[Votes] Concours de poème : On a tous une maman

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Lilouse

Retraité
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Dernière édition:

Lilouse

Retraité
Poème 1 :
A ma naissance, a mes cotés.
Toujour la pour m'epauler.
Et puis comme une carrence,
Ta simple abscence.

Trop occuper,
Tu m'a laisser tomber.
Grandir avec ce souvenir,
Le point lever pour te punir.

Chaque jour une rancoeur,
un petit être de malheur.
Mais devant toi,
Juste de la joie.

Jamais trop là,
et pourtant avec moi.
Seule face au monde,
Mais avec toi dans la ronde.

J'ai grandi, j'ai murri.
Au fil des ans,
Tu m'a suivis,
Toi, Maman.

Poème 2 :
En ce jour charmant
Un beau sentiment
Tous, ont les enfants
Petits et grands
Le pouvoir flagrant
D'avoir en ce jour grand
Même en étant parent
Un petit mot touchant
Le mien n'est pas grand
Mais je voudrais tant
En te serrant doucement
Te dire amoureusement
Je t'aime maman
Très très tendrement.

Poème 3 :
Sonnet à ma Maman​

Toi qui a fuis ton pays pour me donner la vie
Toi qui sur le bateau un jour c'est embarquée
L'océan, les tempêtes tu as tout traversé
Tu fuyais la famine et cherchais un répit.

Après la rude traversée de l'Atlantique
Tu posas le pied sur cette terre: l'Amérique.
Tu cherchas un travail mais tu n'en trouvas point
Et vers l'Ouest tu continuas ton chemin.

Et c'est là au milieu d'une plaine éventée
Couchée sur une paillasse dans un chariot bâché
C'est là en plein Far West que tu m'a accouché

Tu n'as pas survécu à cette rude épreuve
Je te chante je te loue en voici la preuve
C'est pour tout ça qu'aujourd'hui je te voue cette œuvre

Poème 4 :
Ma maman adorée,
Je t'ai tant trompé,
Toi qui m'a élevé par amour,
Sans avoir peur des vautours.

Tu es le seul être qui m'as mis au monde,
Sans toi je tournerais sans arrêt en ronde.

Alors que tu me nourris depuis mon enfance,
J'ai de la peine pour toi qui est malheureuse,
Tu dois me faire confiance,
Car grâce à mon amour tu seras heureuse.

Je te suivrais même s'il y a des obstacles,
Je te défendrais des malfrats,
Même si les barreaux me calent,
Et jamais je ne renoncerais à ça.

Maman je te le dis, j'ai toujours la foi en toi,
Et ça, jusqu'à la fin de mes jours étroit.

Poème 5 :
Maman,

Je me souviens étant petit garçon
Tout ces adorables coups de bâtons
Tant de plaisir tu avais
A me voir souffrir et saigner

O maman,

Grâce à toi mon caractère bien trempé
S'est petit à petit développé
Si tu savais comme je te hais
Comme je t'ai aimé et je t'aimerai


O maman,

Te souviens tu de ce jour,
Où tu as tué Papa par amour,
Qu'ai je bien rit,
Quand je t'ai tué avec le même fusil.

O maman,

Puisse tu enfin cesser,
Chaque jour de me hanter,
Je t'aime quand même alors repose en paix.

Poème 6 :
quand j'étais dans ton ventre

l'ouest m'était inconnu

quand je suis né dans ta douleur

l'a je t'ai reconnu

quand tu m'as pris dans tes bras

que je me suis retenu

mais quand tu m'as posé

l'ouest m'est apparu

et j'ai senti mère

ton regard jaloux de m'avoir perdu

pour une plaine inconnu

que jamais de ta vie

tu n'aurais su chérir

comme je le fais .

Poème 7 :
Triste sort

Une nuit sans lune
Le vent qui siffle la mort
L'eau qui se déchaîne
Le tonnerre qui gronde
Les loups qui hurlent
Notre Père mort au combat
Nos animaux tués par des bandis
Mes frères partis se tués
La famille ruinée
Ainsi que, ton fils
Parti également dans l'action
Revint à toi
Avec seulement une jambe
Tu me prépares la soupe?
Lui dis-je
Inconscient je suis
Nous mourrons tous
Mais , je ne mourrai
Seulement déchaîné
Par des sanglots
Et t'avoir avec moi

Poème 8 :
très chère maman,
quand tu es tombée enceinte de moi,
tes charmes, tu vendais au plus offrant,
mon papa, devant toi, est resté tout pantois!

Ta beauté légendaire,
a fait des envieuses,
qui n'ont pas su taire,
leur jalousie ravageuse.

Elles n'auraient pas du t'assassiner,
car ce jour là, la rage en moi est née.
Orpheline je suis devenue,
et depuis, la haine ne me quitte plus!

De ta beauté, j'ai hérité
et pour échapper à ta destinée,
j'ai appris à lutter,
contre vent et marée! (ou mal mariées?)

C'est grâce à mon épée,
que je coupe l'envie des dames.
Et c'est grâce à ta beauté,
que les hommes me gardent dans leur âme.

Ta mort sera vengée,
maman bien aimée.

Poème 9 :
Se retire du concours en donnant son poème.

Poème 10 :
Se retire du concours en donnant son poème.

Poème 11 :
Pourquoi je t’aime

Maman,
Je t’aime.
Dans mes moments
De solitude, tu est toujours a l’écoute
Et a disposition, c’est pour ça que je t’aime.
Tu m’aides dans mes moments de doute,
Ainsi que dans mes devoirs,
La protection et la gentillesse,
Chez toi sont des devoirs
Que tu exerce sans cesse.
Tu m’attends toujours
La nuit aussi bien que le jour,
Tu connais mes goûts mieux que quiconque
Que se soit en Cuisine ou en Littérature.
Maman, c’est pour ça que je t’aime.​

Poème 12 :
Noble femme qui comme tant d'autres,
A enfanté dans la souffrance,
Mon unique Reine

Je te bénis comme aucune autre.
C'est tout au long de mon enfance,
Par tes baisers tendres et légers,
Par tes beaux yeux, doux et divins,
Par tes caresses satinées,
Et tes sourires si cristallins
Que tu as tellement m'aimer.

Toi, la seule, l'unique que j'aime,
Je te demande, j'implore ta pitié
Pour toutes tes larmes et mes blasphèmes.
Par ton pardon au fils rebelle,
Tu seras mère et même déesse.
Et dans mon coeur, ange éternel,
Nymphe de l'amour, de la tendresse...

Poème 13 :
Pardonne-moi maman d’être venue au monde
Je n'ai pas apporté avec moi le bonheur
Les gens ne souriant pas quand ‘ai ouvert les yeux dans se monde
Maman pourquoi tu es partie quand je suis venu ?
Le jour de ma naissance fut la date de ton départ
Tu ne ma jamais tenu dans tes bras, ne serais ce qu’une fois maman
Et est-ce obligatoire de me mettre au monde ce jour d’octobre ?
Mes journées ce passe dans le noir sans toi
Voila 20 ans passés sans toi, on ma dit que le temps apaiseront mes douleurs
Mais je suis toujours cette petite fille qui attend que tu lui tresse ces cheveux
Quand je vois les mères de mes amies, je m’écroule maman
Je n’ai que de toi ces photos en noir et blanc
Elle résume ma vie sans toi
Depuis que tu ma donné la vie je n’ai cessé de penser à toi
Je t’aime maman

Poème 14 :
Ma belle cavalière

Maman est comme une belle cavalière
Ses cheveux reflètent comme de l’or
Ses mains sont trèfles à cinq feuilles
Et son doux baiser qui m’accueille
A la fraîcheur de l’eau des lacs.
Maman est comme une belle cavalière.

Maman dans la forêt c’est l’arbre
Haut de taille, lisse de tronc,
Seigneur de mes quatre saisons.
Tête rieuse et pourtant fière
Et qui fascine la lumière.
Maman, dans la forêt, c’est l’arbre.

Je suis heureux
avec mon colt
avec mon chevale
et avec ma maman.

Poème 15 :
Maman, je te dois tout ( y compris 100 dollars
Que j’ai piqués hier sous les draps du placard ).
Tu as été pour moi bien plus qu’une nourrice,
Mais un guide, un exemple, voire une initiatrice.

C’est toi qui m’a offert pour mon anniversaire
Le Colt 45 qu’avait laissé mon père.
Je n’avais que trois ans, j’étais encore chétif,
Mais il m’a bien servi pour avoir ce shérif !

C’est toi aussi, bien sûr, qui pour mes quatorze ans
M’a amené en ville, à l’Antre de Satan,
Et qui m’a présenté à tes vieilles amies
Pour qu’elles fassent de moi un jeune homme accompli.

Tu n’as pas hésité à montrer par toi-même
Combien les lendemains de cuite peuvent être blêmes.
Ton whisky frelaté qui fait tomber les dents,
Tu m’as bien enseigné tout ce qu’il y a dedans.

Oui, tu m’as tout appris, la bagarre, les jurons,
Comment d’une seule main dompter un étalon,
Affronter un grizzly juste avec un couteau,
Vivre toute une vie sans boire une goutte d’eau.

Tu me manques, Maman, j’ai un coup de cafard
En ce dixième été qui suit ton grand départ….

Mais demain nous ferons grand’fête à la maison,
Pour fêter dignement ta sortie de prison.

Poème 16 :
Ma mère, ce héros... quoi !


Ce siècle avait dix ans, au pays du grand Lee !
Jeté comme la graine au gré de la prairie,
Naquit d'un sang indien et bien pâle à la fois
Un petit iroquois: je crois bien que c'était moi !

Un peau rouge long et maigre, un frêle tout petit,
Qui commença sa vie tout au fond d'un teepee,
Bercè par les chants doux d'une squaw merveilleuse
Qui seule l'éleva, qu'elle était courageuse !

Aux attaques de Custer elle avait résisté,
Mais point aux beaux yeux bleus du soldat tentateur
Qui oublia bien vite cette femme étrangère,
Pour aller épouser une blanche lingère.

Bannie par les Indiens, rejetée par les Blancs,
C'est loin dans le désert qu'elle bâtit son campement.
Et moi petit enfant j'appris à y survivre,
A y trouver mes armes et dénicher mes vivres.

Mère m'a tout appris, tout donné, tout transmis,
La noblesse de nos pères, et leur sagesse aussi.
Ce fut un déchirement lorsqu'elle m'ordonna :
Va, quitte-moi, suis ce convoi qu'on voit là-bas !

Saisis ta chance mon petit, pars loin ! Fais vite !
Il est venu le temps où soldat tu seras.
Voici le sabre de ton père et pour nos rites
A Tatanka, herbes sacrées tu fumeras.

Ta mère mourante plus jamais ne reverras !
Je l'ai regardée et serrée fort dans mes bras.
Puis j'ai rejoint la file qui suivait les soldats,
Gagné la ville... et c'est comme ça que me voilà !

Poème 17 :
The far west's mum

Elle est si belle ma maman,

Si belle en orpaillant,

Si douée en marchandant,

Mais il y a plein de brigands

Qui lui veulent tout son argent.

Elle est grâcieuse à cheval,

La montagne elle dévale,

Aussi vite que tire le Marshall,

Elle suit les ordres du général.

Avant les batailles,

Elle herbage le bétail.

Avec son deringer De Belle star,

Elle tire et touche toujours au hasard

Toutes ces bandes de flemmards.

Au far west eh bien,c'est elle la best!

Après avoir conquis tout l'ouest,

Elle n'oublie jamais,

Le soir de m'embrasser.

Poème 18 :
Elle était très belle, à l'aube de ma vie,
Trouvé parmi les loups, égaré, apeuré.
A jamais, elle m'a grandi, appris et compris.
Avec tous ces colons, patient je suis resté,
Il le fallait, tant que je les voyais tuer.
Dame Nature, elle, n'oublierait jamais ça.
Elle le savait, Mam, ce qui allait arriver.
Et quand au vent le loup à la mort hurlera,
Que les bisons ensemble se rendront au Nord,
Les aigles couvriront le ciel de leurs grands cris,
Et l'eau, limpide, profonde de son lit mort.
Garuda, le messager sauvage et meurtri,
Envoyé par Mam la sage, fière et têtue.
L'apocalypse annoncé par l'oiseau géant,
Nous éblouira d'une couleur inconnue,
Noyant tous les fourbes colons dans le néant.
Et quand ses yeux fermés, la dernière scène,
Au loin, son sourire me semblait le même.
Elle n'était pas ma vraie mère, cette Indienne,
Mais c'était la seule à me dire « je t'aime ».

Poème 19 :
La mère morte

J'arrivais à trois ans, tout droit venu d'Irlande,
Trainé par mes parents qui croyaient aux légendes.
Maman était belle, papa était rouquin,
Rêvaient d'une parcelle où dresser des bourrins.

La sol était aride, aussi sec qu'un désert,
Le corral était vide excepté les vipères.
'Pa mourut d'avoir bu beaucoup trop d'eau croupie
Maman alors voulu m'élever au Whisky.

Nous déménageâmes, maman faisait des passes
Dans le bouge infâme d'une ville au Texas.
J'ingurgitais toujours whisky quotidien
En m'entrainant le jour à tirer des deux mains.

Je devins donc un homme et ma mère une loque,
Couchant pour quelques pommes avec jeunes ou vioques
Alors je la tuais d'un tir en pleine tête
Tandis qu'elle bossait pour gagner des pépettes.

Pour ta fête maman, je voulais exprimer
Mon regret pour l'enfant que n'ai pas pu rester,
Au final il me reste amour immodéré
Pour les tirs dans la tête et les whiskys tourbés.

Au fond de ton caveau cruel destin fatal,
Je crache sur ton cerveau par le trou de ma balle
C'est ta fête ce jour je bois au désespoir
Des radasses des bourgs et des enfants bâtards.

Poème 20 :
A Mère Absence,

La balle s’est logée dans mon cœur,
Cette fois, j’ai perdu mon duel,
Je suis pris d'une violente douleur,
Mais mes pensées se tournent vers elle.

Tu arrives rapidement jolie lueur,
Tes longs cheveux ébène m’enlacent,
Comme un linceul tout en douceur,
Je me sens bien et je fais face.

Je suis à terre mais tu es là,
Ton regard profond m’apaise,
Même si je ne le connais pas,
Je le découvre et mes sens se taisent,

Mes souvenirs défilent rapidement,
Mais c’est toi que je vois,
Que tu es belle Maman,
Et mon coeur se rempli de joie,

Rattrapons les années perdues,
Les moments tendres tant rêvés,
Cette jeunesse que je n’ai pas eue,
Dans ce Far West qui m’a brisé,

Nous sommes enfin réunis,
Et nous allons en profiter,
Je suis mort aujourd’hui,
Pourtant je n’ai aucun regret,

A jamais avec toi.

Poème 21 :
Maman.

Maintes fois le vent me parla lentement,
Des larmes me racontant.
Celles que tu versais pour moi par delà les toits,
D'un triste moment.

Ma chère mère, mon adorée,
Maman.

Ce printemps n'en finit pas et depuis deux ans déjà,
Je t'ai quittée.
L'ombre d'un sanglot, qui se perd dans le flot,
D'une âme torturée.

Ma chère mère, mon adorée,
Ma muse, mon brin d'été,
Maman.

Si le cruel destin ne m'avait pas tué ce matin,
Je te serai revenu.
Mais "si" ne change rien et crier dans le lointain,
N'est que peine perdue.

Ma chère mère, mon adorée,
Ma muse, mon brin d'été,
Je suis désolé.
Maman.

Poème 22 :
face au vent et a l hiver
ton doux nom me rend moi amère
face au dessert de l enfer.
ta penser me rend de fer.

face au fracas des armes
je n ais pas oublier t es multiples charmes.
face au vol des vautours
tu as sur me donner tellement d amour.

chaque batiment
je les construits telle des monuments
a la gloire de tout t es sentiments
pour toi maman

maintenant et pour longtemps
dans les tempêtes et les instant de fêtes
tu es toujours dans ma tête
et je part toujours gagnant grâce a toi ma maman.

Poème 23 :
ma petite maman
sur mon cheval blanc
qui galope dans le vent
je reviendrais maman
je part affronter
tous nos ennemies jurer
que rien ne pourras m'arrêter
il t'ont attaquer
alors je vais te venger
je connais la torture des roches
et la chaleur torride de ,notre pays the west
mais quand je serais là
tu ouvriras grand tes bras
nous ne nous séparerons plus jamais
tant que je serais le roi du pistolet

Poème 24 :
Ma mère qui ma tant donner, qui ma nourris,
A toi je dédicace, ce merveilleux poème.

Mon idole c'est toi, tu le seras à vie .
Attentionnée par nature, je sais que tu m'aime .
Même dans les moment les plus dur , tu est là,
Avec moi . Un jour tu me dis qu'on ira
Non loin des montagne rocheuse , a l'ouest .

Partir de chez nous , pour voyager avec toi
Redécouvrir un nouveau lieu , un beau chez soit .
Entre temps la mort te rappela a l'est,
Faute d'autre comme toi je retourna avec toi .
Enfermée dans ta tombe je te vit une dernière fois .
Retourner sans toi, dans l'ouest sauvage,
En tenant une belle rose, fut délicat.

Poème 25 :
Abandonnée

Maman pourquoi m'as-tu abandonnée
A ces nuits qui ont envahi mon esprit
Maman je suis restée complètement sonnée
Aujourd'hui je n'ai plus d'envie jamais je ne ris
Ne savais-tu pas que passeraient les années

Passent les années passent passent mais ne me calment
Où est ma maman de l'Ouest cette si grande Dame
Un jour elle est partie je ne sais où elle est passée
Rebuts et chacals de l'Ouest ont voulu la remplacer
Quels rêves ai-je faits endurés frémissant sur cette femme
Une femme inconnue une femme aimée dans mes drames
Ou mes cauchemars d'une mère aimée détestée qui revenait
Inoubliable visage chevelure éternelle m'ont abandonnée

M'ont sonnée carapaçonnée contusionnée empoisonnée abandonnée
'
Avide d'émotions avide de sensations je parcours le West
Séduite par les femmes dérivant écrivant des palimpsestes

Tu crois que je hurle ma douleur que je pleure mon malheur
Un quarter horse un colt en or des duels batailles sont mon seul bonheur

A ce jour de fête des mères je pense à celle qui m'a abandonnée
Battue par les vents de sable dans l'arizona je cherche son visage
Aperçu dans le ciel une forme d'un nuage un sourire une courbe un nez
Nébuleuse étoile lointaine dans la nuit calme ma haine module ma rage
Dis-moi pourquoi es-tu partie pourquoi quitter ce monde vallonné
Où tu étais reine tu étais belle tu étais mienne tu étais mère attentionnée
Ne me dis pas que c'est le destin que par la vie mon chemin était conditionné
Ne me dis pas mais si tu me disais si tu me parlais tu serais là devant ma page
Et tu ne serais pas partie disparue devenue sable et tempête en mon coeur emprisonnée
Et tu ne serais pas morte de cette balle maudite qui t'a emportée qui m'a abandonnée

?

Poème 26 :
Ode à ma maman


A la lueur des flammes
Brillent mes larmes
Tombées pour toi, maman.

Te voir ainsi étendue
Au milieu de cette rue
ça m'a fait mal, maman.

Meilleure gâchette de l'Ouest
Tu m'as enseigné tes gestes
Personne plus rapide que toi, maman.

De banque en banque
De ville en ville
Ta réputation te précédait, maman.

Avec eux tellement terrifiante
Pour moi merveilleusement aimante
Tu es mon modèle, maman.

Alors qu'il t’emmène le croque-mort
Je promet de m'entrainer jusqu'à la mort
Pour toi, pour te montrer que je t'aime maman.

Poème 27 :
Ce poème vient d’être disqualifié pour ne pas avoir respecté l’anonymat de l'auteur.

Poème 28 :
Ce poème vient d’être disqualifié pour ne pas avoir respecté l’anonymat de l'auteur.

Poème 29 :
Du sable fin, du vent et de la poussière,
Ce n'est pas tout cela, que je veux te laisser,
Mieux que certaines notes de guitare accordée,
C'est avec un poème que je tente donner l'air,

Car voila mes nouvelles, par quelques alexandrins,
La plaine est sûre ici, ne t’inquiètes pas pour moi,
Gros bisons gambadent et lapins les côtoient,
Comme cet endroit doux où l'on partait en juin...

Et je prie chaque jour, comme tu l'as enseigné,
Juste avant d'agrandir les échoppes du quartier,
Cela afin de vendre certains objets précieux,
Car "nobles" et pour les sets attirent les envieux.

Waupee va bien maman, trop au bar à mon goût,
Tout le monde a ses vices, je le dis sans dégoût,
Le mien est l'aventure, ce qui n'empêche guère,
De souhaiter une bonne fête, à la meilleure des mères.

Poème 30 :
Ce poème vient d’être disqualifié pour avoir copier en partie des textes existants.

Poème 31 :
Ma disparue

Arizona, ton nom me rappelle à d’autres temps
Aidée par une flasque de vieux mezcal vidée d’un trait,
Je me laisse aller à de sentiments, ma regrettée…
Je ne saurais les refouler… Tu me manques tell’ment…

La quête de l’or m’a enfiévrée, mêm’ désorientée !
Alors je pense à toi, et tout m’parait plus rassurant
Depuis je n’ai de cesse de te chercher, loin devant
Un signe, un mirage qui ne serait pas un reflet…

Sur le dos de mon canasson, je parcours l’ouest sauvage
Las d’être orphelin, j’reviens, finis les enfantillages…
Mais quelle direction prendre, sans faire le tour de la Terre ?

Perdu dans le désert, mes sacoches bien lestées d’or
N’ont pas fait long feu face aux truands, brigands et consorts.
J’aurais pu y rester… sans la revoir…, ma terre mère.

Poème 32 :
Toi, qui est ma mére, qui m'a aidé dans la vie,
toi qui a risquer la tienne pour sauver ma vie lorsque les dangers,
dans l'ouest mortel, faisait rages pendant le douloureux orage.

Tu m'a donné vie, un jour d'été chaud,
dans une ferme et tu m'a nourri de la nourriture la plus seine,
te réservant la moins bonne, tu fit de grand effort pour moi.

Tu n'a pas reçu les 3 autre lignes que je t'ai envoyé ?
Tu m'as éduqué dans les meilleurs écoles que tu trouva,
lorsque la guerre fit rage en notre pays bien joli,
tu ne m'abandonna pas, pour quoi que ce soit,
mais toi qui en un sombre jour,
fut tuer pour un crime que tu n'avais pas commit, je te l'avais promi,
vengence sera faites...

J'en ai fait le serment sur ta tombe,
Je tuerai, je tuerai pour toi,
Je tuerai pour venget ta mort.

Poème 33 :
MAMAN CHERIE

Maman chérie tu es partie
Dans la nuit tu t'es endormie
A jamais tu m'a quittée
Orpheline tu m'as laissée
Perdue je suis restée

Tel le coyotte, mon coeur hurle
Dans le désert, il brûle
Sentir la caresse de ta douce peau
Comme un voyageur assoiffé en quête d'eau
Retrouver ton odeur et tes baisers
un souvenir brasier

Tu t'es envolée
Au pays des fées
Paix à ton âme
Madame la grande dame
A la grandeur d'âme.

Poème 34 :
Pour ma pépite d’or.


Tu tes souvent donner du mal,
A pouvoir me nourrir,
Tu as orpailler des rivières,
En plein milieu du far-west.

Tu t’es fatiguées,
Jusqu à en pleurer,
Mais moi je suis la,
Pour te consoler.

Tu m’as appris la vie,
Je t’en remercie,
A toi de te reposer,
De toi je vais m’occuper.

Je vais chercher de l’or,
Tant pis si je n’en trouve pas,
Car tu es de très loin,
La plus belle des pépites.

Tu es mon bonheur,
Que je garde dans mon cœur,
En cette fête des mères,
Je te dis maman je t’aime.

A vos votes !
 
Dernière édition:

DeletedUser2020

Invité
A voté :cool:

ils sont franchement tous beaux le choix fut plus que difficile pour n en voter que 3 ,toutes mes ficelles d'installation a tous les participants :confused:e je voulais dire toutes mes félicitations aux participants pour ce beau travail :D
 

DeletedUser13479

Invité
Tout ces poémes sont magnifique.
Il est possible de n'en choisir qu'un ?
 

DeletedUser

Invité
Il y en a un qui est un "fake" dont une grande partie est largement "inspirée" (copié-collé) :p du code Jedi !

On peut le lire ici

Notamment on comparera le poème avec les éléments suivants, je cite:

Tu es né du cœur de ta mère et de la Force, de l'amour d'un monde qui, l'espace d'un éclair, fusionnait.
Tu as grandi, à travers le blé et l'eau. Tu as grandi, à travers les yeux du bien qui t'a donné la vie. Tu as ainsi gravi la douce pente de l'enfance, arrivant à quelques cols. L'adolescence, tu as surplombé à présent.


Puis:

Tu vis la Force dans un monde plein d'aigreurs. Tu pries et remercies la Force de t'insuffler, à chacune de tes inspirations, un doux parfum de vie. Tu la remercie de te donner l'existence et de t'aider à rendre le monde meilleur en retour.

Tu as vécu dans une terre bleue, blanche et rouge. Bleue de beauté, blanche de pureté, rouge de souillures de sang. Tu as vécu ton enfance dans une insouciance bercée de libertés. Tu as pu berner la vie, et continuer dans l'adolescence toi aussi. Pas de Dieu dans ton cœur, mais la Force dans ta culture, une vie en corrélation à une humanité spirituelle. Au fil des années, la Force en toi était telle que tu es devenu "Maître Jedi".


Le reste du poème provient d'une autre source que je n'ai pas encore déterminée mais ça ne devrait pas être trop sorcier :D

Je demande à ce que ce poème ne concourre plus, puisqu'il ne respecte pas les règles du challenge.
 

DeletedUser

Invité
heu ouais bah cet qu'elle poeme ???




perso j'ai pas trop le temp de lire les poeme mais les 2,3 que j'ai lu sont vraiment tres bien dommage que tous non pas pour themes le far west :(
 

DeletedUser

Invité
Que de beaux poèmes (pour moi le 5 , le 10 et le 16 m'ont le plus inspirés)

Mais alors l'auteur du 5 , boudiou... tu m'as fait rire même si ça devait être triste... j'étais le sourire aux lèvres tellement l'originalité était bien trouvée.

Pour le reste, pas mal de poèmes peu travaillés, comme le premier qui a de nombreux votes mais qui , au final , et triste à lire à cause de ses moult fautes d'orthographe. J'ai pas voulu poursuivre la lecture de celui du coup :(

Merci chers écrivains, un agréablement moment à en lire certains :)
 

Lilouse

Retraité
Bonjour

Voter 28 :D Merci :)

Je rappel que les poèmes sont anonyme et que vous devez respecter cette anonyma sous peine de disqualification. Nephthys tu es donc disqualifié.

Il y en a un qui est un "fake" dont une grande partie est largement "inspirée" (copié-collé) :p du code Jedi !

On peut le lire ici

Notamment on comparera le poème avec les éléments suivants, je cite:

Tu es né du cœur de ta mère et de la Force, de l'amour d'un monde qui, l'espace d'un éclair, fusionnait.
Tu as grandi, à travers le blé et l'eau. Tu as grandi, à travers les yeux du bien qui t'a donné la vie. Tu as ainsi gravi la douce pente de l'enfance, arrivant à quelques cols. L'adolescence, tu as surplombé à présent.


Puis:

Tu vis la Force dans un monde plein d'aigreurs. Tu pries et remercies la Force de t'insuffler, à chacune de tes inspirations, un doux parfum de vie. Tu la remercie de te donner l'existence et de t'aider à rendre le monde meilleur en retour.

Tu as vécu dans une terre bleue, blanche et rouge. Bleue de beauté, blanche de pureté, rouge de souillures de sang. Tu as vécu ton enfance dans une insouciance bercée de libertés. Tu as pu berner la vie, et continuer dans l'adolescence toi aussi. Pas de Dieu dans ton cœur, mais la Force dans ta culture, une vie en corrélation à une humanité spirituelle. Au fil des années, la Force en toi était telle que tu es devenu "Maître Jedi".


Le reste du poème provient d'une autre source que je n'ai pas encore déterminée mais ça ne devrait pas être trop sorcier :D

Je demande à ce que ce poème ne concourre plus, puisqu'il ne respecte pas les règles du challenge.

En effet, je ne l'avais pas repéré, ce poème est donc éliminé de la compétition.

Les poèmes 28 et 30 sont donc retiré du vote.
 

DeletedUser

Invité
L'autre source du poème 30 est:

Ici

Le poème entier est donc un plagiat !

:D
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser12718

Invité
bon, je prend mon temps pour tous les lire car lire 32 poèmes a la suite ne me permet pas de les apprécier tous a leur juste valeur, difficile donc ensuite de faire un choix !

J'avoue aussi que j'aurai du aussi faire de la promotion a droite et a gauche ^^
Là je vois déjà une cuisante défaite ^^
De très beaux poèmes en concurrence pour le moment , j'en suis au 9 :)
 

DeletedUser

Invité
Si beaucoup de poèmes se valent, le n°15 est pour moi largement au-dessus de ses concurrents. Tout y est: Originalité, humour, fluidité et absence de fautes d'orthographe !!!

Bravo à son auteur, en espérant que la victoire soit au bout !
 

DeletedUser10480

Invité
J'ai voté.

C'est vraiment difficile de faire un choix.

Il y a beaucoup de participation !
Comme quoi le concours de poème, ça marche bien.
Ou peut-être le prix à remporter a mobilisé tout le monde ?


PS : pour ceux qui ne lisent pas TOUS les poèmes, ayez la décence de ne pas voter s'il vous plait.
Par respect pour ceux qui les ont écrit, et qui ont la malchance d'être 29 ou 32° ! lol
Faudrait pas que le n°1 soit élu parce que la moitié des lecteurs s'arrêtent de lire au numéro 3 LOL

Allez, bonne chance à tous !
 

DeletedUser10862

Invité
Très dur choix les poemes sont tous beaux félicitations au participants!!!:)
 

DeletedUser13028

Invité
Bien sûr !
Tu croit que j'ai voté pour d'autre, tu m'connait pas !! :D
 
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