DeletedUser
Invité
HRP/ Ce topic est réservé aux deux joueurs dont les personnages évolueront sous vos yeux. Si vous avez une idée géniale et souhaitez vous intégrer au rp, veuillez en faire part par MP à l'un des deux joueurs avant de vous lancer. Mais sachez que nous ne tolérons aucun flood... et aucun rp ne respectant pas les règles de base qui est.
- Plus qu'un paragraphe ou minimum 15 lignes.
- Le moins de fautes d'orthographe possible... personne n'est parfait mais on peut s'améliorer..
- une idée claire et développée.
- en aucun cas... faire évoluer le personnage d'une autre joueur sans son accord.
Amusez-vous !/HRP
Immergée jusqu’aux hanches… l’onde venant lui caresser la peau tendre du ventre… elle profitait de cette douce sensation les yeux fermés.
Hummmmmmm murmura-t-elle
Les rayons du soleil la réchauffaient… et un petit sourire se dessina sur son visage. Le silence bruyant de la nature l’aidait à être en harmonie avec elle-même… s’imprégnant de l’espace… de l’énergie de ce qui l’entourait. Elle prit une profonde inspiration et glissa doucement ses doigts entre ses longs cheveux noirs afin d’y déloger le sable et la poussière qui s’y trouvaient toujours. Elle ouvrit les yeux et baisa son regard à la surface de l’eau afin de se rassurer sur ce qu’elle projetait. La jeune femme sourit alors franchement à sa vision. Dans quelques heures... elle allait être chez elle. Ozalee était de retour à la maison.
Hortense avait quitté sa famille il y avait plus de trente-six lunes. Elle avait bien changé depuis. Son corps s’était sculpté suite à ses longues journées à errer à travers les plaines de l’Ouest à pied et ensuite à dos de cheval. Elle adorait courir l’aventure, travaillant pour le plus offrant… et être libre comme l’air. L’air... cet esprit si près d’elle… son protecteur… l’accompagnant là où elle était… lui frôlant la peau à cette instant précis. Elle le savait toujours à ses cotés… dans sa longue chevelure lorsqu’elle était au galop… dans la brise auprès du feu… dans la tempête lorsqu’elle se devait d’être prudente.
Elle sortait à peine de l’enfance lorsqu’un matin… elle décida de quitter son clan. Elle avait choisi de rejoindre les grands espaces au lieu d’unir sa destinée à un homme d’une tribu voisine. Comment pouvait elle se confiner à tanner des peaux… à cuire la banique… à tresser des paniers alors qu’elle pouvait voir loin… faire corps avec un cheval … surmonter des dangers en tentant de regrouper un troupeau de bisons. Elle avait donc embrasser son père et sa mère… leur avait promis d’être toujours en lien avec eux par le biais du grand manitou et était partie.
Un matin pas si lointain… le matin de ses 20 étés… elle avait décidé de revenir vers le lieu de sa naissance. Ainsi ... dans quelques heures… elle allait prendre entre ses bras ses parents qui lui avaient tant manqué.
Elle approchait… elle le sentait. Tout ces sens lui rappelaient ces moments d’enfance. Une butte ici… un pic de rochers là… elle longeait la rivière sachant très bien que le village devait être plus très loin…. Derrière le monticule… là... oui. Même si elle avait appris au fils des années à maîtriser son tempérament… elle ne pu s’empêcher de courir vers ce lieu tant aimé. Elle approchait... trois pas… deux pas... un pas... et voila… au sommet du mont… en baissant le regard... il sera là… ce village tant aimé.
Soudain… Hortense senti un vertige… son cerveau n’arrivait pas à réaliser ce qu’il voyait. Au lieu de longues houses et de feux de camp... elle y voyait des bâtiments de bois et une chapelle… une ville d’hommes blancs.
Comment ai-je pu me tromper à ce point?
Paniquée... déboussolée… elle chercha rapidement de son regard des indices qui allaient lui démontrer qu’elle n’était pas au bon endroit… mais non… tout était bien là… mais son village … lui… n’était plus. Du moins, ce qu’elle en connaissait car bien sur qu’il y avait quelques tipis ici et là… dispersés un peu plus loin… en amont de la petite ville dont Hortense connaîtra le nom plus tard… Teach Town.
Elle contourna lentement la ville pour s’approcher des tentes éparses. Elle y retrouva quelques cousins…et la jeune amérindienne apprit le départ de sa famille … trouvant trop envahissante la venue des hommes blancs. - mais ça… c’est une autre histoire qui vous sera narrée plus tard - décontenancée… intriguée de connaître les raisons de leur fuite… elle s’installa et s’intégra lentement à la vie de son peuple. Il était difficile pour elle de mimer la vie des femmes … et ne pouvant pas réellement être de celle des hommes… Après avoir fait les tâches qui lui étaient allouées à titre de membres du clan…. la jeune femme passait ses journées à déambuler à travers les rues de la ville. Aux fils de son périple… elle avait appris la langue des hommes blancs… et avait changé son prénom qu’ils trouvaient trop compliqué et avait pris celui d’Hortense… le prénom d’une gentille cantinière avec qui elle s’était liée d’amitié lors d’une expédition. Ce n’était donc pas vraiment un malaise pour elle que de se retrouver accoudée au comptoir de l’épicerie à échanger avec les gens de la place.
Bonjour, je suis Hortense, je suis arrivée tout récemment. Je me demandais, la ville est ici depuis longtemps?
Ainsi… la jeune Hortense apprit que nouvellement fondée par un certain Nickym… la ville avait vu de nombreux villageois venir s’y établir. Tout en discutant avec la femme située derrière le comptoir, elle contempla la vitrine où étaient présentés les pistolets et armes de contact.
Vous en demandez combien? Y’a des voleurs dans les environs, par deux fois je me suis fais attaquée. Je dois me protéger mieux! Le prochain saura à qui il aura à faire vous pouvez en être certaine!
Elle sourit complice à la femme… au même moment… Hortense tourna son attention vers la fenêtre et vit un grand colosse à la chevelure aussi noir que le corbeau déambuler sur la rue principale. La belle indienne n’avait jamais vu homme aussi grand… ni aussi costaud. Se penchant vers sa voisine… elle murmura
Mais qui est-ce?
Le bon fondateur ma p’tite … c’est l’monsieur Nickym.
Impressionnée… elle n’arrivait plus à détacher son regard de lui.
- Plus qu'un paragraphe ou minimum 15 lignes.
- Le moins de fautes d'orthographe possible... personne n'est parfait mais on peut s'améliorer..
- une idée claire et développée.
- en aucun cas... faire évoluer le personnage d'une autre joueur sans son accord.
Amusez-vous !/HRP
Immergée jusqu’aux hanches… l’onde venant lui caresser la peau tendre du ventre… elle profitait de cette douce sensation les yeux fermés.
Hummmmmmm murmura-t-elle
Les rayons du soleil la réchauffaient… et un petit sourire se dessina sur son visage. Le silence bruyant de la nature l’aidait à être en harmonie avec elle-même… s’imprégnant de l’espace… de l’énergie de ce qui l’entourait. Elle prit une profonde inspiration et glissa doucement ses doigts entre ses longs cheveux noirs afin d’y déloger le sable et la poussière qui s’y trouvaient toujours. Elle ouvrit les yeux et baisa son regard à la surface de l’eau afin de se rassurer sur ce qu’elle projetait. La jeune femme sourit alors franchement à sa vision. Dans quelques heures... elle allait être chez elle. Ozalee était de retour à la maison.
Hortense avait quitté sa famille il y avait plus de trente-six lunes. Elle avait bien changé depuis. Son corps s’était sculpté suite à ses longues journées à errer à travers les plaines de l’Ouest à pied et ensuite à dos de cheval. Elle adorait courir l’aventure, travaillant pour le plus offrant… et être libre comme l’air. L’air... cet esprit si près d’elle… son protecteur… l’accompagnant là où elle était… lui frôlant la peau à cette instant précis. Elle le savait toujours à ses cotés… dans sa longue chevelure lorsqu’elle était au galop… dans la brise auprès du feu… dans la tempête lorsqu’elle se devait d’être prudente.
Elle sortait à peine de l’enfance lorsqu’un matin… elle décida de quitter son clan. Elle avait choisi de rejoindre les grands espaces au lieu d’unir sa destinée à un homme d’une tribu voisine. Comment pouvait elle se confiner à tanner des peaux… à cuire la banique… à tresser des paniers alors qu’elle pouvait voir loin… faire corps avec un cheval … surmonter des dangers en tentant de regrouper un troupeau de bisons. Elle avait donc embrasser son père et sa mère… leur avait promis d’être toujours en lien avec eux par le biais du grand manitou et était partie.
Un matin pas si lointain… le matin de ses 20 étés… elle avait décidé de revenir vers le lieu de sa naissance. Ainsi ... dans quelques heures… elle allait prendre entre ses bras ses parents qui lui avaient tant manqué.
Elle approchait… elle le sentait. Tout ces sens lui rappelaient ces moments d’enfance. Une butte ici… un pic de rochers là… elle longeait la rivière sachant très bien que le village devait être plus très loin…. Derrière le monticule… là... oui. Même si elle avait appris au fils des années à maîtriser son tempérament… elle ne pu s’empêcher de courir vers ce lieu tant aimé. Elle approchait... trois pas… deux pas... un pas... et voila… au sommet du mont… en baissant le regard... il sera là… ce village tant aimé.
Soudain… Hortense senti un vertige… son cerveau n’arrivait pas à réaliser ce qu’il voyait. Au lieu de longues houses et de feux de camp... elle y voyait des bâtiments de bois et une chapelle… une ville d’hommes blancs.
Comment ai-je pu me tromper à ce point?
Paniquée... déboussolée… elle chercha rapidement de son regard des indices qui allaient lui démontrer qu’elle n’était pas au bon endroit… mais non… tout était bien là… mais son village … lui… n’était plus. Du moins, ce qu’elle en connaissait car bien sur qu’il y avait quelques tipis ici et là… dispersés un peu plus loin… en amont de la petite ville dont Hortense connaîtra le nom plus tard… Teach Town.
Elle contourna lentement la ville pour s’approcher des tentes éparses. Elle y retrouva quelques cousins…et la jeune amérindienne apprit le départ de sa famille … trouvant trop envahissante la venue des hommes blancs. - mais ça… c’est une autre histoire qui vous sera narrée plus tard - décontenancée… intriguée de connaître les raisons de leur fuite… elle s’installa et s’intégra lentement à la vie de son peuple. Il était difficile pour elle de mimer la vie des femmes … et ne pouvant pas réellement être de celle des hommes… Après avoir fait les tâches qui lui étaient allouées à titre de membres du clan…. la jeune femme passait ses journées à déambuler à travers les rues de la ville. Aux fils de son périple… elle avait appris la langue des hommes blancs… et avait changé son prénom qu’ils trouvaient trop compliqué et avait pris celui d’Hortense… le prénom d’une gentille cantinière avec qui elle s’était liée d’amitié lors d’une expédition. Ce n’était donc pas vraiment un malaise pour elle que de se retrouver accoudée au comptoir de l’épicerie à échanger avec les gens de la place.
Bonjour, je suis Hortense, je suis arrivée tout récemment. Je me demandais, la ville est ici depuis longtemps?
Ainsi… la jeune Hortense apprit que nouvellement fondée par un certain Nickym… la ville avait vu de nombreux villageois venir s’y établir. Tout en discutant avec la femme située derrière le comptoir, elle contempla la vitrine où étaient présentés les pistolets et armes de contact.
Vous en demandez combien? Y’a des voleurs dans les environs, par deux fois je me suis fais attaquée. Je dois me protéger mieux! Le prochain saura à qui il aura à faire vous pouvez en être certaine!
Elle sourit complice à la femme… au même moment… Hortense tourna son attention vers la fenêtre et vit un grand colosse à la chevelure aussi noir que le corbeau déambuler sur la rue principale. La belle indienne n’avait jamais vu homme aussi grand… ni aussi costaud. Se penchant vers sa voisine… elle murmura
Mais qui est-ce?
Le bon fondateur ma p’tite … c’est l’monsieur Nickym.
Impressionnée… elle n’arrivait plus à détacher son regard de lui.