DeletedUser
Invité
Il en arrivait de partout, quelques soit la direction ou mon regard ce posait je voyais mes frères arriver. Hurons, Lakota, Sioux, Comanche, Navaro et j'en passe tous avaient te poussé par l'arrivée massive des colons blancs. Ils avaient pris des terres par la force ou la corruption.
Notre village d'Iroquois Falls était de ceux les plus éloigné et pouvait encore être épargné par cet envahissement, mais pour combien de temps ? Nos shamanes étaient très perturbés et l'avenir ne leurs apparaissait plus aussi clair qu'avant.
Je me souvient quand je courais avec mon père et qu'il m'expliquait que partout ou mon regard pouvait porter il y avait des terres libres, ou l'esprit du loup était toujours présent et il s'envolait avec le vent pour nous apprendre qu'il avait reçu l'esprit de nos plus grands guerriers. La tristesse des esprits commençait à faire place à la colère chez nos plus jeunes guerriers, ce qui inquiétaient nos anciens, qui savaient que le jours ou l'homme blanc viendrait poser sa botte chez nous il y aurait des guerres.
Mon père avait fais la guerre auprès des français, contre les anglais il avait participer à la prise de fort Duquesne. A cet époque il avait beaucoup apprit de l'homme blanc, sur ses armes et sa façon de se battre. Il savait au fond de son coeur que l'inéluctable était en marche, mais pas si vite, pas si vite.
Je étais là sur mon cheval, à scruter l'horizon attendant un signe de notre mère la terre qui pourrais me donner le courage de d'affronter le regard de mes frères qui attendaient de moi une réaction. Je n'avais en rien voulu être leur chef, mais le grand esprit m'avait poussé vers eux. Je devais prendre les bonnes décisions.
Notre village d'Iroquois Falls était de ceux les plus éloigné et pouvait encore être épargné par cet envahissement, mais pour combien de temps ? Nos shamanes étaient très perturbés et l'avenir ne leurs apparaissait plus aussi clair qu'avant.
Je me souvient quand je courais avec mon père et qu'il m'expliquait que partout ou mon regard pouvait porter il y avait des terres libres, ou l'esprit du loup était toujours présent et il s'envolait avec le vent pour nous apprendre qu'il avait reçu l'esprit de nos plus grands guerriers. La tristesse des esprits commençait à faire place à la colère chez nos plus jeunes guerriers, ce qui inquiétaient nos anciens, qui savaient que le jours ou l'homme blanc viendrait poser sa botte chez nous il y aurait des guerres.
Mon père avait fais la guerre auprès des français, contre les anglais il avait participer à la prise de fort Duquesne. A cet époque il avait beaucoup apprit de l'homme blanc, sur ses armes et sa façon de se battre. Il savait au fond de son coeur que l'inéluctable était en marche, mais pas si vite, pas si vite.
Je étais là sur mon cheval, à scruter l'horizon attendant un signe de notre mère la terre qui pourrais me donner le courage de d'affronter le regard de mes frères qui attendaient de moi une réaction. Je n'avais en rien voulu être leur chef, mais le grand esprit m'avait poussé vers eux. Je devais prendre les bonnes décisions.