La Communauté d'YSS cherche de nouveaux pacifistes et leurs défenseurs !

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Plein centre : les 11 villes de la Cité d' YSS recrutent

POST EN COURS DE MODIFICATION

Plein centre : les 12 villes de la Cité d'YSS ouvrent à nouveau leur recrutement !

YSS est une Cité industrielle et commerçante constituée de 12 villes-quartiers + 1 fort collés les uns aux autres. YSS ne cherche jamais la bagarre et la majorité de ses membres est pacifique, mais son équipe de Pacificateurs réplique à toutes les attaques et à vrai dire est très occupée. Vous nous trouverez facilement : nous œuvrons pile poil au centre du monde !

Points forts : situation géographique (centre), galerie commerciale de 37 magasins (bientôt) disponibles sans changer de ville, pas de taxe d'habitation (sauf pour ceux qui veulent devenir officiers), organisation irréprochable, grosse base de données (FAQ, guides, + informations avancées pour les officiers), forte solidarité et entre-aide, moyenne d'âge de 30 ans, fair-play correction de rigueur...

Points faibles : suite à plusieurs départs du jeu, nous manquons actuellement de combattants spécialisés (duels ou batailles de forts)

Profils recherchés
Tous les profils sont les bienvenus, quels que soient leurs niveaux. Nous recherchons cependant en priorité des combattants.
NB : La communauté est fermée aux moins de 16 ans, sauf cas particuliers ou s'ils jouent à côté d'un adulte... pas de Kevin quoi !

Demande d’invitation : contacter la Grande Prêtresse, Kyppy

Objectifs :
- Proposer une Halle de 37 magasins bien fournis et favoriser les échanges commerciaux.
- Accueillir les non-combattants qui s'y réfugient.
- Maintenir une équipe de combattants hors-pairs, en mesure de répliquer à toute attaque afin de dissuader les bandits de revenir.

Localisation :
Idéale pour les missions, les échanges, les combats et les ballades !
C’est à dire en plein centre du monde (position 501/501, visible coin haut droit C5)

Caractéristiques :
Nombre d’habitants = 44 (actuellement 31)
Nombre de places = 600 (570 libres donc !)
Nombre de joueurs actifs tous les jours = une vingtaine
Niveaux des habitants = 20 à 92
Niveau moyen = 57
Classement villes = le centre ville est classé 33ème sur 3000, bien sûr on ne peut cumuler les points des 11 autres villes
Meilleur classement XP : 14ème place sur 10 000
Meilleur classement duels : 12ème place sur 10 000
Niveaux des bâtiments : plusieurs villes achevées, reste 30% de la Cité en cours d'achèvement

Relations diplomatiques :
Partenariats militaires avec des villes du top 10 = 3
Pactes commerciaux = hors propos (37 magasins détaxés)
Pactes de non agression = 12
Possession de forts = 1 situé à proximité (pas d'autre objectif)
Protection de forts amis = nombreux

Taxe d’habitation :
Elle a été supprimée et remplacée par une taxe commerciale :

Rôle des combattants
Les Pacificateurs ou Peacemakers d’YSS disposent d'une liste noire tenue à jour et pourchassent tout bandit qui s'en prend à l’un de nos membres, quelle que soit la classe, le niveau ou la spécialité de ce dernier. Ils participent également à la défense des villes alliées et de leurs forts. Dans de rares cas les Pacificateurs sont autorisés à s’en prendre à d’autres combattants pour leur entraînement, mais ils n'ont pas le droit de s'en prendre à un joueur qui ne fait pas de duels.

Répartition démographique
YSS est constituée d'un centre ville qui, lorsque toutes les villes seront achevées (actuellement à 70%), accueillera la majeure partie des citoyens. Les 11 autres quartiers ne servent qu'à commercer, le 13ème est un Fort. A terme les meilleurs combattants seront éventuellement regroupés au sein d'une ville garnison.



Prérequis :
Partager nos idéaux de pacificateurs, respecter notre organisation et les autres joueurs (notamment s’exprimer correctement et pas de grossièretés, sauf role-play pertinent). Niveau et classe sont sans importance. Les joueurs premium sont les bienvenus mais les autres aussi ! Le temps de présence online et la progression du personnage sont secondaires : ce qui compte c’est d’avancer à son rythme, de s’entre-aider et d’avoir une vision du jeu à moyen ou long terme. Par contre nous n'acceptons pas les joueurs de moins de 16 ans (sauf accompagnés par un parent ou exception : demander en jeu à maman Kyppy).


Organisation et promotion :
Quel que soit son niveau ou sa date d’arrivée chaque citoyen qui le demande peut se voir attribuer un rôle clé dans le fonctionnement de la Cité, c’est sa motivation et le temps qu’il est prêt à y consacrer qui comptent : shérif, diplomate, recruteur, coordinateur de guerre, conseiller stratégique… Chacun de ces officiers est libre de s’entourer d’adjoints et de gérer son équipe comme il l’entend, en en référant au Conseil pour les décisions importantes.
Les décisions importantes sont prises par le Conseil des Sages qui est présidé par le ou les fondateurs. Les citoyens de la ville à jour de leurs cotisations sont régulièrement consultés, plus particulièrement les officiers. Sont nommés officiers directement par les fondateurs : les citoyens qui participent le plus activement au développement de la ville, que ce soit financièrement, en participant au forum, en jouant un rôle clé ou en défendant activement les plus faibles.

 

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L'Histoire (controversée) d'YSS

AU début

C'est en 1672 qu'un jeune homme amnésique surnommé Léri (pour une raison qui nous échappe totalement) s'installa au milieu de nulle part, dans un nouveau monde qui avait pour lui tout d'une terre promise. Travailleur, il fit sortir de terre un petit village aux ambitions pacifiques. De nature ouvert et jovial, il y développa en toute quiétude des échanges fructueux avec la population indigène et ambitionnait de faire de sa ville un centre prospère tourné vers la Culture et ouverts aux érudits du monde entier. Malheureusement son rêve se transforma rapidement en cauchemar...

"Lorsque je suis arrivé sur ces collines, au cente du Nouveau Monde, il n'y avait rien. J'ai travaillé la terre, j'ai semé, récolté, miné et forgé. Petit à petit la Cité d'YSS est sortie de terre et j'en suis devenu le Préfet. Dans le même temps une sincère amitié est née de nos relations avec les indigènes et j'ai épousé l'une des leurs qui m'a donné 3 beaux enfants. Lorsqu'un jour soldats et brigands ont envahi la contrée et en ont chassé les indiens, ma famille fut du lot de ceux qui ne survécurent.

Depuis je milite pour pacifier la région et, lorsque les paroles ne suffisent plus à faire taire la violence, lorsque je vois mes proches tomber sous les balles, je n'hésite plus à utiliser ma clé à molette pour nous défendre. C'est au nombre de ses coups que s'évalue alors le poids de la vie de mon adversaire.

J'ai ouïe dire que certains à l'est me nomment sarcastiquement "le Pacificateur de Central"... "La puanteur de l'homme blanc le précède" disait mon ami Hexebeche...

Disons qu'effectivement je suis un simple ouvrier devenu Préfet par la force des choses et que je me fais le devoir de protéger les miens, quitte de temps en temps à endosser le rôle de négociateur de vies. Je rêve en tout cas au jour où on nous laissera en paix et où mes outils ne me serviront plus qu'à ferrer les chevaux ou à réparer les locomotives.

Et comme disait ce bon vieux Publius Flavius Vegetius Renatus : Si tu veux la paix, prépare la guerre !"

Lériann, Préfet d'YSS en 1673

 

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L'Histoire (controversée) d'YSS

La Légende et les Mondes parallèles

Cependant notre brave cow-boy n'avait pas réellement conscience ni de qui il était, ni des enjeux que sa présence sur cette contrée hostile impliquait.

D'après les études réalisées depuis par le Professeur émérite alias Dr No et grâce aux découvertes archéologiques réalisées en 1913, 1988 et 2023, la présence de la congrégation des "chevaliers d'YSS" dans ces contrées remonterait en fait à plusieurs millénaires. Certains hérétiques estiment que le retour des hommes dans cette vallée désertique n'aurait fait que réveiller ces anciens guerriers devenus immortels pour une raison encore obscure.

D'après la légende, il s'agirait de chevaliers Celtes qui auraient prospéré à une époque très ancienne à l'ouest du vieux continent. Ils auraient formé une congrégation d'élite en charge de protéger la fameuse Cité d'YS, que personne n'a réellement pu situer précisément. La plus grande de toutes les Cités aurait prospéré grâce à la bienveillance d'anciens Dieux bienfaisants, mais son opulence aurait tourné à la décadence et la Cité aurait été engloutie par les eaux en guise de punition.
Dans certains récits anciens le Mal en personne serait venu reprendre les pouvoirs surnaturels qui avaient été attribuées aux chevaliers. Mais il n'aurait pas pu battre leur chef immortel et aurait été contraint de l'enfermer dans les spirales du temps où il errerait encore, amnésique, presque fou et perdu entre plusieurs mondes et époques.




"YSS la légendaire,
Cité maintes fois copiée,
jamais égalée.


Baignée dans le péché des orgies décadentes d'Ahès et engloutie par les flots, elle revint à l'aube du Troisième Monde sous la forme d'un havre de paix et de protection pour les hommes simples, les lettrés et les artistes.

L'apocalypse qui fit naître le Quatrième Monde en détruisit les fondations et les justiciers qui la défendaient renaquirent, amers et cruels de la trahison des Dieux et des Hommes.

Perdus au milieu du désert, chevaliers gris immortels et sans âme, ne distinguant ni le bien ni le mal, ils fuient ou sèment la terreur au grée du hasard et de leur folie, sans distinction, sans règle, rêves ni cauchemars."

~Écrits datés du début de l'Ère du Premier Monde, rapportés dans La Légende de Landévennec et attribués à Léria, Grande Prêtresse et Prédicatrice du Roy Gradlon IV~

 

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L'Histoire (controversée) d'YSS

Cannibalisme ou vampirisme : la théorie virale

Les rumeurs les plus folles courent sur cette congrégation qui a souvent été qualifiée de secte. En 1675 la ville qu'ils avaient fondée était l'une des plus prospères et des plus sûres du grand ouest américain, des centaines d'artistes venaient s'y donner en spectacle et des érudits du monde entier venaient consulter leur bibliothèque. Cependant il est aussi rapporté que durant l'année 1678 la ville s'est totalement vidée et que ses anciens fondateurs ne se nourrissaient plus que du sang frais et des viscères de leurs ennemis dont ils décoraient des restes les grottes qui leur servaient d'habitat. De là découlent vraisemblablement les récits les assimilant à des vampires immortels qui ont fait les beaux jours du cinéma eurasiatique de ces dernières années. On pourrait parler de récits fantaisistes s'il n'était plusieurs témoignages de tribus indiennes qui parlent de cité interdite et des rapports de l'armée : "alors que nous pourchassions ces maudits peaux-rouges, ceux-ci pris de panique se sont soudain retournés et sont venus littéralement s'embrocher sur nos armes. c'est alors que nous avons vu descendre des collines une poignée de fantômes blancs, se relevant après chacune de nos balles et décimant nos rangs dans un bain de sang. ils dévoraient nos compagnons encore vivants, arrachant leurs lambeaux de chair avec leur dents et leurs ongles. nous ne dûmes notre survie qu'à une fuite désespérée."

Les travaux les plus sérieux réalisés au 17ème siècle et menés par le Professeur Dr No parlent d'un groupe de quelques individus persuadés d'appartenir à une autre époque et d'évoluer sur plusieurs mondes parallèles. Il en a notamment décrit de façon remarquable le comportement instable et a contribué à leur pacification en démontrant qu'il s'agissait-là d'une maladie qui pouvait être traitée. Malheureusement, même si le Dr No a bel et bien existé, les seuls documents dont il serait l'auteur et qui sont en notre possession semblent être des faux, en effet qui pourrait croire, entre autres, qu'à l'époque les médecins disposaient de puces électroniques pour traiter leurs patients ! Tout porte à croire que ces documents ont été réalisés dans les années 2000 par des étudiants en médecine voulant faire un canular. Il est cependant probable qu'ils aient utilisé les originaux à ces fins.



"~Lettre d'information à l'intention de toute personne croisant le chemin de ces individus~

Attention, nous sommes ici en présence de Chevaliers gris de New YSS -MACHINE- ou du moins se prennent-ils pour tels. Nous cherchons à l'heure actuelle d'où peut bien provenir cette contagion de démences aiguës et nous avons encore peu d'informations sur l'ensemble des symptômes qu'engendre cette infection. Mais il semblerait en tout cas que les porteurs développent une résistance surprenante et dégagent une odeur pestilentielle, signe particulièrement repérable. A l'origine ils présentaient également des troubles du comportement plus prononcés, notamment des tendances psychopathiques qui les rendaient extrêmement dangereux ainsi qu'une propension à l'amnésie et au délirium trémens. Nous avons fort heureusement trouvé la parade et, après avoir reçu leur antidote quotidien, les porteurs du SCGY ou syndrome dit des Chevaliers gris d'YSS ne s'en prennent pas aux ouvriers. Mais surtout ne les contrariez pas et entrez dans leur jeu, ils resteront alors parfaitement inoffensifs. A moins bien sûr qu'ils considèrent que votre Cité est un repère ennemi... Ils semblent en effet qu'ils demeurent un peu paranoïaques et ils établissent une sorte de liste noire qu'ils traînent partout et qu'ils vénèrent comme la relique d'un Saint ...

Il faut avouer que ce traitement n'est pas toujours très fiable... Mais ne vous affolez pas : Si par malheur vous subissiez une attaque sur vos ouvriers sans défense, prévenez immédiatement celui que se prend en quelque sorte pour leur gourou : Je lui donne une double dose (il faut dire qu'il est particulièrement atteint) et ainsi j'arrive de temps en temps à lui faire entendre raison, si bien qu'il arrive même parfois qu'il ait une bonne influence sur les autres. Évidemment j'ajuste également les doses afin de reprendre au plus vite le contrôle du patient qui perd la raison. Demeure cependant un écueil majeur à notre travail, même si nous faisons notre possible pour y remédier : Nous sommes parvenus à calmer nos patients en canalisant leur haine et leurs pulsions vers ceux de leurs congénères qui demeurent calmes et relativement sédentaires (en général on les reconnaît car ils demeurent là bêtement à creuser des sortes de grottes qui leur servent d'habitat). Pour se faire nous leur avons implanté des puces de contrôle qui régulent les injections de sérum sur les malades les plus impulsifs. Malheureusement encore au stade expérimental et assez instables, ces puces se dérèglent au moindre chahut, ce qui a pour effet de rendre incontrôlables les "chevaliers gris" qui allongent alors leur fameuse liste. Pour moi cela n'a aucun sens, mais peut-être y verrez-vous quelque chose :"

Professeur Drno, expert en psychiatrie et en virologie à l'Institut National du Grand Ouest

 

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L'Histoire (controversée) d'YSS

Vers une approche plus historique et scientifique

Une théorie plus récente et éminemment scientifique a mis en exergue une toute autre possibilité. Les chevaliers d'YSS dont on a retrouvé la trace sur le nouveau continent pourraient en fait être les descendants d'une civilisation bien plus ancienne qui aurait pratiquement disparue voilà 40 millénaires, après avoir exploré la majeure partie du globe et s'être notamment installé sur le continent américain. Lointains cousins des Vascons ils auraient côtoyés les hommes de Néanderthal dont ils auraient appris les techniques chamaniques avant que ceux-ci n'emportent leurs secrets en s'éteignant. Cela pourrait expliquer leur résistance particulière et l'utilisation surprenante de techniques qui nous sont restées étrangères.

Il a également été démontré que certaines populations peuplant encore le continent américain et l'ouest du continent européen présentait un déficit en teta-granuloty H. Hors ce déficit, probablement génétique ou transmis héréditairement, pourrait expliquer une sensibilité à certains virus, dont celui décrit par le Professeur Dr No. Parallèlement à la mise en place du traitement de ce dernier on constate en tout cas à cette époque la disparition des syndromes et récits ubuesques parlant de cannibalisme, sorcellerie ou autres croyances légendes populaires.

Qu'est alors devenue cette confrérie ?
De simples et paisibles paysans qui étaient appréciés pour leur rudesse au combat lorsqu'il s'agissait de repousser les bandits !

L'historien affirme d'ailleurs avec force qu'il n'en n'a jamais été autrement. Selon lui il s'agissait simplement de pauvres colons venus du Nord de l'Europe, persécutés pour leurs différences morphologiques et culturelles. Vers la fin du 17ème siècle un trappeur dénommé Kypp aurait découvert plusieurs filons d'or et la petite communauté se serait brusquement enrichie. Toujours selon M. More, la fille de ce trappeur, devenue Maire et inquiète devant la recrudescence des attaques de bandits et des discriminations subies par sa communauté, aurait alors eu l'idée de distiller savamment aux saloons du coin d'anciennes légendes de son cru afin de tenir à distance les indiens, les bandits et les curieux...


De nombreuses études ont été menées depuis, mais à ce jour aucune n'a pu permettre de déterminer avec certitude ce qui s'est réellement déroulé au centre du nouveau monde en cette fin de 17ème siècle. Le nombre des théories élaborées, la nature indéniable des artefacts retrouvés et le caractère hors-norme de certaines conclusions ont certainement contribué à rendre l'histoire de cette ville si énigmatique. En mettant en scène les héros yssiens ressurgis du passé, le 7ème art n'a en fait que contribué à concrétiser la fantasmagorie collective suscitée par ces anciennes légendes populaires.

 

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L'Histoire (controversée) d'YSS

YSS et les géoglyphes

La célèbre archéologue péruvienne Ranalune a publié en 2010 le résultat de 10 ans de recherches dont le dernier chapitre vient une fois encore relancer la polémique autour des véritables origines de la Cité d'YSS.

"C'était par une belle journée de l'été 2010. Je travaillais dans le désert avec mon équipe sur l'interprétation des rituels associés aux géoglyphes de Nazca. Les géoglyphes sont des formes géométriques dessinées par la main de l'homme il y a de cela une vingtaine de siècles et dont on ne peut percevoir les formes que du ciel. A ce moment-là il nous semblait certain que le peuple nazca avait élaboré ces figures au cours des 1ers siècles de notre ère. Nous en étions venu à la conclusion que les glyphes avaient un lien direct avec des rituels tels que des offrandes et des sacrifices humains destinés à obtenir la clémence d'entités supérieures, notamment pour que la pluie tombe à nouveau. C'est alors que j'ai reçu un appel de la société archéologique de New Orléans dont je me souviendrai jusqu'à la fin de ma vie. Un jeune aviateur du nom de DarkSteedy venait de faire une découverte surprenante : de son petit avion il avait observé des géoglyphes à des centaines de kilomètres de la Cité des nazcas, au beau milieu du continent américain. Je m'y rendais immédiatement avec plusieurs de mes collaborateurs pour constater que ces artefacts couvraient une zone géographique bien plus étroite qu'à Nazca mais étaient plus anciens. Beaucoup plus anciens. Nous mîmes à jour une Cité gigantesque constituée de plusieurs quartiers et les fouilles nous permirent de considérer 11 quartiers apparemment bâtis en spirale. Nous n'en sommes qu'au début, il va falloir des dizaines d'années pour couvrir toute la zone. Mais le plus surprenant c'est que les vestiges les plus anciens sont datés d'avant la colonisation du continent américain par l'homme."

Le Pr. allemand M. Groomy, dont l'interprétation très controversée des géoglyphes de Nazca lui a valu de perdre sa chaire à l'Université de Bâle, a quant à lui émis une toute autre théorie quant à la forme de ces nouveaux géoglyphes :

"Toute disposition peut être d'une façon ou d'une autre considérée en spirale. Nein cela n'est pas, cela ne cadre pas. En reliant les places principales de cette ancienne Cité, on peut également représenter une sorte d'oiseau géant, peut-être l'une des divinités de l'époque mais je ne crois pas. Ach, je suis heureux de cette découverte ! Elle ouvre tant de possibilités et met à mal les théories de mes stupides confrères sur les origines de la vie sur cette planète. C'est formidable vous n'imaginez pas les perspectives. Mais je suis pressé, je dois justement me rendre sur le sites que nous avons dénommé Shadoden. Passez nous voir et je vous garantis que vous serez surpris."

 

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