Aelyndra

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Un nouveau destin

Si aujourd'hui je m'éloigne de toi c'est pour un peut penser à moi !
C'est ce qui a était le plus compliqué.
Car avant de t'oublier, avant de m'en aller,
J'ai su qu'on avait plus rien à se dire.
Baisse les yeux et laisse moi partir.
Aelyndra,​

C'est de la pointe de sa plume qu'elle venait à écrire la fin de son histoire. Dernière page de son journal, ces mots y resteront gravés, abandonnés sur la table de chevet de celui qu'elle disait aimer. Sans se retourner, s'habillant de ses vêtements d'aujourd'hui. Prenant que ses objets qui lui tenait le plus à coeur. À pas de souris elle réussit à rejoindre la sortie du baraquement afin de rejoindre l'étable, là où elle me laissé. Une fois scellée, sur mon dos nous prions le chemin de son nouveau destin. Elle prit juste un instant pour se pencher à mon oreille afin de prononcer un chuchotement.

- Mélodie ! Tout droit devant ! À présent, on ne fait plus, que ce qu'il nous plait. Fini de faire des choses qui viennent à contredire les choix de notre coeur. Au galop ma belle, traçons le chemin, notre chemin !

Nous voici toutes les deux parties pour le West, alors que je n'aurai que pensé qu'elle aurait pleuré, elle préféra exprimer ses sentiments autrement.

Nous sommes les pionnières sans peur. Alors, prend garde à toi nouveau monde. Car notre foi est profonde. Dans ce lieu enchanteur, Là où les hommes de demain. Nous ferrons une légende exacte. Citant notre l'histoire pour devenir réalité, une seule vérité. Comme un mystère dévoilé. Chanteuse de la terre promise. Ce chemin qu'il reste à faire encore. Nous ne somme pas pour le voyageur qui craindra la peur. Nous allons tracer notre nouveau destin.

 

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Bienvenue à toi dans le far Ouest !


Comment nous as-tu trouvé ?

Bien à toi,

 

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Bla bla bla bla, des poèmes qui veulent rien dire et des chansons à endormir un nourrissons. Je n'ai pas ne suis pas loin de me dire que nous étions déjà arrivé. Cela ce voit que vous ne connaissez pas encore Aelyndra. Jamais elle ne sait ce qu'elle veut, jamais elle ne sait où aller. Par exemple, je me souviens le nom d'une ville où nous sommes resté plus d'une journée... Trois nuits exactement. La poudrière ! Sachant que nous avons était accueilli les bras ouverts. Hormis des messages de bienvenus aucune conversation réel n'a été faite entre l'un de ses membres et nous. En plus un homme au visage camouflé adoré venir essayer de nous provoquer en duel rien que dans le but de nous subtiliser le peut de bien que nous avions mais un beau matin après qu'Aelyndra ai écrit une lettre d'adieu à ses compagnons, nous primes le chemin mais plus à l'ouest pour nous retrouver dans une autre ville au nom de Black Bastards.

Nous sommes les pionnières sans peur. Alors, prend garde à toi nouv Non je plaisante je ne vais pas recommencer. Cela serait plutôt préférable de reprendre le début, je raconte la fin alors que le début serait plus agréable non ?

( @ Shaw : Une pub sur un autre jeu par navigateur )

 

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La fuge

Tout commence d'une simple carte ! D'ailleurs, je ne connaissais pas encore Aelyndra mais je peux vous dire que c'était encore qu'une adolescente. Enfant de boulanger dans l'une des plus grandes ville d’Europe sur une île qui abritait un port aux plus importants commerces. Elle savait déjà que son avenir ne sera pas dans la farine et le fours. Mais Aventurière, le nouveau monde était déjà découvert, les pionniers partaient tout les jours à bateau pour sa direction. Elle ne voulait que faire pareille, quitte à se faire passer pour une Irlandaise elle avait toujours dit qu'elle le ferait. Mais par chance ce n'est pas ainsi qu'elle y déposa les pieds. C'est à la rencontre d'un homme, un ermite qui venait mendier du pain. Par gentillesse elle lui en donna bien plus qu'il en avait besoin. Surpris par son geste, l'ermite sans comprendre, ne vient qu'à lui sourire sans même la remercier. Furax du comportement de l'homme qui était venu lui réclamer de l'aide et de plus la réaction de sa mère venant à la disputer qu'il ne faut pas donner" mais vendre. Vexée elle prit la porte de derrière laissant sa mère à son travail.
Adossée contre le mur, sa tête entre les jambes, elle se mit à pleurer.

Pourquoi aider le ciel si celui-ci ne t'aide pas ? Je n'ai qu'aidé, a donner à manger à celui qui a faim. Ce travail me blase de plus en plus ce n'est pas ma vie. Je commence à perdre mon courage et mes repères. Est-ce qu'un jour je réussirai à gagner ? Je pense que si on vient sonner le clairon, je m'engagerai dans l'armée afin de rejoindre ce nouveau monde. Ainsi mes parents ne me regarderons plus de haut avec mes idées stupides. Je sais que là bas dans le ciel une voix m'appelle en me disant " N'oublie pas tes idées "

Déjà à cette age, elle avait l'habitude de fuir ce qu'elle n'aimait plus ou simplement pas. Et quand tout d'un coup, comme si que ses phrases avaient été entendu ! Un maigre coup de vent, une légère brise venait à faire voler un parchemin qui vient à se déposer juste au niveau de ses pieds. son regard se déposa automatiquement sur celui-ci, elle ne réussi qu'à lire le " Le nouveau monde ". Frottant ses yeux rougis par les larmes, elle prit le parchemin avec plus d'attention que son premier coup d’œil. L'ermite passant au meme moment devant elle, sans rien dire. Aelyndra aussi rancunière qu'un écureuil a qui on aurait volé sa noisette. Elle décida de le suivre discrètement tout en rangent son parchemin soigneusement dans sa poche.