes. Je me rappelle de cette nuit qui s’achevait comme si c’était hier. J’entends encore les trompettes sonner la charge, le martellement des sabots sur la neige. Je vois encore les cavaliers sortir leur sabre, reflétant les premiers rayons du soleil. Ils dévalaient une colline au nord. Ils avaient contourné les éclaireurs du village postés à l’est pour prévenir de l’avancé des colons.
Je me rappelle de ces éclats de feu qui arrachaient des éclaboussures de sang aux peaux rouges, les lames éblouissantes fendre l’air, disparaitre dans la chaire et ressortir ternies, souillées. D’horribles images pour un jeune poulain comme moi. Ma mère me sorti de mes rêveries, bouche-bée devant cette horreur sanglante et me poussa en direction du bois de boulots. Les Indiens n’avaient pas construits de ponts sur la rivière. Puisqu’elle était gelée, on s’engagea, moi le premier, poussé par ma mère, sur la glace. Ce craquement diabolique me fait encore cauchemarder aujourd’hui. Un craquement lent et progressif, comme lorsqu’un arbre est abattu. Avant de tomber, il craque, de plus en plus fort, de plus en plus fréquemment, quelques craquements, puis beaucoup de craquements au fur et à mesure de sa chute. Puis c’est le vacarme, l’écrasement des branches sur le sol. La glace craquelait sous mes sabots, craquait encore plus fort sous le galop de ma mère.
Le milieu de la rivière, la glace se fend.
Encore une foulée, la glace cède sous le poids de ma mère, et au même moment je reçois un violent coup de tête dans l’arrière train. Je glissais. Il ne restait plus que trois mètres. La glace ce déformait en craquant. Avant que je n’arrive sur la berge, mes pattes arrière se retrouvèrent dans l’eau glacée. Fort heureusement, je trouvai appuis, sorti et montai la berge. Je me retournai et vis ma mère disparaitre sous les flots. Ma Mamaaaaan !
Le gèle moins fort et les rayons du soleil avaient fait fondre l’épaisse glace. Les villageois qui n’avaient pas tenté la mortelle traversée se retrouvèrent en proie macabre par les cavaliers. J’étais le seul à avoir passé la rivière. Les tentes brulaient. Le carnage continuait. La frayeur et l’horreur me donnèrent la force de partir, de remonter la rivière jusqu’à pouvoir repasser de l’autre côté, sur la même rive que le village. Le soir même j’étais au village. Les soldats et leurs chevaux étaient partis. Les cendres fumaient encore, la neige, mélangée à la boue, était tintée de sang et de cendre. Je ne sais pas qu’elle folie m’a ramené ici, mais vous savez, quand on vient de tout perdre, on est perdu. J’étais perdu.


Perdu dans la neige, je trouvai deux corps : un Indien et un soldat. Les deux cadavres avaient saigné, et je me rappelle de cette couleur, rouge, un beau rouge, le même rouge sang entre ces deux êtres non-vivants à mes sabots. Ils avaient la même couleur de sang. Alors que j'admirais cette ressemblance frappante, des pas se rapprochèrent dans mon dos. Un jeune enfant s'était approché et me regardait, les yeux rougis par les larmes : Waupee. Agé de 8 ans, il était l'un des éclaireurs envoyés à l'est dont je vous ai parlé. Les autres avaient disparu, il était le seul.
Waupee je lui dois la vie, comme il me doit la vie. Sa présence m'a aidé à reprendre de l'avant. Je ne sais comment on a réussi à retrouver son grand père, isolé dans la forêt, on est parti sans nourriture, il ne restait plus rien. On a longuement marché dans la neige. Je ne peux pas en dire plus, c'est assez flou. Le vieil indien m'a raconté nous avoir trouvés inconscients sur le chemin, tout près de sa cabane.
Le printemps et la douce saison reviennent. J'étais sevré, même si le grand-père m'avait donné un peu de lait au début, c'était plus pour me consoler qu'autre chose.
Une année passa. Durant cette période, on a beaucoup parlé tous les trois. Je retiendrai des paroles du vieux sage que la vengeance n'apporterais jamais rien de bon, et appellerais encore à nouveau à la vengeance, un cercle vicieux. De longue veiller autour d'un feu de bois mort (ainsi, la consumation du bois ne me faisait pas de peine), avec nos discutions philosophiques. J'ai beaucoup appris de la sagesse Indienne.
Wauppe voyait bien que son grand-père avait du mal à subvenir à nos besoins, alors il prit la décision de partir.
Nous sommes partis après l'éclosion des bourgeons. J'étais un beau cheval, pas très haut, assez trapue. La robe de ma mère : des tâches beiges et blanches sur un beau marron. J'approchais de mes deux ans. On est parti pour l'aventure, je servais de bête de charge. Ha oui ! Aussi un trouble psychologique de ma part : jamais personne ne m'a « monté » ! Waupee était, et est toujours d'ailleurs, un excellent chasseur. Nous vendions les peaux à la ville sur notre passage. La belle et heureuse vie. Heureuse ? Je suis pourtant parti, j'ai laissé Waupee à un village indien, ou il s'emblait avoir retrouvé quelque chose...
Je suis parti un peu triste. J'ai vagabondé à travers le pays, broutant toute les pâtures que je rencontrais. Je suis le spécialiste de l'herbe ! Enfin... un cheval ne fume pas voyons !
J'ai retrouvé Waupee ici justement, j'étais de passage, un peu reput de mes voyage. Il m’a raconté toutes ses aventures qui l'ont poussées à suivre Henri. Ce dernier l'a sauvé de la mort : à la chasse au puma, l'animal avait été plus malin que lui... Et c'était approché sans bruit derrière mon ami... Mais le félin n'a pas eu le temps de bondir, Henri était lui aussi en chasse, et son fusil venait de chanter.
Enfin ce n'est que le résumé de cette histoire, mais voilà pourquoi Henri est aussi mon ami ! Je peux vous la conter entièrement cette histoire de chasse au puma si vous le voulez.
J'ai rencontré beaucoup d'autres sages dans mes voyages. J'ai ouï tout plein d'histoires. Je suis devenu passionné par les histoires. J'adore ! C'est comme ça que je suis devenu conteurs-philosophe, grâce à toutes ces rencontres. Bizarre pour un cheval vous dites ? Mais voyons, un cheval qui parle est-ce normal !?
 

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Œuvre 17

Westhy ? Ce nom ne vous dit peut-être rien , mais ce personnage a réellement marqué l'histoire de l'Ouest .


Les Débuts (1888-1910)

Pierre-Henry Westhy Veston de son vrai nom, est un étalon français né en banlieue Parisienne le 21 juin 1888 à l’Hôpital de la Braiserie aux alentours de St Crac (quartier mal famé de Paris à cette époque) .
Voulant goûter aux plaisirs de la jeunesse, c'est en 1901 que le jeune séducteur se lia d'amitié avec une belle et élégante jument du nom de Piétrusta Mading de Papincourt, seulement voilà, cette jument recherche la fortune et Westhy n'a à l'époque même pas les moyens de s'acheter une barre chocolaté .
En 1909 à l'âge de 21 ans, Westhy vient voir un ancien copain à lui, Olivier Jacob et ensemble, ils décident de rassembler leurs forces afin de trouver la femme de leur vie, seulement voilà, Westhy a un fort caractère, il aime les chiffres et privilégie la quantité à la qualité et souhaite donc amasser un nombre incalculable de petites amies .
Olivier n'étant pas d'accord avec cette idée et ne partageant pas les mêmes valeurs que Westhy décide alors de le défier en duel mais Olivier tomba dans un ravin après une minute de combat .
Ne sachant pas quoi faire, Westhy fait appel à son père, Hulfus Veston, qui expert en la matière lui conseilla d'aller chercher une femme à sa hauteur (physiquement) plutôt que de viser trop haut .
Westhy, vexé, se replie peu à peu sur lui même et devient donc très timide . Le jour de son anniversaire, sa mère, Elevana Veston Sirus organisa une partie de cache-cache en forêt et abandonna son fils volontairement pour mener à bien ses projets professionnels . Westhy est dépité, son seul espoir est que son père puisse encore lui donner un peu d'amour propre mais comme jamais rien ne se passe normalement dans cette famille, c'est là que les ennuis vont vraiment commencer .
Son père un peu fol-dingue décida un beau jour, de piller la maison du voisin en le menaçant de mort avec une banane . Le voisin n'ayant pas du tout apprécié décide le l'envoyer devant le tribunal et Westhy déclara que son père était bien l'auteur du crime . La sentence est irrévocable et ne se fait pas attendre, Hulfus Veston fut condamné (finalement) par son fils à la guillotine (dernière utilisation sous Louis XIV) .
Fier de lui (pour le moment) et vengeance faîte, il quitte la maison familiale à l'âge de 22 ans et devient Shériff de St Crac .

Le Héros Révélé (1910-1930)

Son rêve depuis toujours ; devenir un héros et conquérir l'amour de sa vie .
Westhy est en effet un beau rêveur et ses collègues ne manquent pas de le lui rappeler chaque jour en glissant un post-it sous sa crinière mais il en faut plus que ça pour décourager notre James Bond de l'Ouest . En 1919, un malfaiteur du quartier plus connu sous le nom de Boris Beaujolais fit son apparition, son pouvoir un peu spécial était celui d'entrer en contact avec les vaches du pré voisin pour monter une armée . Westhy publie donc un article dans la presse où il condamne violemment les actes du redoutable Boris et le ridiculise en publiant des photos où il se trouve être dans sa salle-bain, jouant avec un petit canard en plastique . Boris tente alors d'entrer en communication avec les vaches pour détruire Westhy mais elles ne furent pas intéressées et réclamèrent une augmentation de salaire pour le travail du broutage de l'herbe .
Boris très en colère, et triste d'avoir échoué, se rendit devant Westhy en octobre 1921 et se retrouva derrière les barreaux, deux jours plus tard .
Westhy est maintenant apprécié de tous c'est en 1925 qu'il obtenu une médaille pour son courage sans précédent et ses arrestations de malfaiteurs répétées .
Il devient alors millionnaire en 1930 et remporte un jeu concours en jouant aux dominos avec une alcoolique du coin .

Le Retour, L'Argent et les Femmes (1930-1937)

Tiens, quand on parle d'argent ...
Piétrusta Mading de Papincourt revient alors vers Westhy, attirée par le physique et les multiples qualités du jeune homme (oui bien sûr, on va tous le croire) .
Seulement, elle a bien changé et le physique justement de cette dame ne plaît plus à notre héros, c'est pourquoi il signe le contrat de vente et offre la femme au maire de Paris pour le remercier de lui avoir offert la médaille qu'il avait obtenu deux ans auparavant .
Que faire de cet argent ? Westhy offre la plupart de ces gains à une jeune femme à la jupe très courte du nom de Pénélope Babouche qui traînait dans le quartier à 1h40 du matin . Pénélope, touchée par ce geste, le demanda en mariage le 31 décembre 1937 . C'est le plus beau jour de sa vie, Westhy est aux anges mais quelque chose le traquasse, il a faim . Oui, faim de popularité .

Les Années Bonheurs et le Sacrée Coeur (1937-1952)

Westhy est devenu l'étalon le plus médiatisé de toute la région et prend le pouvoir en juin 1945 . Il dirige le pays et instaure une république juste qui privilégie les pauvres et les sans-abris . Il surmonte toutes les crises du pays et nomme Patrick Plus, président du conseil en 1946 . Sa popularité se fait même connaître dans tout les pays du monde entier . Westhy est devenu en quelques années ; un héros, un modèle . On édifie des statues à son image et il attire toutes les convoitises du royaume . Westhy est un artiste mais il est presque devenu un vieux croûton qui nage dans la soup'lette . En 1950, il démissione de ses fonctions et Rachid Obark prend le pouvoir . Pénélope Veston Babouche décédera en 1952 en voulant boire une gorgée d'eau fraîche .

La Fin d'une Épopée et le Début d'un Souvenir Lointain (1952-aujourd'hui)

Westhy a désormais 64 ans et éduque de jeunes étalons pour les apprendre à devenir de bons citoyens . Il écrit en 1960, un livre qui retrace sa vie mais ne connu pas un grand succès . Il sombre dans l'alcool et la drogue, c'est la faute à la crise d'adolescence qui est venu un peu trop tard (d'après lui) . Pourtant une personne croît fort en lui, Rachid Obark est un fan de Westhy . Il aide à améliorer son langage, son humour, développe ses capacités de réflexion mais Westhy est étourdi et n'aime pas travailler. Il veut profiter pleinement de sa retraite bien mérité . Rachid Obark démissionne de ses fonctions et devient pasteur en Patagonie . Westhy est seul mais se sent bien dans cette nouvelle vie, il se rappelle de tout les beaux moments qu'il a vécu et regrette ses agissements de quand il était gamin, il mène une vie paisible et écoute le doux chant des oiseaux qui règne dans cette belle nature . Finalement, en 1964 et même aujourd'hui d'ailleurs, il figure parmi les plus grands hommes de son époque .


Il est Westhy .
 
Statut
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