DeletedUser
Invité
La journée avait pourtant bien commence, le soleil était au rendez vous, les cris d'enfants jaillissaient des tipies plantes un peu partout sur cette plaine encore verdâtre.
Une jeune femme, sortit de son habitat une silhouette svelte revêtit d'une longue tunique perlée, qu'elle avait elle même confectionnée,un art qui se transmet de mère en fille.
Sacagawea, devant son tipi fit quelque pas puis ramassa le premier bout de bois qui se présenta a elle.
Elle le glissa entre ses dents et releva sa longue chevelure noire, prit délicatement le bâton d'une main et le glissa a travers le chignon qu'elle venait de former.
Quelle belle journee qui s'annonce la...
Sur ce mots elle prit une peau de bison qu'elle posa sur son epaule, un bout de boyaux sec puis parti a la recherche de bois.
Elle avait ses petites habitudes et savait avec exactitude ou se ravitailler .
Il lui fallu parcourir quelque kilomètre pour atteindre la quantite de bois necessaire a la journee.
Elle posa a terre le boyau , le recouvrit de la peau en cuir puis fit un amas des batons qu'elle avait ramasses un par un; elle recouvrit ces derniers avant de nouez le tout .
Sacagawea se relava, les deux mains sur son butin et porta la tout sur son dos.
Sur le chemin du retour, elle decida de longer la riviere,afin de saluer ses amies qui a cette heure ci etait a la lessive.
Le feu puis la lessive, puis le repas...arf une longue journee qui s'annonce
Au loin elle pu apercevoir le lavoir improvise des femmes du campements, Sacagawea pressa le pas, elle avait hate de montrer sa dernière création, une ceinture de peau de cerf, brodee de belles perles turquoises.
La jeune femme approchant du lavoir, fronça les sourcils, seul le silence régnait, pas un mot, pas un seul eclat de rire ne parvient a ses oreilles...
Ou sont elles bien passees ?
Cela ne faisait pas parti des habitudes du village.
Elle essaya de se rassurer autant qu'elle pu , plus elle s'approchait du campement, plus le silence se faisait maitre.
Elle lacha son fardeau, puis se mit a courir encore et encore, aussi vite que ces jambes purent la porter.
Elle poussa un hurlement quand a l'entree du campement elle vit au sol les corps des siens, ses amis, ses compagnons, ses cousins...tous inanimes,recouverts de sang.
Fébrile elle se hâta vers le tipi de ses parents.
Il n'en restait plus que des lambeaux,tout avait brule, il ne restait rien, plus rien de ce village qui quelque heure auparavant vivait, rayonnait de joie.
Sacagawea se laissa tomber a terre, a genoux, elle porta les mains sur la terre, qu'elle griffa aussi profond que la douleur qui l'envahissait.
Nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnn, mais qu'est ce que l'on vous a fait pour mériter un tel châtiment!!
Ce fut les dernieres paroles de la jeune femme avant de perdre connaissance , entouree de ces corps qui eux n'avaient plus signe de vie.
Une jeune femme, sortit de son habitat une silhouette svelte revêtit d'une longue tunique perlée, qu'elle avait elle même confectionnée,un art qui se transmet de mère en fille.
Sacagawea, devant son tipi fit quelque pas puis ramassa le premier bout de bois qui se présenta a elle.
Elle le glissa entre ses dents et releva sa longue chevelure noire, prit délicatement le bâton d'une main et le glissa a travers le chignon qu'elle venait de former.
Quelle belle journee qui s'annonce la...
Sur ce mots elle prit une peau de bison qu'elle posa sur son epaule, un bout de boyaux sec puis parti a la recherche de bois.
Elle avait ses petites habitudes et savait avec exactitude ou se ravitailler .
Il lui fallu parcourir quelque kilomètre pour atteindre la quantite de bois necessaire a la journee.
Elle posa a terre le boyau , le recouvrit de la peau en cuir puis fit un amas des batons qu'elle avait ramasses un par un; elle recouvrit ces derniers avant de nouez le tout .
Sacagawea se relava, les deux mains sur son butin et porta la tout sur son dos.
Sur le chemin du retour, elle decida de longer la riviere,afin de saluer ses amies qui a cette heure ci etait a la lessive.
Le feu puis la lessive, puis le repas...arf une longue journee qui s'annonce
Au loin elle pu apercevoir le lavoir improvise des femmes du campements, Sacagawea pressa le pas, elle avait hate de montrer sa dernière création, une ceinture de peau de cerf, brodee de belles perles turquoises.
La jeune femme approchant du lavoir, fronça les sourcils, seul le silence régnait, pas un mot, pas un seul eclat de rire ne parvient a ses oreilles...
Ou sont elles bien passees ?
Cela ne faisait pas parti des habitudes du village.
Elle essaya de se rassurer autant qu'elle pu , plus elle s'approchait du campement, plus le silence se faisait maitre.
Elle lacha son fardeau, puis se mit a courir encore et encore, aussi vite que ces jambes purent la porter.
Elle poussa un hurlement quand a l'entree du campement elle vit au sol les corps des siens, ses amis, ses compagnons, ses cousins...tous inanimes,recouverts de sang.
Fébrile elle se hâta vers le tipi de ses parents.
Il n'en restait plus que des lambeaux,tout avait brule, il ne restait rien, plus rien de ce village qui quelque heure auparavant vivait, rayonnait de joie.
Sacagawea se laissa tomber a terre, a genoux, elle porta les mains sur la terre, qu'elle griffa aussi profond que la douleur qui l'envahissait.
Nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnn, mais qu'est ce que l'on vous a fait pour mériter un tel châtiment!!
Ce fut les dernieres paroles de la jeune femme avant de perdre connaissance , entouree de ces corps qui eux n'avaient plus signe de vie.
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